Les guerrières à Noël (suite) ou pas.

D’abord, j’aimerais remercier ma soeur, qui a amené ma petite maman, avec sa chaise roulante jusqu’au marché. Les voilà toutes les deux, sûrement en train de manger un pain à l’ail… à ce qu’il me semble.

Et Angélique bien sûr, qui a tenu mon stand hier, afin que je puisse me reposer.

Ensuite, autre merci important, celles et ceux qui ont lu mon article et m’ont fait des commentaires.

 

A ce propos, il y a un contraste étonnant entre le peu de commentaires que je reçois et l’enthousiasme des gens, quand ils peuvent me parler de mon travail.

Quand j’écris je suis toute seule.

Personne n’est là pour me dire quoi que ce soit, en bien ou en mal.

Mes enfants, même adultes ne s’y sont jamais intéressé.

Parfois, j’arrive à leur arracher un *pas mal* pour une de mes photos », à condition qu’ils aient quelque chose à me demander, juste après .

Je rigole… mais c’est pas loin.

La période de Noël est spécialement éprouvante, pour beaucoup de monde.

Hommes et femmes, femmes et hommes, transgenres, hermaphrodites, et…

zut, je ne sais plus comment on appelle les gens qui refusent d’avoir un genre.

Si j’en parle, c’est parce que, lorsqu’on s’adresse aux autres, il me semble   important de dire à qui on parle justement.

Et comme on en apprends tout les jours, je vois dans le « Wiktionnaire » qu’on peut mentionner ces personnes , en disant « iel ».

Exemple :  iel n’avait pas faim. Iel lit un livre.. Iel était une fois

Bref.

Ca y est, j’ai perdu le fil….

Iel est 02h22 et je devrais aller me coucher.

Iel.. faut dire que ça m’a fait méditer, cette découverte grammaticale.

Après tout, j’ai toute la vie.

Mais c’est motivant de savoir faire quelque chose que les autres apprécient.

C’est peut-être ça, le secret pour ne pas trop déprimer à Noël .

Comme les pâtes de fruits….

Allez, je cours me brosser les dents et au dodo.

J’espère vous voir sur le marché de Noël.

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