Se remets en question

5 articles différents et pas de satisfaction..

Dont trois contes à base de grenouilles…

Décidément il faut que je me reprenne :).

J’avais promis un article sympa et rigolo.. mais voilà.. parfois je ferais mieux de ne rien écrire plutôt que d’écrire en étant trop fatiguée..

Donc désolée, mais pour aujourd’hui je vais me coucher.

Je n’aime pas faillir à mes promesses, mais admettre qu’on ne peut pas,parfois, c’est aussi bien.

Dans une journée, il se passe mille choses qui influent sur votre état d’esprit.

Et parfois, c’est trop, il faut attendre un peu pour voir ce qui va sortir, non ?

 

Le mieux est l’ennemi du bien.

C’est vrai.

Et le bien, dans mon cas, c’est de me la fermer, pour une fois.

En parlant de se la fermer, il faudra que je découvre pourquoi les gens se mettent à brailler à l’instant ou ils passent sous mes fenêtres…

Nœud tellurique ) cimetière indien ?

le mystère reste entier !

A toute à l’heure.

Merci pour votre compréhension <3

Gare aux gourous

Je n’aime pas du tout les gourous.

Les maîtres à penser, les thérapeutes qui se la pètent, les grandes prêtresses tireuses de cartes m’énervent puissamment,

Les sectes, les organisations, les sociétés plus ou moins secrètes à base d’élus porteurs de la seule vérité,  me donnent des boutons.

J’en ai rencontré quelques uns dans ma vie, de près ou de loin.

Mais je suis trop critique, trop subversive, ils comprennent vite que je ne ferai jamais une adepte convenable et docile.

Du coup,  ils ne se donnent même pas la peine d’essayer de me convertir.

Etant donné, que je ne suis ni assez désespérée, ni assez riche pour être intéressantes.

Mais les rares fois, ou ces genres d’engeance se sont approché de moi, c’est quand j’allais mal.

Je ne sais pas si c’est une règle générale, mais il me semble que lorsqu’on a vraiment confiance en soi, que l’on sait ou on veut aller, on fait fuir ce genre de prédateurs.

Et que plus on va mieux, plus on se rends compte de la manipulation.

La manipulation, parlons-en.

Il y a pleins de site consacrés à la manipulation.

Très instructif.

A la base, on apprends que le bon manipulateur va identifier le besoin du manipulé.

Et lui assurer qu’il est en mesure de le remplir.

Mieux, que lui seul le peut.

Pour mieux faire, il va assurer son emprise en créant de nouveaux besoins..

Les scientologues sont des grands spécialistes en la matière.

Je me suis retrouvé très proche d’une de ces organisations néfastes, attirée là-bas par la vendeuse de la boutique d’à côté.

Elle qui ne me calculait pas d’habitude , s’est mise subitement à être très sympa.

-Viens avec moi, c’est une surprise, et prends ta carte d’identité.

Et nous voilà, en Allemagne, dans un superbe complexe, avec un buffet luxueux, des voitures de sport sur le parking, et des dizaines de personnes très bien habillées.

De quoi impressionner….

Et ça commence par le discours d’un américain  qui nous explique qu’on va gagner énormément d’argent.

D’ailleurs, on peut même commencer à réfléchir à ce qu’on va s’acheter.

Comment on va y arriver ?

En payant 5000francs.

A la fameuse vendeuse…

En échange, on a le droit

de ramener 5 autres pigeons, qui devront faire pareil.

Il n’y a qu’a lever la main pour dire oui.

Aussi fou que ça puisse paraître, alors qu’il est évident que nous sommes dans une vaste escroquerie pyramidale qui ne profitent qu’à ceux qui sont en haut,

des mains se lèvent.

A chacune d’elle , applaudissement et musique genre « Rocky » en haut des marches.

Bien sûr, je ne tombe pas dans le panneau.

En fait, je n’ai pas  5000 francs.

Mais pour eux, ce n’est pas une raison, je n’ai qu’à vendre quelque chose.

Demander un prêt.

Et les voilà qui se relaient pendant la pause pour tenter de me convincre.

Le grand gourou en remet une couche en annonçant qu’une personne présente reprtira avec une voiture neuve.

j’avoue que j’aurais bien aimé l’avoir.

Mais le malaise commence à me prendre.

En rentrant, ma pseudo-copine n’est pas très heureuse d’avoir loupé son coup.

Je repense au fabuleux buffet.

J’y ai à peine touché, mais il me reste sur l’estomac.

J’apprendrai par la suite qu’elle a tenté de convaincre beaucoup de personnes,

assez pour attirer l’attention de la police.

Exemple extrême.

Ca m’a marqué à vie

..( à suivre)

 

Hey vous ! oui vous !

On m’a reproché, (si , si, si vous saviez ce qu’on me reproche parfois!) de trp remercier les gens.

Pire, de le faire d’une manière trop, comment dire? « trop », c’est le mot.

Comme sî Vous étiez indispensables, Vous qui me lisez et, ou aimez mes photos,

Comme si je n’avais pas assez confiance en moi, pour savoir que ce que je fais à de la valeur.

Et pourtant, je vais continuer,.

parce que c’est vrai, Vous m’êtes indispensables.

Non seulement continuer, mais je vais en rajouter une couche.

Je viens de comprendre quelque chose d’essentiel.

Avec mon dernier livre.

Comme souvent, dans les remerciements, l’auteur,, Douglas Preston, commence par sa femme, qui le soutient dans son travail.

Pour les artistes en général , les auteurs en particuliers, avoir, de nos jours, un compagnon qui lui apporte son soutien, est plus que précieux.

 

Du soutien moral.

Ce que vous faites quand vous me lisez, mais surtout, quand vous commentez , et, ou que je vous rencontre dans la rue et que vous m’en parlez en direct.

 

Sans vous, jamais je n’aurai autant travaillé.

Sans vous, jamais je n’ aurai cru autant.

Je me serais laissé décourager par le nombre , toujours plus croissant de photographes et d’auteurs.

Dans ma vie, jusqu’ici, , je parle de chez moi, à la maison, ce que je fais n’intéresse personne.

Je n’ai pas de compagnon, et mes enfants se fichent royalement de mes œuvres.

Alors,  mes amies très chères, qui ont commencé à apprécier mon travail et à me le dire, mais aussi de parfaits inconnus qui ont likés et commenté,  jouent un rôle crucial dans le sens que j’ai décidé de donner à ma vie.

 

Entendons -nous bien, j’ai toujours voulu être écrivain.

Je le suis, par nature même, parce que j’ai ce don, de pouvoir écrire , pendant des heures, sans même y penser, et d’aimer ça.

Je croyais que tout le monde pouvait.

Peut-être, mais encore faut-il aimer ça.

Sans encouragement, de plus , le faire autant que je le fais, vouloir en faire son travail, c’est quasi impossible.

Tant , nous sommes, nous les créatifs, de petites choses sensibles.

Et les avis des autres comptent.

Énormément.

Pareil pour la photo.

Surtout que, dans mon cas, si je n’avais pas eu Didier, Jean-Daniel, ma soeur qui m’a donné l’idée du blog, je n’en serais pas là aujourd’hui, avec des milliers de photos, des années de pages , de l’exercice , de la pratique de l’expérience.

Je peint aussi, j’ai failli tout arrêter, parce qu’un organisateur d’expo m’a fait un coup de p…..

Heureusement, un ange s’est glissé dans un inconnu qui m’a soutenu  à ce moment là.

Donc, vous tous, vous êtes mes anges.

Vous qui me lisez l à maintenant tout de suite, et bien sûr, quelqu’un qui est rentré dans ma vie récemment, nommée Isabelle.

Louée soit-elle !

Non seulement, elle aime ce que je fais, mais elle a déjà commencé à en faire quelque chose..

Ce qui est fantastique!

ce qui est la réalisation d’un de mes rêves le plus cher.

Tout devrait donc rouler, et je devrais passer mes journées à chanter.

Mais je remarque , qu’après une période d’euphorie, je me retrouve à ramer comme une perdue.

Comme une exploratrice perdue au milieu de la jungle,  naviguant sur un fleuve semé d’embûches.

Des saletés d’imprévus qui s’accumulent, comme la vaisselle sale  quand on ne la fait pas au fur et à mesure.

Je suis en train de faire le tour, j’y suis presque arrivée.

Je vois le bout du tunnel, c’est vrai.

Mais pour ça, j’ai du me rendre comporte que toutes ces petites et grandes épreuves qui me sont envoyées ont du sens.

Qu’il ne fut surtout pas flancher maintenant.

Donc, j’analyse.

Donc je pense à vous, constituent essentiel de mon travail.

constituant, parce que j’écris, je photographie, je crée, pour vous.

Pour ceux qui apprécient.

Qui eux font d’autres choses, que ce soit la cuisine, comme José,

(qui dit de si gentilles choses sur moi.-)

ou la recherche incessante d’activités qui comble ses enfants, comme Céline.

Nos vies sont nos oeuvres.

Dans ce sens là, nous sommes absolument tous des artistes.

Après, chacun à la droit de décider d’en faire quelque chose ou pas.

Mais le artistes se révèlent dans les activités les plus inattendues.

Réfléchissez bien, vous qui pensez , à tort, n pas être un artiste, à ce que vous aimez faire, à la façon dont vous le faites.

Que ce soit des gâteaux en pâté à sucre, ou aux photographies de vos Airedale Terriers, comme Véronique.

que ce soit votre corps , vos tatouages, comme mon voisin, qui  en à le visage constellé , votre travail, votre sport.

Votre maquillage, comme Danaé qui est si douée.

Ce que vous aimez faire et que vous faites bien, c’est votre façon d’être un artiste.

Facebook nous a permis de nous voir, de nous regrouper, de nous encourager.

Facebook a révélé des vocations, qui existaient déjà, mais qui ne se serait peut-être pas développé autant sans l’aide d’internet.

Nous sommes dans une nouvelle ère.

Avec de nouveaux moyens, , qui nous donnent des possibilités inespérées et illimitées.

Il est temps de les utiliser.

D’y croire.

Dans mon cas, d’accepter que ma vie soit ce qu’elle est, sans soutien sentimental à mes côtés, pour relire ce que je fais, et m’encourager.

Puisque vous êtes là.

Puisque ,maintenant, j’ai rencontré Isa, qui m’encourage et fait quelque chose de concret avec mon oeuvre.

Preuve incontestable que j’avance.

Les épreuves et autres attaques de la vie sont là pour me consolider

J’ai une grande peine à regarder autre chose que l’instant présent.

Retourner dans mon passé est  un supplice  auquel je dois faire face.

Puisque je peux y trouver de bonnes choses.

Accepter les critiques, que je sois d’accord ou non est primordial aussi.

Rester autant délicates avec les autres que je voudrais qu’ils le soient avec moi

Sachant que la moindre remarque peut m’abattre , tel un arbre sec soufflé par la tempête.

Alors, je me relève.

Ca aussi je sais faire.

c’est moi l’alpiniste des précipices !

Je me relève et je pense à ce qui me donne des forces.

C’est Vous.

Soyez en remercié, mille et mille fois.

Famille ami,es et inconnus.

Et vous, là, oui vous, toi , qui est en train de me lire, là maintenant tout de suite.

Tu m’est plus qu’important.

Tu m’est indispensable.

Sache que, cette énergie que tu me donne, en prenant sur ton temps pour me lire, va continuer de circuler et te revenir, encore plus fort.

C’est une des règles immuable de la vie.

On ne doit pas donner pour recevoir, mais quand on donne, on reçoit.

Vous saisissez la nuance.

Recevoir c’est accepter de donner plus loin.

Ms lecteurs sont intelligents, je n’ai pas besoin de leur faire un dessin.

Ce matin, je sens mon énergie revenir doucement.

Je pense encore à mon ami Martin, qui s’est occupé d’ouvrir un coin de la barrière pour que mes chats puissent passer.

A ma très chère Maude, qui me défendrait même si j’avais tué quelqu’un.

A toutes mes amies que j’adore, et ui n’ont aucun doute sur la force de mon amitié.

A ma famille, qui m’aime et c’est tout ce que je lui demande.

Tout ce que nous faisons de bien, permet au monde d’aller mieux, et nous reviens.

Alors à l’attaque de ce jour nouveau !!!!

Venez à moi, petites et grandes épreuves, je vous attends, et je saurai m’occuper de vous !!!

Pas de compagnon, pas de vacances à la mer, pas beaucoup d’argent,

des obligations familiales particulières… et alors ? chacun son lot.

Au lieu de regarder ce que je n’ai pas, je dois voir ce que j’ai :

du soutien, du travail, la santé , un joli verni à ongle  bleu pailleté que j’ai réussi à mettre à peu près convenablement, et un bonne grillade dans mon frigo pur ce soir.

Un chien, encore vivant, qui me regarde en attendant d’être promené.

On v y aller . Prisca !!!

Le rôle du photographe et de l’écrivain

Je voulais être avocate, défendre les innocents, appliquer la justice… et puis, j’ai compris que la justice des hommes laissait à désirer et j’ai abandonné l’idée.

après, j’ai voulu être journaliste.

Mais encore une fois, j’ai compris que ma liberté serait restreinte, que je ne pourrais pas écrire ce que je voulais.

Et puis , internet est arrivé .

Ecrire sous mon nom m’a demandé du courage.

Avec tout ces dingues en liberté…

Le meilleur moyen d’être libre est encore d’écrire des c.ontes.

Ce qui me fait rigoler quand j’y pense, c’est que même la, des gens se reconnaissaient.

-T’es sur que c’est pas moi, la grenouille ?

Mieux :

J’ai bien reconnu que tu parlais de moi…

Et parfois c’est vrai, il y  des messages très personnel dans mes contes.

J’ai remarqué que parmi mes amies,  certaines ont des problèmes d’écoute.

Au point , qu’elles en seraient presque inconsciemment irrespectueuses.

Vous couper la parole, ou regarder ailleurs, en se détachant de la conversation, ce n’est pas agréable.

Pourtant, je ne dis rien-

Je devrais le dire, à votre avis ?

Et-ce qu’on est là pour pointer les défauts des autres,  ou pour s’améliorer soi-même ?

Les deux ?

Sûrement.

L’éclipse était magnifique ce soir.

Le lendemain.

Je me relis et je me rends compte que c’est un peu violent, ce que j’écris.

En fait, j’aurais du terminer mon propos.

J’ai remarqué ça, parce que c’est quelque chose que je fais aussi bien sur.

J’en ai souvent parlé d’ailleurs, on remarque toujours miieux ce qu’onn connait bien.

Mon but n’étant pas de blesser les gens, mais d’illustrer mon propos sur ce qu’on peut dire, ou écrire  ou pas.

J’espère vraimentn’avoir blessé personne.

En même temps, je me rapelle très bien le jour ou quelqu’un m’a dit, que je n’écoutais pas.

C’était un touareg, au milieu du désert.

Je ne pouvais pas vraiment m’enfuir, et je me suis ramassé ça en plein dans la figure.

Pendant qu’il continuait tranquillement de boire son thé.

J’ai du passer par toutes les couleurs de l’arc -en -ciel.

Et puis, je me suis promis de faire plus attention.

Je ne sais pas si j’y arrive vraiment, mais j’essaie en tout cas.

Etre délicat dans sa façon de dire les choses, ça s’apprends.

J’ai encore des progrès à faire.

 

 

La sortie du tunnel

Il fut un temps, ou j’avais fortement l’impression que,

Chaques fois que je sortis la tête de l’eau, quelqu’un était là pour se précipiter et appuyer

très fort sur mon crâne pour me renvoyer au fonds.

C’est fini.

Je nage très bien métaphoriquement,

dansla réalité nettement moins bien, mais c’est égal.

Je résiste mieux , maintenant.

Par contre la bêtise humaine, pour ne pas dire plus, continue .

Mieux, si vous voulez avoir une idée de l’infini, vous n’avez u’à y penser.

Entre l’égoïsme, l’incompétence, le manque de reflexion, vous avez le choix.

Quand elle ‘applique à vos animaux, en les empêchant de passer, dans une endroit ou ils ne gênent personne, alors que tout le jardin est facilement accessible.. il y a de quoi se tirer des balles.

Mais quand vos animaux s’y mettent aussi en pissant su votre duvet fraichement lavé, histoire de vous faire comprendre je ne sais quoi,

ça peut donner l’impression que le monde entier vous en veut.

D’une manière si injuste que c’en est ridicule.

Restent les sourires des passnts ui passent.

Sourires gratuits et agréables, qui me font toujours du bie

Le passant souriant est comme un chat, quand il a décidé d’être cool.

Il ne vous appartiendra jamais, il n’est obligé de rien, ce qui donne à son sourire encore plus de valeur.

Il est 3h30 du matin, dehors, j’entends des voix.

J’attends que mon lit sèche, et j’irai me coucher.

 

Je rêve d’un monde de paix, de compréhension et de respect.

Jalousie

Les sentiments… si on admets que les relations humaines sont l’essentiel de nos vies ,, alors les sentiments qui nous animent, régissent , non seulement nos rapports avec les autres, mais carrément tout le cours de nos existences.

Je dis ça, parce que, les sentiments et moi, c’est une grande histoire.

Je suis tellement sensible, je ressens tout puissance 10. Et, je vous assure, que ce n’est pas forcément agréable à vivre.

A un moment de ma vie, j’ai même essayé de me blinder à fonds.

Pour ne plus rien ressentir, tant ça devenait pénible.

Mais en faisant ça, je me suis apperçu que si les mauvais ne passaient plus, les bons non plus.

On ne peut pas s’amputer de ses sentiments.

Tout ce qu’on a  à faire, c’est les accepter, sans les laisser tout diriger, quand même.

Alors, c’est un long chemin, tout un apprentissage,

Le genr de choses que j’aurais aimé apprendre à l’école :

les sentiments prennent du temps.

Le cerveau va plus vite.

D’où le décalage entre le coeur et la raison.

Mais une fois que l’on à cette information,

Alors on comprends mieux, pourquoi  ça fait mal quand même,

alors qu’on sait que ça n’en vaut pas la peine.

Pareil avec le fonctionement de notre cerveau, qui nous protège du mal, presque contre notre volonté.

C’est son boulot, au cerveau, il a peur du changement, il sait quelles petites choses impressionnables nous sommes .

Alors, il veille sur nous.

Comme un grand frère sicilien encombrant qui nous accompagnerait partout, pour nous empêcher de fumer, ou de sortir avec des  garçonsPire que ça, même.

Parce que , si on a pas cette information sur son fonctionnement, on peut s’auto-saboter ,

Sans se rendre compte que c’est parce que lui, à la trouille, alors que nous, on aurait tout intérêt à changer.

On voudrait le faire, mais on y arrive pas.

On peut passer des années à se demander pourquoi on tourne en rond.

Alors que l’ennemi est à l’intérieur.

Et qu’il croit bien faire.

Si on nous donnait cette foutue information , à la ase, est-ce que ça chagerais quelque chose ?

On pourrait nous dire : les enfants,  nous sommes construits comme ça.

Notre cerveau n’aime pas que l’on souffre.

Alors, il va trouver des combines, pour éviter ça.

Mais , n’oubliez pas : le cerveau essaie de commander, mais le vrai chef, c’est votre esprit.

C’est vous et vous seul qui choisissez qui vous voulez être, et ce que vous allez faire de votre vie.

Alors, quand vous sentirez qu’il essaie de vous freiner, par  peur  d’avoir mal,

demandez vous si  c’est pour une bonne raison ou pas.

Bien sûr, se jeter par la fenêtre n’est pas une bonne idée.

Mais changer de travail, si le vôtre vous rends malheureux, par exemple, est la meilleure chose à faire.

Ca semble évident, masi là aussi Cècè- le -cerveau va vous innonder de trouilles de toutes sortes, parce qu’il à peur de souffrir.

Et même peur d’avoir peur.

D’ou cette  sensation de tourner en ronds.

Qui peut rendre dingue.

Qu’est-ce qui c’est passé pour que Oksana Chatchko décide de mourir ?

$vous savez, c’était une de ces Femen, qui militent à moitié nues, pour mieux faire passer leurs messages.

C’était aussi une artiste peintre aussi.

Elle était jeune, belle, talentueuse.

Apparement, ça ne suffisait pas………………..

 

Relax

Bon, bon, bon.

Mission, pondre quelque chose pour que demain matin, mes gentils lecteurs et mes adorables lectrices, puissent se mettre quelque chose sous les yeux, demain matin., avec leur petit café.

Facile ?

Pas tant que ça.

Et puis, ça me relaxe trop, je m’endors sur mon clavier.

Je vais faire comme ça, écrire la journée ,quand je suis bien réveillée.

Donc. à plus tard, ça marche ?

A plus alors

 

Coïncidences

Les biennois sont en vacances.

Des floppées de touristes de toutes les couleurs envahissent la ville.

Je les vois passer, en-dessus de chez moi.

Venus des villages alentours ou de très très loin, c’est le lac qui les attire.

Je sers de poteau indicateur, parce que le débarcadère est plutôt mal signalé.

Alors qu’il est tout près.

Franchement, il y aurais des efforts à faire, à ce niveau là.

Les bateaux sont là, prêts à voguer vers des destinations aussi exotiques  que l’Ile st-Perre, mais ,  on ne sait pas comment les trouver.

Au retour , pareil.

On me demande la gare.

L’autre jour, assez tard dans la nuit, un touriste américain cherchait son hôtel.

Bon, il avait un peu bu, et un peu oublié le nom de l’hôtel en question.

A tout hasard, je l’ai dirigé vers le plus proche…La piscine de Nidau aussi est mal indiquée.

Comme si on voulait garder nos bons coins à champignons pour nous…

 

Voilà ce que je ferais, si j’en avais le pouvoir.

En été, pendant la période touristique, j’engagerais des jeunes de la ville,

qu veulent se faire de l’argent de poche pendant les vacances.

On leur fournirait une petite formation.

Un joli t-shirt aux couleurs de la ville et on les mettrais à disposition des touristes,

pour les accompagner sur les différents sites intéressants de la ville.

Entre les chutes du Taubenloch et le lac,  en passant par la vieille ville.

Je vous rappelle que maîtriser , plus ou moins bien,trois ou quatre langues est plutôt courant

chez les habitants de la ville.

En plus du français et de l’allemand, on sait souvent  l’italien et l’anglais,

en plus de nos langues natales, espagnol, portugais, croate, wolof…

puisque, à Bienne, 117 nationalités se côtoient.

Même moi, à part le français, je peux renseigner un touriste en allemand, italien  et anglais.

Le bilinguisme est notre richesse, n pourrait l’exploiter aussi de cette façon.

Ca faciliterais la vie des touristes, et permettraient aux jeunes qui ne partent pas de s’occuper tout en rentabilisant.

Bous me direz que des visites guides sont déjà organisées.

Très bien, on trouve ça dans les brochures et sur internet.

 

Mis , aller faire du shopping par exemple, ou une visite à la carte, ou simplement se faire accompagner quelque part, c’est prévu , non.

Pourtant, en Afrique, par exemple, vous trouverez partout ou vous allez, des dizaines de guides, plus ou moins honnêtes, pour vous amener ou vous voulez.

lLa difficulté étant plutôt de ne pas engager de guide, voir de s’en débarrasser.

Pour le prix, il vous lavera votre linge, ira acheter vos cigarettes et coupera vos ongles de pieds.

Bon, pour les ongles, j’avoue que ça va un peu loin, mais pour le linge.. tiens.

On a nos services de nettoyage, mais une vraie laverie, comme dans les films

américains, serait bien aussi.

il y a tellement de choses qu’on pourrait faire !

Mais on en fait,déjà,  quand même.

Je ne me plains pas.

On aura même notre festival.

Ca commence bientôt , et j’ai été engagée, pour faire des photos de quelqu’un qui y travaille.

Mais c’est encore une surprise.

La plage des pauvres

depuis la piscine de Nidau, derrière la grille, on voit une grande pelouse, bordée de bancs et deux petites criques.

On l’appelle la plage des pauvres.

Comme si , ils n’avaient pas pu payer leur entrée, et avaient du s’arrêter là.

Il est 5 h du mat, je vais aller me recoucher et je vous raconterai la suite plus tard.

A toute.

Chose promise, chose due.

Toute une après-midi au lac, à s’amuser dans l’eau avec Prisca, à ramasser du bois , préparer les grillades, ça fait un bien fou.

Étonnement, il n’y avait quasi personne dans la petite crique.

Nous avions la meilleure place, au centre, avec le ban de pierre et le foyer.

Face au lac.

Ca m’a fait un bien fou.

Lundi.

Je me remets au boulot.

Ca commence par le ménage.

Ce matin , j’ai promener Prisca.

Il faisait si chaud , que je me suis mise en mini short et brassière..

Chose que je n’aurais pas pu faire  à 20 ans.

J’étais bien trop complexée.

Comment est-il possible qu’à 50 , j’y arrive ?

Parce que je suis mieux foutue ?

Bien sur que non, j’ai des vergetures, de la graisse  pas très ferme par-ci par là, et des varices.

Non, c’est dans la tête que ça se passe.

Quand j’étais jeune j’étais multi-complexée.

Au point que je ne dormais pas la nuit.

que je rêvais d’une liposuccion.

Qu’un bouton ou une frange mal coupe m’empêchait de sortir.

Pire, parfois, j’étais envahie au point de vouloir en finir, tant la tâche pour arriver à la perfection semblait énormissime.

Impossible.

Mais non.!

C’est bon là, je suis débarassée, pour de bon, comment j’ai fait ?

C’est tout une histoire.

Je crois que je dois en faire profiter le monde.

Parce que les complexes, ça vous pourri la vie.

Je vais mettre ça et les autres choses que je sais par écrit.

En faire un livre.

C’est déjà en route.

 

Encore un Matin

Un Matin pour rien,

Matin perdu cherche sa route…

Le Matin est mort.

Ce qu était dans ses pires jours un infâme torchon raciste,

et dans es meilleurs,  agrémenté des articles de Rosette Polettti, n’existe plus version papier.

J’allais le chercher le dimanche, dans ces petites caissettes à monnaies.

Je le payais rarement, en fait pratiquement jamais.

Pare que tout ce papier , ces arbres gaspillés,  n’arrivait pas à me convaincre qu’il valait vraiment quelque chose.

D’ailleurs, c’était le Femina qui m’intéressait, encarté à l’intérieur, et le programme télé.

Mais le programme télé n’a plus de raison d’être, avec internet,

Ce n’est pas internet qui fait mourir les choses,

C’est leur nullité,

Parce que les livres, eux,  ne perdent pas leur raison d’être.

malgré internet.

On les aime toujours et le monde de l’édition connaît même un renouveau florissant.

Alors, pourquoi  il est mort, le Matin ?

Parce qu’il était nul.

Franchement, tellement de papier pour si peu d’intérêt.

Ou sont-ils les journalistes qui savent écrire ?

Je ne dis pas qu’il y en avait aucun, dans le Matin, mai franchement, mis à part la page de Rosette Poletti, je ne pourrais pas en citer un seul.

Par contre, je connais tout ceux qui écrivent dans Biel-Bienne. et je serais très malheureuse si il disparaissait.

Biel-Bienne se donne de la peine pour s’intéresser aux projets de la région.

Les articles ont du style, celui de ceux qui les écrivent.

On sait qui c’est.

Thierry, Momo, Isa, Renaud,  et les autres.

 

Sans oublier Jack Rollan.

Ah, le grand Jack, ça c’était un type qui savait écrire.

 

Avec une belle page cinéma.

Mais, les gens vont-ils encore au cinéma ?

Ca n’a rien à voir, mais vous saviez que le 2 août, c’est la journée du cinéma ?

Avec plus de 500 salles en Suisse qui présentent un film pour 5 francs.

Excellente idée.

Le Matin a diisparu.

C’est dommage,

qu’il n’aie pas su se renouveler.

Je vais me coucher, je finirai demain.

Voilà, nous sommes demain.

Je pensais à quelque chose : le Matin avait une plate-forme de blog.

Mon premier Bien à Bienne était dessus.

J’avais fait un boulot de malade pour m’y faire connaitre.

Utulisant tout les trucs qui donnent une meilleure visibilités, mais qui prennent du temps.

Comme ajouter des mots-click.

J’avais fait des articles sur toutes sortes de sujets.

Mon photo -blog était le plus lu de la plate-forme.

Malgré ça, jamais le Maatin ne m’a mise en  vant, comme il le faisait pour d’autres blogs.

Mais tant pis, j’y arrivais très bien toute seule,

J’avais des milliers de lecteurs et le chiffre grandssait .

Et un jour, ils sont décidé, comme là, de tout arrêter.

J »ai voulu exporter mon blog sur une autre plate-forme.

Mais le système était si archaïque, que c’était impossible.

On pouvait juste le conserver sous forme d’archives.

Mais il fallait se dépêcher.

 

Heureusement, mon ami Guillaume à pu le sauver et le mettre ,

sous forme d’archives, sur sa propre plate-forme.

Mon blog est un peu mort, ce jour là.

Et mon énergie pour le rendre visible avec lui.

Tant d’énergie pour disparaitre au final.

 

bien sur, j’ai ouvert un autre blog.

Mais je devais repartir à zéro.

Si je voulais remettre mes textes, c’était un boulot de malade.

J’étais bien décidé à me rendre visible encore.

Mais j’ai mal choisi ma nouvelle plate-forme.

Beaucoup de travail beaucoup de stress pour rien.

Je recommençais à faire décoller mes statistiques, mais si lentement que c’en était désespérant.

Et puis, Guillaume m’a offert ce blog sur WordPress.

Là , je suis bien.

J’ai décidé de garder  mon énergie pour écrire.

Et pour vivre.

J’ai pedu en quantité de lecteurs, mais j’ai gagné en qualité.

Quand je vois que mes articles sont republiés tout les  jours,

ça me fait plaisir.

Mais vous comprenez que je ne pleure pas sur le sort du Matin.