Avé.. César
César n’était pas un biennois, pourtant, il avait tout pour. Un esprit ouvert, une intelligence vive, et des origines latines. Je ne peux pas vraiment dire que je le connaissais bien, mais j’avais appris, au fil de nos rencontres , à l’apprécier pour ce qu’il était : un homme sensible, avec un éternel sourire qui faisait du bien. Nous avions en commun l’amour de l’art, de la peinture en particulier. Je devais lui apprendre à