Inondations

Avec un seul n, au début…
J’ai corrigé mon hashtag sur Facebook.
Ca me semblait aussi bizarre que « inonder » n’en aie qu’un et pas son nom commun.
Des dizaines de personnes ont liké mes photos, mais personne ne m’a fait la remarque.
Après tout , les gens ne sont pas là pour corriger mes fautes.

Hors donc, comme disais le merveilleux chroniqueur du Biel-Bienne Jack Rollan ( qui s’appelait en réalité Louis Plomb)
Hors donc, donc, le lac de Bienne à débordé.
Ces derniers jours, les gens se pressent au Strandboden pour constater le phénomène.
On y va en vélo, à pieds, en trottinette, en famille, entre amis.
L’eau est monté si haut que les petits chiens doivent être porté dans les bras.
Devant les ponts, les creux sont complètements remplis.
On ne peux plus accéder. au ponton qui a disparu sous les eaux.
Je retourne cet après-midi, faire quelques photos.
Je mettrai mes souliers en plastique, histoire d’aller dans l’eau sans me faire mal aux pieds sur les cailloux.
A certains endroits, ça devient carrément dangereux.
On ne voit plus la limite entre le bord du lac et le lac.
J’éviterais d’y aller avec des enfants trop petits, si j’en avais .
Je connais bien le bord du lac, je sais ou sont ses limites,
si ce n’est pas votre cas, faites attention.
Vous pouvez passer d’un coup de 20 cm à 3 mètres de profondeur.
L’eau n’est pas assez transparente pour s’en rendre compte.
L’eau arrive jusque dans la forêt qui borde le lac.
La plage de Bienne est complêtement inondée, jusqu’à l’entrée.
La Thièle aussi a débordé.
Le château de Nidau n’est plus accessible du côté rivière.
En ville, pour l’instant, il y a encore de la marge.
Il a beaucoup plu hier, et même si aujourd’hui ca s’est arrêté, le niveau à du grimper encore.
C’est impressionnant.
Je voulais faire des photos de la plage des pauvres, mais l’eau était si haute, je n’ai pas pu y accèder.
Il y a quelques années, le lac avait débordé et j’avais fait des photos fantastiques, avec quelques copines
qui s’étaient décidé rapidement.
A la plage des pauvres, justement.
Nous avons du arrêté, parce que l’accès était surveillé.
Je rêve d’en faire encore.
J’irai faire des repérages.
Si quelqu’un a envie de faire le modèle, je suis preneuse.
Il me faut une courageuse, qui n’a ni peur de se déshabiller, ni de se mouiller.
Elle pourra garder son slip et avec quelques plantes on lui fabriquera de quoi cacher le reste.
C’est mon concept, histoire de faire « DAme Nature ».
Ecrivez-moi en mp, ok ?

Au temps pour moi

Eh oui.. ça s’écrit comme ça.
Avec une de ces logiques typiquement française…
on dit « au temps pour moi »
-Pas « autant pour moi  » ? j’aurais parié que…
Moi aussi.
En réalité, on peut dire les deux, mais c’est bien « au temps » qui prime.
Je le sais depuis hier soir.
C’est le genre de question que me pose mon fils.
Il m’arrive d’avoir la réponse.
Là, j’ai vérifié avant, j’ai bien fait.
Bon, il aurait pu le faire lui-même.
Mais ça nous à fait un sujet de conversation.
Je sens l’énergie qui revient.
Tout à l’heure, je vais voir si ma commande est arrivée, pour mes bijoux.
Ca va me permettre de continuer.
J’ai deux shootings à travailler et un troisième à continuer pour mon opération top model qui va se poursuivre.
Je dois trouver un moment avec elle ,mais j’ai déjà ma petite idée de qui sera la suivante.
J’ai plein d’autres photos d’Aurore que je continuerai de mettre ça et là.
D’abord, terminer le shooting de Fanny et David.
Ils sont parents maintenant, d’un adorable petit lutin.
Il est né le jour du shooting de Gabriela et Fabienne.
Shooting qui sera aussi ma priorité cette semaine.
Je devais me reposer.
Je sais que tout le monde ne comprends pas comme l’Art peut être prenant.
Ca prends pas seulement en énergie physique.
Ca prends de chaque parcelle, chaque atome de ma personne.
Parce que je me sens utilisée par l’inspiration.
Comme un outil humain.
Ca me traverse en totalité.
Au point que je suis obligée de m’accorder des pauses, pour récupérer.
C’est un cycle, il faut me vider, récupérer, et ensuite, je peux me réutiliser.
comme une de ces plumes à réservoir, celles qu’on avait à l’école.
Il faut l’utiliser jusqu’au bout.
Jusqu’à la dernière goutte avant de remettre une nouvelle cartouche.
Vous savez, ce phénomène d’épuisement artistique que je décris là,
demande aussi des sacrifices.
Dans notre société, avoir une bonne image est important.
Dans son aspect, dans ses actes.
Et on en revient à la phrase de Doris ;
« Je n’aime pas qu’on me dise comment je dois vivre ma vie ».
Heureusement, dans mon entourage, il y en a qui connaissent ce processus.
Ou qui ,même si ils ne le comprennent pas, m’acceptent comme je suis.
Mieux, il y en a qui me soutiennent.
Et heureusement.
C’est grâce à ce soutien que je peux continuer d’être qui je suis.
J’en parle souvent.
Ce que je dis moins c’est que la première personne contre qui j’ai du lutter pour arriver à ça, c’est moi.
Quand on dédie sa vie à l’Art, il y a des sacrifices.
On ne peut pas en même temps être la personne que les autres voudrait que vous soyez.
Ou plutôt, être la personne que je crois que les autres veulent que je sois.
J’ai beaucoup culpabilisé, et je culpabilise encore
Surtout par rapport à ma famille.
Je ne peux pas être la fille, la soeur , la tante, l’amie .. qui assure.
J’ai essayé, j’ai vraiment essayé.
Chaque fois, je remarque que je fini sur les genoux.
Doublement.
Ca irait encore .
Finir sur les genoux, j’ai l’habitude.
Ce que je ne tolère plus , par contre, ce sont les reproches.
Parce que ça en rajoute une couche :
triplement sur les genoux physiquement… et à terre moralement.
L’incompréhension passe encore, mais la culpabilisation : NON.
Non, non et trois fois non.
Cette p…. de culpabilisation me pourri la vie depuis aussi longtemps que je m’en souvienne.
Et donc, j’ai essayé de lutter contre.
Pour éviter de devoir la subir, je n’ai rien trouvé de mieux que d’essayer d’assurer.
Mais ça n’a rien changé.
Au contraire, c’était pire.
Double ration de culpabilisation, triple ration de fatigue
Résultat, je ne contente personne, ni moi ni les autres, et je ne crée plus.

Je crois que nous avons tous dans nos vies , des proches qui essaient de nous culpabiliser.
Qui nous disent ce que nous devons faire, et qui nous en veulent si nous le faisons pas.
Pire, ce truc, qu’on ne supporte pas, on ne peut pas s’empêcher de le penser aussi.
Pour soi-même et pour les autres.
Résultat, si on pouvait matérialiser toute cette culpabilisation,
elle serait comme un énorme nuage noir au-dessus de nos têtes.
Il pleut assez comme ça , non ?
Donc fini de finir doublement sur les genoux.
C’est le cas pour moi, et je sais que ça l’est pour beaucoup de vous aussi.
Principalement si vous avez des enfants.
Vous faites votre part.
Parfois plus que votre part.
Je pense aux mères qui ont des enfants particuliers, qui demandent une compréhension
qu’on ne leur accorde pas toujours.
Non seulement , elles donnent tout pour leur enfant, mais souvent, elles le font toutes seules.
Celles à qui on balance : mais c’est normal… c’est ton gosse.
Alors, ok, c’est normal.
Un normal épuisant.
Alors, cette mère, qui en plus à un travail, une maison à entretenir, devrait encore assurer sur tout un tas d’autres plans ?

Je sais que ce sujet là n’est pas drôle.
Je ressens le besoin d’en parler, parce que ça touche tout le monde.
On se juge les uns les autres, on juge ceux qui jugent.
On se juge soi-même.
C’est ce que je fais là, d’ailleurs.
Ce poids invisible, il ne tient qu’à moi de le dissiper.
Il y a un moyen :

Garder confiance.

Quand aux petites phrases blessantes , je les renvoies à l’expéditeur.
Encore une fois
Le monde, la vie , les gens, rien n’est parfait, donc autant s’y faire,
sous peine de beaucoup souffrir pour rien.
Si quelqu’un pense que je suis une mauvaise fille, soeur ,amie, ç’est son droit.
Si on ne comprends pas, n’accepte pas, rejette mon comportement, c’est son droit.

Comme c’est le mien d’agir comme je veux.

Voilà, j’aurais du commencé par ça, ça m’aurait évité tout ce blabla.
Mais voilà, je culpabilise.
Je culpabilise assez toute seule, pas besoin d’en rajouter.
Donc c’est à moi que je devrais m’adresser, en premier :

Vis ta vie, , moi. Fais comme tu peux et laisse les autres tranquilles.
Laisse toi tranquille et fait ce que tu as à faire.

Au temps pour moi…

Le Bijoux c’est Toi Opération Top Model : Aurore

Aurore
Déjà quel joli prénom, bien porté par une jeune femme spéciale et chère à mon coeur.
-Et c’est parti pour trois kilos de sirop.
Ben non.
Avec Aurore, pas de sirop.
Surtout pas.
Madame à du caractère.
C’est ce qui m’a frappé en premier chez elle, la douceur vient ensuite, et pas pour tout le monde.
Moi, j’ai cette chance.
Je vais vous dire ce que j’aime particulièrement dans son attitude : c’est qu’elle me fait confiance.
Elle ne va pas me demander de contrôler mes photos millimètre par millimètre.
Elle sait que si je publie, c’est qu’elle est bien.
C’est aussi une des rares personnes qui accepte de poser comme la nature la fait venir au monde : toute nue.
Et c’est là qu’elle est la plus belle.

Quand j’ai réfléchi au concept de mes shootings, quelque chose m’a sauté à l’esprit.
Ce ne sont pas mes bijoux que j’avais envie de mettre en valeur, mais celles qui les porte.
J’en ai posté qelques unes.
Je n’ai absolument rien retouché , mis à part des couleurs, des contrastes et un peu de recadrage.
Ca aussi c’est important.
J’aime mes copines comme elles sont, et de toutes façons, je ne vois pas ce que j’aurais pu faire de mieux que ce qui étais déjà.
Celles qui pour une raison ou une autre sont mes amies.
Aurore est une être à part.
Elle combine force de caractère et sensibilité.
On pense à tort que les gens qui semblent pouvoir tout traverser ont une carapace qui leur permet de le faire.
Mais non, pas du tout.
Ils sont atteints, comme tout le monde.
Personne n’est imperméable à la souffrance.
Simplement certaines personnes font avec, et avancent, continuent de mettre leur coeur en avant,
de prendre des risques, parce qu’elles ont du courage.
C’est le cas d’Aurore.
Avec une grande délicatesse.
Jamsi elle ne me froisse ou n’est dure avec moi.
J’aime son regard sur mes photos.
Droit, confiant, et amusé en même temps.
Mes copines sont très différentes.
Je comprends très bien que ce qui est facile pour une ne l’est pas pour l’autre.
Je suis toujours étonnée d’ailleurs de voir, dans la vie, des personnes accomplir des actes très courageux,
et ne pas pouvoir faire des petites choses toutes simples.
Vous me direz que mieux vaut ça que l’inverse ! ?
Ben non.
Les petites choses toutes simples ont leur importance aussi.
J’ai toujours pensé que nous avions, nous les humains, toutes les qualités et tout les défauts.
Mais pas dans les même proportions.
D’oû nos différences, d’où nos points communs.
J’ai déjà fait beaucoup de photos avec Aurore, ça me facilite la tâche.
Je ne sais pas qui sera la suivante encore parmi les 6 autres candidates qui se sont proposé.
Pour l’instant je vais laisser vivre les photos d’Aurore.
Travailler mes autres shootings.
Mes bijoux aussi.
Même si mon concept est avant tout de montrer mes amies dans toute leur beauté, Aurore a pensé à faire quelques photos avec mes bijoux aussi.Encore quelque chose que je n’ai pas dit mais qui la défini bien :
Aurore est une artiste.
Une vraie, une créative talentueuse, qui a choisi comme support le stylisme ongulaire.
Elle aurait pu choisir n’importe quoi d’autre, elle le ferait aussi bien.
J’aimerais préciser une dernière chose :
je ne fais jamais de compliments gratuits.
Tout ce que j’écris sur les gens est le fruit de mes observations.
Sans exagération et avec totale objectivité.
J’ai réellement des amies hors du commun.
Je ne leur demande qu’une chose,
c’est de m’accepter comme je suis.

Voilà, sur ce, je vous souhaite une magnifique journée, en espérant que ce foutu soleil se décide à revenir.
Si vous êtes italiens, félicitations.
Je suis contente pour vous.
Vous êtes profondément une nation de football.
Vous méritez la victoire et la joie qui va avec, vous savez l’exprimer.
Ca peut sembler futile, quand on pense à ce qui est grave, mais la joie est importante.
Très importante.
Elle permet de garder de l’espoir et de traverser les épreuves.
Alors laissons nous éclabousser par cette joie, même si ce n’est pas la nôtre.
Sauf à Bienne, ville construite par des mains italiennes en grande partie.
Cette grande part d' »italiénité » biennoise fait aussi sa richesse.
On dit  » ciao » pour se dire bonjour, d’ailleurs, plus souvent que « Grüezi ».
Mais ça c’est le thème d’un autre article.

Alors bonne journée donc et à demain si on veut bien.

Pleine

Hier était une journée pleinement artistique.
Je dois m’accrocher.
PArce que même si je travaille beaucoup en ce moment, je suis complêtement fauchée.
-Mais tu fais des shootings ?
Ben oui, mais les derniers, c’était des bons achetés il y a plusieurs mois.
Donc ces derniers jours je me nourris de tartines, avec de moins en moins de choses à mettre dessus.
Je sais bien qu’un jour je serai tellement blindée que mon seul soucis sera de savoir comment je vais dépenser ma fortune.
Mais je n’y suis pas encore.
En attendant, je m’accroche.
Parce que ça vaut la peine.
Je me contenterais bien de cette reconnaissance qui me comble l’âme.
Mon estomac, lui par contre, ne s’en contentera pas.

Parce que le piège est là.
Combien d’artistes ont renoncé pour cette raison ?
T’as qu’à faire un travail « normal » …
Taka…
J’ai essayé,vous pensez bien, et j’ai vu ce que ça donne.
Je ne veux pas dramatiser, mais autant me jeter aux crocodiles

Hier j’étais crevée, physiquement, par contre, j’avais le coeur content.
Donc je m’accroche, je garde confiance en touchant mon parquet en bois,
histoire de me porter chance.
Pour faire une photo, une seule photo,,
il me faut toute une soirée.
Pour chercher les paramètres qui feront l’effet voulu.
Pour essayer des choses et recommencer.
Recommencer encore, peaufiner.
Trouver des techniques détournées.
Douter, faire et refaire.
Ensuite, je tremble.. à l’idée que peut-être,
la personne qui est sur la photo ne l’aimera pas.
Je devrais me faire à l’idée qu’on ne peut pas plaire à tout le monde.
Mais forcément, quand vous passez plus de 4h sur un truc,
le voir balayer d’un mot, d’une petite phrase… ça fait mal.
Je sais que ça peut se produire.
Mais je fais quand même, en espérant que non.
Lorsque ce que je fais plait, la c’est le feux d’artifice.
La motivation qui reviens et me permet de continuer,
même si je ne sais pas comment je étiqueter mes sacs poubelles
et me racheter des grenades.
-C’est le matin de l’auto.pleignage ?
Non, c’est le matin de la constatation.
J’aimerais tellement, mais alors tellement vivre dans un monde ou chacun
pourrait donner ce qu’il a a offrir aux autres, sans avoir besoin d’argent pour vivre.
Il m’arrive d’en demander, mais ça m’est de plus en plus insupportable.
Parce que tout le monde à besoin d’argent.
Et pourquoi les autres devraient m’aider si je ne suis pas foutue de le gagner moi -même ?
Plutot mourir que de retourner aux oeuvres sociales.
Et puis tout est relatif, je n’ai pas 10 cts pour faire mes commissions, mais je dois bien avoir de quoi faire des crêpes dans mon frigo.
J’ai des petites plantes dans mon jardin pour me faire du thé.
Dans le monde il y a des gens qui ont vraiment faim.
Qui se lèvent le matin, regardent autour d’eux et ne voient que la misère.
Moi j’ai un ordinateur, une connexion internet qui fonctionne.
Des amies qui participent à mon opération Top Model.
Je commence cet après-midi avec Aurore.
Je suis sur mes deux jambes, pas trop mal conservée pour mon âge.
Et surtout, surtout, j’ai une bonne étoile.
Donc voilà, je suis fauchée, mais je fais tout ce que je peux pour me faire de la pub et avancer.
Je ne suis surtout pas à plaindre.
J’ai la vie que je veux, et je sais ou je vais.
En premier, je vais me faire des crèpes.

Opération TOP MODEL

Ce matin, ça m’est venu, par vague.
L’illumination d’abord.
En voyant cette photo de Jasmine, prise par son mari Jacques.
Qui s’y connaît en photo de Jasmine.
Elle est top cette photo.
Pleine de joie , un peu coquine sur les bords, mais sans vulgarité.
Bref, un must.
Je suis presque jalouse.
Je dis presque , parce qu’en fait, je suis reconnaissante.
Déjà, parce qu’elle à du succès, cette photo, et c’est bon pour ma pub.
Ensuite, parce qu’elle m’a donné une idée.
C’est vrai qu’elle est belle, Jasmine.
C’est pas la seule ; toutes mes copines.
Absolument toutes mes copines sans exception sont belles.
Alors, j’ai un tas de topmodel potentiel à ma disposition.
C’est les vacances.
Tout le monde ne part pas forcément… donc 1 plus 1 égal 2.
Je lance l’opération TOPMODEL.
J’invite donc mes copines intéressées à m’écrire et à m’offrir une heure de leur temps.
En récompense ,elles pourront choisir un bijoux dans mon assortiment.
Voilà, elle est pas belle la vie ?
Je vous attends.
Est-ce que je dois préciser que si j’en entends une me dire : « ah ben j’aimerais bien, mais je suis trop comme ci ou
pas assez comme ça… » elle va se faire engueuler sévère ?
La beauté, mesdames et messieurs, ne tient pas dans des critères dépassés.
Et surtout pas dans un programme Photoshop.
Non, non.
La beauté se porte en chacun de nous.
Elle est dans la joie, dans l’amour et le partage.
Alors, je vous attends, écrivez moi en mp,
offrez-moi une heure de votre temps
et on va bien s’amuser !!!

Shooting -day

Aujourd’hui, j’avais un shooting avec deux coach en humour.
Comme souvent, le soir quand je découvre mes photos, j’en fais déjà une ou deux.
Pour celle-ci, le choix des couleurs me semblait évident.
Je suis contente de pouvoir la publier en prime.
Mais la fat que j’aille me coucher.va fait 5 fois que je m’endors.
Je continuerai demain.
Demain
Enfin Aujourd’hui plutôt.
Je suis ravie.
Hier soir, j’étais crevée.
Il faut savoir une chose, pour ceux qui s’intéressent la moindre à la vie d’artiste,
c’est que « ça prends ».
A la fin d’un shooting, je suis sur les genoux.
Je suis tellement vidée que je suis pas loin d’être à bout de nerfs.
Ensuite, autre phénomène, je crée.
Le soir , quand j’ai un peu récupéré, je regarde mes photos, et là, l’inspiration reviens.
Pendant le shooting, je suis hyper concentrée.
Et là, je l’étais doublement, parce qu’elles étaient deux.
Fabienne, que je connais un peu et Gabriela que je ne connais pas du tout.
C’est toujours une épreuve pour moi d’accueillir des gens dans mon appartement.
Que je les connaisse ou pas d’ailleurs.
Je vis tellement simplement, et le ménage n’est pas du tout une priorité dans ma vie.
Ma priorité c’est ma petite-fille, mon fils et mon travail.
Il me faut une sacré dose de courage pour assumer ma vie d’artiste aux yeux des gens.
Regard qui commence dans les escaliers de ma maison délabrée.
Avec la pile de linge à laver qui est devant à côté du recyclage.
Mais bon, je lave et je recycle, c’est déjà ça.
En fait, le seul regard qui compte vraiment est le mien.
Je me juge durement.
Un jour, j’aurai une piscine à débordement. et un employé pour servir des cocktails bien frais à mes invités.
En attendant, c’est mes chats qui accueillent le monde, et je leur fais du thé aux herbes de mon jardin.
C’est très bien aussi.
Donc, pour tout vous raconter je regarde mes photos.
Et aussitôt j’en ai deux qui m’inspirent.
La première c’est celle qui est au-dessus.
Qui saisit la complicité de ces deux amies qui ont choisi de mettre leurs capacités en commun
dans leur travail de coaching en humour..
On sent dans le regard la confiance mutuelle. et le nez rouge est mis pour accentuer la part
de leur « clown » intérieur.
J’en ai fait ma vision artistique.
La deuxième est sur ma page.
C’est Gabriela avec leur mascotte Herbert, le crapaud roi.
Ce qu’il y a de magique avec la photo, c’est que chaque prise a sa propre âme.
Je ne sais pas comment le dire autrement.
Sur celle-ci je voyais de la lumière.
Alors je l’ai accentué.
De la couleur aussi.
Et cette relation entre un humain et une marionnette qui prends vie, au point qu’on le voit sur la photo.
Herbert a des choses à dire.
J’avais un peu peur. de l’envoyer…
Parce que c’est ainsi.. j’ai beau avoir confiance en mon travail, je sais qu’il ne plait pas à tout le monde.
Alors, quand je passe deux heures à travailler une photo et qu’on me dit : je peux avoir la même pas travaillée…
je suis proche de l’anéantissement.
Et ce matin, bonheur !
Gabriela aime ma photo.
Je suis aux anges.
J’aimerais encore les remercier :
Fabienne d’abord, qui me soutient dans mon travail de bijoux aussi, qui est une personne très généreuse et humaine.
Et Gabriela que j’ai découvert hier, avec toute sa bienveillance.
Je fais un métier formidable !

The Get Down

Aucune musique ne me procure autant de joie que le funk.
La musique, quand elle est bonne, bonne ,bonne, et
même le disco.
Si, si, il y a des merveilles dans le disco.
Diana Ross, Donna Summer.. et sa merveille de I feel Love.
Et voilà que je tombe sur ce petit bijoux qui raconte l’histoire du Hip-Hop.
Je m’en souviens bien , moi de la naissance du hip-hop.
DE la Zouou Nation et Afrika Bambaataa, avec Sidney H I P H O P…
J’adorais cette émission et l’énergie qu’elle dégageait.
Le hip hop c’était le paix, le respect.
Mes valeurs aussi.
Autant j’ai détesté les années 80, autant j’ai aimé la musique qui me remontait le moral.
Passez juste les premières notes de Staying Alive et je me lève!
Je ne peux pas résister.
Comme Kevin Kline dans In and Out, quand il essaie e résister à la musique pour prouver qu’il n’est pas gay.
Dehors, il pleut.
J’ai remis ma robe de chambre léopard, il fait un peu froid pour un été.
Mais j’ai passé une super-journée.
Au lieu de faire ma vaisselle, j’ai décidé de me faire plaisir.
De toutes façons , j’allais salir.
Alors autant commencer par le plaisir.
Gâteau au prunicots.
au dehors j’entends les klaxons.
A Bienne , on est contents quand l’Italie gagne.
Les prunicots, c’est des fruits que j’ai trouvé chez Aldi.
Mélange d’abricots et de pruneau.
Cuits, c’est hyperbon.
J’ai un reste de pâte à beignets, j’en profite pour en faire quelques uns.
Je dépense toute ma fortune 20francs, pour faire des commissions.
Grand luxe, je me prends de la crème fouettée, celle qui sort toute seule de la bombe pour aller avec mes pâtisseries.
Des buns aussi, des spéciaux, briochés.
Avec du tarama et de la roquette.
C’est mon souper.
Avec le reste, j’achète de la super-bouffe pour chat, en action.
Ils vont être contents.
Je déjeune vers midi, et je dîne le soir.
Je mets ma télé.. et il y a rien.
Que dalle.
Sur toutes les chaînes et Dieu sait si j’en ai.
Alors je regarde dans mes enregistrements.
Il y a cette série là, que j’ai pris par hasard.
Alors j’essaie.
The Get Down.
Et c’est… une pure merveille.
Jouissive.
Avec des dialogues drôles, des situations cocasses, et du rythme.
Le genre de série que je regarderais bien toute la nuit.
Il est déjà 3h, mais j’ai du boulot.
J’ai avancé dans mon projet de peinture.
Je suis contente, motivée à fonds.
Et la semaine prochaine, j’aurai les fournitures dont j’ai besoin pour mes bijoux.
Un beau coup de pouce.
Plus que ça, quelqu’un qui croit en moi assez pour investir dans ma petite entreprise.
Un geste de pure générosité.
Comme le font les mécènes.
Comme le faisaient les nobles pour les artistes.
Parce que depuis la nuit des temps, les artistes ne travaillent pas pour l’argent.
Donc souvent, à moins d’avoir, comme Dali, une femme qui s’occupait de son marketing, depuis la nuit des temps donc.
les artistes sont fauchés.
Vous savez ce qui est géniale avec la peinture ?
C’est qu’on ne sait pas toujours ce qu’on fait.
Alors, il faut garder confiance .
Soudain ,ça prends tout son sens.
J’ai pris un feutre brun, et commencé des petits traits sur le côté
de mon personnage.
Des petites structures. que je ne comprenais pas.
Surement, il y a quelques années, j’aurais détesté.
Surement même que j’aurais essayé de dissimuler « mon erreur ».
Maintenant je sais : dans tout ce qu’on fait, il y a toujours une part qu’on n’aime pas forcément, à la base.
Mais la confiance.. la confiance c’est tout.
Alors, je laisse, je me laisse faire.
Je continue, même si je ne comprends absolument pas ce que je fais.
Je me recule, parce qu’ il est grand mon personnage.
Elle est grande.
C’est une femme.
Avec de très longs cheveux.
Et ces structures bizarres, justes derrière.
Qui n’ont toujours pas de sens.
Mais j’ai confiance.
Confiance en quoi ?
En moi, en l’inspiration.
L’Inspiration , c’est ce truc mystérieux dont je suis en train de parler.
Ca parle à mon esprit, à mon physique.
Pas vraiment besoin d’écouter, c’est là.
Tout ce que j’ai à faire c’est d’accepter d’en être l’instrument.
Comme un pinceau géant.
Et je laisse faire.
Je dois accepter de donner le contrôle absolu à l’Inspiration.
Si j’essaie de prendre le dessus, ça donne.. de la m….
C’est pareil pour tout les ciosinier,ère du monde, les footbaleurs même,
quand ils shootent à l’envers et que cette passe décisive arrive juste au bon moment.
Un musicien qui compose.
C’est pareil quand j’écris.
Les mots arrivent, et je peux les prendre ou je veux.
Depuis la fin , ou au milieu.
C’est merveilleux.
L’Inspiration « parle » à tout le monde.
C’est quasi mysthique.
Je ne sais pas ce que c’est exactement.
D’ou ça vient et pourquoi c’est si puissant à certains instants.
Comme une radio qui ne capterait pas le son tout le temps,
de la même manière.
Plus ou moins fort,
plus ou moins clair.
Plus j’exerce, plus j’ai confiance, et plus ça me vient.
Bien.
Ca demande d’être dans l’instant présent.
A 100%.
Ca demande des sacrifices.
De prendre des distaances.
On ne peut pas décider d’être inspiré entre deux et quatre.
La nuit, on l’entends bien parce que c’est plus calme, moins parasité.
Mais elle vient aussi la journée.
Ou peut-être qu’elle est tout le temps là.
Et c’est nous qui ne l’entendons pas.
Je pourrais en parler encore longtemps, mais là, ce n’est pas le sujet.
Le sujet c’est le résultat.
Je me recule encore une fois.
En ce moment même , quand j’écris, les mots me viennent d’avance, dans ma tête,
et je n’ai qu’à retranscrire.
Ca dit :
je me recule alors, et qu’est-ce que je vois ?
Ce sont des ailes.
Des ailes de papillons.

Ah Chat ira !

J’ai une vétérinaire fantastique.
Tout ceux qui me l’ont recommandée le savent bien :
ce qui fait la merveillosité de Florence de Brito,
déjà c’est sa grande compétence.
Ensuite son soucis de ménager autant l’animal que l’humain.
et pour terminer, son exceptionnelle humanité.
Ceux qui pensent que j’exagère ne la connaissent pas.
Florence de Brito est un être à part, comme il en existe 1 sur 1000
de son espèce : une jeune femme dynamique, professionnelle, et emplie de bonté
envers ses semblables et leurs animaux.
Quelqu’un m’a dit : « elle réponds à toutes mes attentes « .
C’est exactement ça.
Ce dont nous avons besoin quand notre animal va mal tient en trois points :
-Qu’on prenne son cas avec sérieux et compétence.
-qu’on fasse le nécessaire pour le soulager, le guérir, ou rendre son départ pour une monde meilleur moins douloureux.
-qu ‘on nous ménage aussi.
Trop souvent on se contente des deux premiers points, ce qui serait déjà bien.
Après tout, nous on n’est pas sensé être malade.
Sauf que si, nos animaux sont comme nos enfants.
Des êtres vivants, proches de nous que l’on aime et qui nous aime.
Leur souffrance est la nôtre
Ca Florence de Brito le sait, et elle en tiens compte.
Le fait qu’elle conjugue compétence et humanité, en résumé, fait d’elle quelqu’un que nous avons plaisir à voir,
même dans de telles circonstances.
Elle nous rassure et c’est tout bénéf pour Pilou, Pim ,Primo, Seety, Nelson, Caotina , Artas et Mystère.
Je dirais encore d’elle que c’est une passionnée par son travail.
Elle m’inspire la reflexion que lorsqu’on peut faire l’activité pour le quelle on est fait, les conséquences positives sont grandes et se répecutent sur tout le monde.
Quelque chose me dit, que même si elle n’avait pas pu faire d’études, elle serait de toutes façons une personne utile à la société.
e me reconnais en elle.
Pas en ce que je suis, mais en ce que j’aimerais être.
On devrait la montrer en exemple dans les écoles !
Je pourrais facilement écrire tout un livre sur elle, tant elle est inspirante, et tant elle aurait à raconter d’intéressant.
Alors bien sûr, elle doit bien avoir quelques défauts ça et là, sinon elle ne serait pas humaine.
Peut-être qu’elle oublie de reboucher le tube de dentifrice …
Enfin bref, merci Renaud et les autres qui me l’ont recommandé
Je ne pensais pas qu’une telle personne existait.
Et bien si.
Des nouvelles de Pim maintenant ; ce bouton peut-être bénin ou pas.
Carcinome, réaction à morsure de tique, verrue etc…
Maintenant, il va falloir le surveiller.
Au pire il faudra l’enlever.
Mais il peut très bien partir tout seul.
Je remercie les gens qui s’en sont inquiété.
C’est là que je remarque encore la bienveillance de mes amis.
En règle générale , une bienveillance que je constate sur les réseaux sociaux.
Une bienveillance qui donne de l’espoir sur notre monde.
Ma question est :
Comment faire pour que cette bienveillance grandisse encore et s’étale?
Pourrait-on donner des cours de bienveillance dans les écoles ?
Bien sur, à la base, les parents sont là pour ça.
Je sais qu’il reste encore trop de souffrances et d’injustice,
qui engendrent la violence.
Des personnes froides, incapables de manifester leurs sentiments.
Cette part sombre qui est en chacun de nous,
Le deuxième côté de la pièce.
La cruauté que l’on retrouve dans la Nature.
Et toujours cet infini mystère sur nos origines , le sens de nos existences,
le but, si il y en a un.
Tout ce que je sais c’est que chaque jour devrait se vivre comme si c’était le seul .
Comme si on était né ce matin et qu’on allait mourir le soir.
Mais est-ce que je prendrais deux heures pour faire le ménage si c’était le cas ?
Qu’est-ce que je ferais,s i c’était mon dernier jour , hein ?
Une grande fête avec tout mes amis ?
Mais eux, il auraient surement d’autres projets ?
Ou plus égoïste, je ferais tout ce qui me fait plaisir ?
Me goinfrer de fondue bourguignonne, avec des tas de desserts.
Par exemple.
Mais non.. un jour ok, mais pas tous.
Ca me rendrait malade.
On ne peut pas vivre chaque jour comme le dernier, talatata.. comme dans la chanson.
Je préfère vivre chaque jour comme si c’était un jour parfait.
Ou je fais ce qui me plait, et même ce qui ne me plait pas, en le faisant bien.
Pour ce sentiment, cette sensation si agréable que ça procure, d’être en paix avec soi-même.
De m’apporter et d’apporter au monde ce que je sais faire.
Et le plus important là-dedans ,c’est de résister à la tentation de vouloir correspondre à une fausse image de nous-même :
celle qu’on croit devoir donner au monde pour qu’il soit content.
C’est perdu d’avance :
le monde n’est jamais content.
Le monde ne cherche pas à comprendre non plus.

Il vous juge, vous condamne, vous puni quand bous ne correspondez pas à ses critères.
Autant lâcher l’affaire tout de suite.
Etre tolérant, avec son voisin qui apprends à jouer de la guitare et joue 2000 fois de suite le même morceau.
Ne pas tenir compte de ceux qui pensent que je ne travaille pas.
Parce que ce n’est pas sérieux , tout ça!
Tu blablate dans ton blog, tu fais deux bracelets et trois photos ?
C’est ça…
Ecris moi, la tout de suite un texte de deux milles mots, pour voir ?
Fais moi un collier à 7 fils avec la méthode du tissage, une vraie création, pas un truc chopé sur Youtube et trouve quelqu’un qui veut l’acheter.
Peint moi une princesse .
Assure les photos pour un mariage.
Et fais tout ça en même temps que tu élèvera tout seul tes deux enfants , dont un qui… et que….
Stop.
Ah ben ,j’oubliais.. je ne travaille pas.
J’ai l’impression que e voisin du dessus monte un groupe de rock.
Mais lui non plus ne travaille pas.
On à besoin ni de rock, ni de photos, ni de lecture….
Oh oui , on peut vivre sans.
D’ailleurs parfois, j’aimerais bien tout quitter pour aller élever des chèvres naines en Corse.
J’ai toujours vouu y aller.
Bon c’est pas tout ça, mais j’ai du boulot.
Il est déjà midi 45, et j’ai oublié de déjeuner.
Vous savez, je parle souvent de mes amis, des personnes géniales que je rencontre.
De mes chats, qui sont décidement des animaux étranges.
Pim c’est installé pile poil sur le bicarbonate que j’ai renversé sur le parquer.
Elle me contemple depuis là.
Elle veille sur moi.
Et réciproquement.
Je parle des gens , de ma famille plus plus, parce que ce sont eux qui font ma vie.
Qui font qu je suis,
Je vous laisse, j’ai un groupe de rock à étrangler.
Tiens, j’ai une idée, je pourrais plutôt les prendre en photo?
Voir leur pondre des textes ?

Chat continue

Bon, on s’en passerais bien, comme me dirais quelqu’un de proche, mais un de mes chats à une sorte de bouton bizarre entre les deux yeux.
Bien sur, ce n’est pas le moment.. ça n’est jamais le moment d’ailleurs.
Mais je ne peux pas la laisser comme ça.
D’ailleurs, elle viens me parler, pour me dire qu’il faut que je fasse quelque chose.
Donc ce matin, je saurai.
Ma vétérinaire vient nous voir dans quelques heures.
Ma pauvre Pim.
C’est déjà elle qui c’était fait attaquer.
Et maintenant e truc.
Peut-être une réaction a une piqure de tique.
Je vais savoir.

Aujourd’hui…salon de beauté pour chats

Aujourd’hui, je peigne mes chats.
Ma bande de sauvageons des bords de la Thièle ne ressemblent plus à rien.
Ils font carrément de la laine.
Pour ceux qui s’inquiêteraient…
il y en a toujours, armés de bonnes intentions envers le règne animal .
Vous savez ceux qui m’envoient, gentiment, hein.. c’est pas contre moi… les services vétérinaires à 7heures du matin.
Espérant qu’ils trouveront quelque chose et qu’on les embarquera pour un monde meilleurs..
Ben non, mis part leur coupe de cheveux très hasardeuse,
mes chats sont tous castrés, pucés, identifiés , enregistrés officiellement comme m’appartenant, vaccinés,
et en très bonne santé.
J’ai la meilleure des vétérinaires.F. De Brito.
Donc, merci les gens, tout va bien.
Par contre , je demande à la même personne, que je n’ai toujours pas identifié,
si elle veut bien m’aider à tous les brosser.
Ca serait de l’aide, de la vraie !
J’en ai 8.
Y’a du boulot.
Artas la tricoline , le chat docteur qui vient pour vous réconforter.
Sa soeur Caotina la tricoline aussi, qui se contente d’^tre très belle avec son maquillage à l’égyptienne.
Pilou et Nelson , les noirs et blancs frère et soeur.
Très différents de caractère comme tout les chats.
Nelson est collant, dominant.
Pilou est très intelligente et discrète.
Pim la tricoline , douce et tranqille.
Ses enfants que j’ai gardé :
Mystère la star avec sa bouille de pub et son frère Primo avec sa jolie voix douce.
Et enfin, la presque toute noire Sweety, qu’on n’apelle jamais comme ça.
Elle est à part, indépendante.
Voilà c’est tout.
Et ça me suffit largement.
Je n’ai jamais voulu avoir autant de chats.
Ce sont les circonstances.
J’ai décidé de les garder.
Et si vous avez bien suivi, ils sont tous castrés.
Donc fini les bébés.
Je devais le dire une fois pour toutes, parce qu’on me demande encore des chatons.
Ca me fait plalsir quand mem parce que ceux qui sont nés chez moi m’envoient encore de leurs nouvelles à travers leurs humains qui les adore.
Aujourd’hui c’est l’anniversaire de Flo, qui m’a bien aidé quand il le fallit.
Entre autres, qui méritent toute ma reconnaissance
Aujourd’hui, je n’ai plus besoin d’aide.
Comme c’est bon de m’en rendre compte.
J’arrive à les nourrir et à les soigner, en touchant du bois.
Parce que rien n’est jamais gagné.
Il faudra que je travaille et travaille encore.
Mais ça tombe bien, j’adore ce que je fais.
Aujourd’hui, après le brossage, j’étudierai la possibilité d’avoir un nouvel outil pour mes bijoux.
Dans quelques jours j’ai un shooting.
Des bijoux à adapter, d’autres à créer pour mes commandes.

Et des amis merveilleux.
C’est mon équilibre.
Alors c’est vrai, je suis très loin d’être parfaite.
Ca me gêne un peu quand on me dit que je suis une bonne personne.
Ensuite, je réfléchi et je me dit que c’est vraiment gentil de le penser et de me dire.
Alors je l’accepte, parce que , oui, ça doit m’arriver de l’être.
Mais pas que.
Comme tout le monde.
A de rares exceptions.
Il y a pleins de cons, c’est vrai, mais les gens vraiment, vraiment méchants sont heureusement plus rares.
On n’a pas le droit de dire aux autres comment ils doivent vivre leur vie.
J’adore cette phrase de mon amie Doris.
C’est assez fou, quand on la connait de penser que certains essaient encore.
Mais ça ,c’est justement parce qu’ils ne la connaissent pas.
Connaître les gens ça aide à les comprendre, n’est-ce pas ?
Ca c’est quelque chose que ma appris ma maman.
Quand j’enviais quelqu’un, elle me disait que je ne connaissais pas sa vie.
On fait tous ce qu’on peut.
Et personne n’a le droit de nous dicter nos priorités.
Les miennes aujourd’hui seront de brosser ma meute de petits bestiaux félins.
Ensuite je tricoterai des pulls .