Le chemin du bonheur et le bois flottant.

Comme disais une de mes amies, il y a peu, le bonheur est un chemin caillouteux.
Je dirais même plus, le bonheur est un chemin caillouteux, parsemé de fleurs.
Et c’est justement, parce qu’il y a des cailloux, qu’elles nous semblent plus belles.
Ou des bois flottants.
-Hein ?
Oui, des bois flottants.
J’ai ne véritable passion pour les bois flottants.
Je suis même experte auto-proclamée ,en bois flottants.
On reconnaît le véritable bois flottant, à ses bords arrondis, polis par les eaux,
au fil des jours.
Il doit être léger, mais dur, une fois sec.
Avec de belles couleurs chamois entrelacé de marron.
Les plus beaux ont des formes d’animaux, de masques rituels, de bâtons de sorciers.
Les plus grands sont recyclables en arbre à chat.Par exemple.
Ou en banc de jardin original.
Avec les petits, ‘ç’est illimité: juste une question de créativité.
Un jour, j’ai cru défaillir, près de la Péniche, sur le ponton, s’élevait une véritable montagne de bois flottants.
La ville les ramasse.
Et qu’en fait-elle ?
Rien ou pas grand chose.
Alors que le bois flottant peut très bien être utilisé comme combustible.
Pourquoi ne pas le revendre à la population ?
Ce serait une idée.
Autre idée, j’habite en face de « action paysage ».
Que vois-je depuis ma fenêtre ?
Depuis que j’y habite, 6 ans, un lopin de terre, plus ou moins laissé à l’état sauvage la plupart du temps.
Parfois, (un coup de sang) l’endroit est débroussaillé, et quelques exemples des actions jardinières réalisables par
les hommes du lieux sont installées.
Jusqu’à ce que l’état sauvage reprenne ses droits.
Je ne sais pas grand chose, sur « action paysage » mis à part qu’ils vendent du jus de pommes pressées (excellent) et qu’il y a toujours des tas de gravats derrière la maison…
En tout cas, ce n’est pas la place qui manque pour entreposer du bois flottant.
Et pourquoi feraient-il ça ?
Parce que je me suis renseignée entre temps.
Et qu’apprends-je ?
Que parmi les actionnaires , les deux premiers sont
le Réseau lac de Bienne
la Fondation Réseau lac de Bienne.
Alors là, je m’interroge…
Ou est le problème?
Puisqu’il parait que nous croulons, enfin notre lac et nos rivières croulent sous le bois flottant.
Puisque nous avons une infrastructure parfaite pour entreposer et distribuer ce même bois.
Et assez de main d’oeuvre..
Ce derniers jours, ils ne devaient pas être trop occupés, parce que je les ai vu, 4 gros gaillards qui s’employaient à remettre en état le petit lopin cité plus haut.
Je vais un peu plus loin sur le site et la page « vente de bois  » est temporairement indisponible.
Donc, même le bois « normal » n’a pas l’air d’être une priorité…
Je comprends mieux pourquoi on ne s’occupe pas optimalement du bois flottant…
Pourtant action paysage a aussi un but social.
N’y-a-t’il pas assez de chômeurs dans notre belle city ?
Je m’interroge.
Heureusement, j’ai des relations :).
Parmi mes amis Facebookés et accessoirement amis des chats, Mohamed Hamdaoui,
qui, surprise, a écrit un article sur le sujet dans un des derniers Biel-Bienne.
Ni une, ni deux, je lui pose la question, sur son mur, droit direct.
Et contrairement à notre Maire qui n’avait pas le temps de me répondre pour un problème précédent,
Mohamed m’écrit qu’il va se renseigner.
J’en suis extrêmement contente !
Et je me prends à rêver d’une motion Catherine Bergeon sur le recyclage du bois flottant en bois de chauffage pour la population.
Mieux, à fonder un atelier pour sans emploi et autres cas sociaux dans mon genre (souvent pourvus de dons artistiques) afin de recycler les plus beaux morceaux en mobilier pour jardin sûrement plus jolis que les bancs à base de palette, et autres tabourets et tables de bar. Une fois traité, le bois flottant fait de magnifique décos pour aquarium, aussi. Sans oublier les arbres à chats. des pieds de lampes, etc… etc…

Les bois flottants sont des trésors de la nature.
On devrait les traîter à leur juste valeur.

.

La peur

Il fait super froid ,en ce moment, à Bienne.
Le vent glacé de l’hiver qui s’éparpille dans nos masures.
La mienne est tellement pleine de trous et de fissures.
Il n’y a que près du feu ou du radiateur soufflant que j’ai chaud
La fatigue qui s’ajoute au froid, m’engourdit le cerveau et me fait
coucher tôt.
Je vais y aller d’ailleurs.
Parce que là, j’ai le cerveau comme une granita.

Bouh!

Dès que je le vois, et qu’il tourne son masque vers moi, j’ai peur.
J’ignore pourquoi.
Peut-être, justement, parce qu’il fait vraiment peur!
Celui qui est derrière, est encore plus effrayant, mais heureusement, il continue son chemin
J’aimerais le photographier, mais il se précipite vers moi avec ses confettis.
Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir que ma petite fille
qui tient la main de son parrain, va avoir encore plus peur.
Alors quand je vois qu’il se dirige vers elle,
une chose étrange et belle se produit.
Ma peur s’envole d’un seul coup.
Il est là, en face de moi, et j’écarte mes bras pour faire
écran de mon corps relativement gracile en comparaison de ce montre poilu.
Je suis très calme et souriante, mais, en même temps, prête à me battre jusqu’à la mort, s’il le faut.

Bien sûr, qu’il ne le faut pas,
c’est Carnaval, avec une bonne ambiance.
Mais se faire chopper par un truc poilu qui vous couvre de conferr
Et là, autre chose qui me frappe, instantanément,
c’est un bon feeling.
Je ressens zéro agressivité.
D’aucune part.
Et le monstre s’en va.
Gentiment.

Juste une mise au point…

Prenez le comme vous voulez, mais je me considère plus comme une artiste que comme une photographe.
-On s’en fout un peu…
Grand sourire :).
Il y a des millions d’autres blogs sur internet, pour information.
Mais pour ceux que ça intéresse, je m’explique :
Parce que la saison des mariages arrive, et avec elle, le même lot de questions.
Au début, je ne voulais pas photographier de mariage.
Parce que c’est un immense boulot et je ne m’en sentais pas capable.
J’ai commencé par un baptême. et ensuite c’est allé tout seul.
J’avais eu tant de plaisir .
Grâce à la photo numérique, tout le monde s’improvise photographe.
Et même avec les smartphone, chacun devient capable, avec quelques filtres de faire de très belles choses.
Quand à faire tout un mariage, c’est une autre histoire.
Après, il y a les Rambo’s de la photo.
Ils viennent en équipe, avec du super matos. et vous livrent, en deux temps trois mouvements,
exactement ce qu’ils vous ont promis, 200 photos, copié-collé des mariages précédents.
E t puis, il y a moi, avec ma sensibilité.
J’ai besoin, d’abord, d’être respectée.
Je ne suis pas une employée qui vient faire son service.
Je viens chercher des émotions.
Je veux faire des belles photos, qui vous touchent.
Je veux saisir dans la foule, le grand-papa qui ne sera peut-être plus là pour longtemps.
Je veux prendre l’oeil du mari qui voit arriver sa future femme dans l’église,
Etre là, quand la mariée va couper son gâteau, parce que je sais que c’est important pour elle.
Quand sa maman lira son texte à l’église, tellement prise par l’émotion, je veux que ça se
sente sur ma photo.
Ca c’est ce que je veux.
Et même si je dois finir sur les genoux, portées par deux invités qui auront pitié, je le ferai.
Et même si je vois retoucher 500 photos, je le ferai aussi.
Par respect, par envie, par passion.
Ce que je refuse par contre :
C’est qu’on me choisisse, parce que je suis bon marché.
Qu’on m’invite , en me disant, que je n’ai pas besoin de travailler, mais que je peux prendre mon appareil quand même…
Il y a des gens qui pensent qu’il pourront récupérer les photos de leurs amis et se faire un album bien avec ça… mais je n’en connais pas qui ont réussi.
Au final, ceux-ci regrettent de ne pas avoir pris quelqu’un pour ça.
C’est un peu comme si on fait un pic-nic canadien, au lieu d’engager quelqu’un pour le repas.
A la différence que le pic-nic à plus de chance d’être un succès que le même système appliqué au photographe.
Il y a des gens pour qui les photos n’ont pas d’importance..
il y a ceux pour qui, photographe, n’est pas un vrai travail…
Qui n’ont aucune idée du nombre d’heures que ça prends, et malgré le tarif, jamais on ne sera payé pour ce qu’on fait, à moins de s’en f.. et de donner les photos tell quell, sans tri ni retouche.
J’ai connu un marié qui s’en fichait mais qui en voulait pour faire plaisir à sa femme…
qui marchandait mon prix à l’extrême, et dont au final, pour mon bien, je n’ai jamais fait les photos.
Je ne suis pas la meilleure, ni la pire.
Mais pitié, si vous me choisissez, faites le parce que vous aimez mon travail.
Et respectez moi.
J’ai eu beaucoup de chance pour l’instant, c’était toujours le cas.
Parce que j’ai choisi mes mariages aussi.
Et parce que je n’ai pas été choisie par ceux qui avaient d’autres motivations.
En tant qu’artiste, j’apporte aussi quelque chose, je fais partie du truc.
Voilà pourquoi je préfère faire les gens que je connais.
Ou leurs amis qui me recommandent.
Parce que nous sommes tous des êtres humains.
Imagine le marié qui dirait à sa femme entrant dans l’église, que sa robe ne lui plaît pas?
C’est inconcevable.
Un mariage est un jour important.
Une seule personne est capable de gâcher toute la fête.
Pour moi, ce que je vais en prendre est important aussi.
Je sais que je suis capable de capter ce qu personne d’autre n’avais vu.
Parce que j’ai ma façon de voir.
Et c’est pour ça qu’il faut m’engager.

Changer de point de vue

Il y a longtemps que j’en rêvais : avoir un téléobjectif pour mon appareil photo.
Et voilà, très gentiment, un ami m’a prêté le sien.
Il m’a dit, tu verra, ça ne change pas grand chose.Pour moi, ça change tout.
Mais je comprends, ce qu’il veut dire.
Avec un certain matos, on peut compter les poils des chiens à 1 kilomètre…
Ca existe, mais c’est plus cher.
La différence se trouve dans une meilleure extraction des détails.
A condition de bien l’utiliser.
Ce que je dois encore apprendre.
Ca tombe bien , j’aime apprendre.
Ma devise c’est : il n’est jamais trop tard pour bien faire.
A ce propos, j’ai retrouvé ma filleule chérie.
Je n’ai pas eu l’occasion d’être une bonne marraine, quand elle était petite.
J’avais 16 ans ,et déjà bien assez à faire pour m’occuper de moi.
Mais voilà, le temps à passé, et malgré tout, je n’ai jamais cessé de penser à ma jolie filleule, avec son air mystérieux et ses origines lointaines.
voilà que la vie, la remet sur mon chemin et j’en suis bien contente.
Maintenant, c’est une belle jeune femme, on ne croirait jamais qu’elle a déjà 43 ans.
J’étais si heureuse de la retrouver.
Et le bonheur continue, avec ce mot : marraine.
Ca me fait tellement chaud au coeur, quand elle le dit.
Maintenant, je serai là pour elle si elle à besoin, ou juste pour le plaisir de la voir.
Je suis remarrainisée.
C’est ma filleule et désormais personne ne pourra plus rien faire pour changer ça.
Je suis si fière d’elle, de la magnifique jeune femme qu’elle est devenue.
J’ai envie que le monde entier sache que je suis sa marraine, et qu’elle est ma filleule.
Elle s’appelle Brigitte.
Elle est belle, dans tout les sens du terme.
Forte aussi.
plus qu’elle ne le pense.
Et je l’aime de tout mon coeur.

Sacré Semaine

Cette semaine était très concentrée.
Un mariage, un projet pour un autre, carnaval et l’enterrement de vie de jeune fille de Lala.
Chaque fois des photos à faire.à réussir parce que le train ne passera qu’une fois.
Je suis éreintée, je m’endors, oui je m’en..do.rsssssssssssssssssss rssssssssssssss rssssssssssssss

Carnaval 2018

Les Carnavals se suivent et ne se ressemblent pas.
Chaque cuvée a son ambiance.
Ambiance qui est le reflet de la ville, mais aussi sûrement, un peu plus que ça.
C’est la température du temps.
De 2018-
2018 est créatif.
On ose, sans choquer, pour le plaisir.
Son plaisir et celui des autres.
Je rois que le monde en a assez des provocations, on retrouve la joie simple d’être gentil.
Je suis fatiguée moi aussi, il fait froid dehors, chez moi aussi.
J’ai juste envie de me blottir dans mon lit sous mon duvet de plumes , bien chaud.
Et d’y rester le plus longtemps possible :)-

Une grande et belle histoire d’Amour

Dans mon histoire, il y a des histoires.
Des histoires d’amour.
C’est ma vocation,
ce que je préfère : photographier les histoires d’amour!
Sous toutes les formes.
A commencer par la Nature.
Dans la Nature, tout est amour.
Les cygnes qui élèvent leurs enfants avec tant de soin, en restant fidèles l’un à l’autre.
Les fleurs, les arbres, pollinisé par les abeilles.
Et le fruits apparaissent, gorgés de ces jus qui nous font tant de bien.
C’est le cycle de la vie.
La pluie, le vent, le soleil, qui s’allient, qui s’altèrnent.
Pour que tout pousse et grandisse.
La Vie, c’est une histoire d’Amour.
Depuis toute petite, je regarde les gens, les choses, avec amour.
Et puis, à force d’observer, j’ai vu le mal aussi.
Je déteste le mal, mais ça ne m’a pas empêcher de continuer,
en secret, à aimer le Monde.
A étendre ma petite prière du soir, à ma famille, la maison ou j’habitais, la rue, la ville, le pays et le monde.
Je me disais que, peut.être, je pourrais le sauver.
J’ai grandi.
J’ai compris deux ou trois choses en passant.
Que je ne sauverais pas le monde… déjà.
Mais j’adore quand Bruce Willis le fait :).
Enfin bref, je continue de poser ce regard sur les gens,
et je les photographie, pour la postérité.
Au fil des années, certains ont disparu.
Et je sais que mes photos sont des traces d’eux, pour leurs proches.
Ca amplifie encore la pression que je me mets,
quand je fais
un shooting.
Hier, j’étais si épuisée, que je suis allée me coucher ee rentrant.
Pourtant, ce n’était qu’une heure de travail à l’état civil.
Mais voilà, c’était un mariage.
Un mariage ne se refait pas, on ne peut pas choisir un autre jour, pour refaire les photos , si elles sont loupées.
Tout se passe, dans le moment.
Avec des instants clés : les oui… les alliances.
Des regards.. à garder ou pas.
Quand les mariés sont top, au premier plan, mais que cousine Germaine fait la gueule, juste derrière…
Je récupère!
Heureusement il y a Photoshop est ma deuxième devise…
en ce qui concerne la photo.
La première étant de me donner de la peine,
et ça plus une sensibilité assez marquée, explique pourquoi, après un mariage, je suis éreintée.
Quand j’en fais un grand, toute la journée, je ne bois pas une goutte d’alcool,
et pourtant je fini sur les genoux.
Ce sont des moments forts.
Voilà pourquoi, il est important que ,dans ma vie privée, je puisse être au top.
Parce qu’en vérité, un mariage, pour moi, ça commence le jour où on me l’annonce.
En parlant d’annonce, quelqu’un de très important pour moi, comme un membre de ma famille, se marie cette année.
Avec une magnifique histoire d’amour au programme.
Je suis engagée pour faire la photo de faire-part.
J’ai eu une idée…
Cet après-midi, j’avais rendez-vous pour exposer mon idée.
Et elle à plu.
Ils adhèrent !
Toute la famille, enfants compris.
Ce qui va donner le plus génial des portraits de famille.
En vérité j’espère que celä donnera envie à d’autres familles d’utiliser ce concept.
Concept que je garde secret encore.
Parce que, figurez-vous, n’est pas Véronique? que certains me piquent mes concepts.. c’est assez drôle d’aller voir ce qu’ils en font. Mais c’est une autre histoire.
Je disais donc que j’espère que ce concept plaira à d’autres familles…
Mais eux, seront les premiers.
J’ai très très hâte !!
Tellement je me concentre.
J’aimerais dire encore quelque chose , aux gens qui souffrent et perdent espoir : tout est possible.
J’ai connu quelqu’un dont la souffrance transperçait le coeur.
Mais je savais, je lui disais , qu’un jour, ça s’arrêterait.
Il faut parfois aller jusqu’à saturation.
Aussi profonds était votre mal.
aussi grand et intense sera votre bonheur.

Comme un petit pommier en hiver

Il est curieux, ce petit pommier.
Je le regarde souvent, quand je passe par là.
Sur mon chemin pour le lac.
Ce doit être une espèce tardive.
Mais les espèces tardives se récoltent en octobre…
Nous sommes en hiver, pourtant.
Et il est là, malgré la neige, malgré le froid.
Il n’a plus une seule feuille, mais toutes ses pommes
apparaissent, belles et colorées.
Etrange…
Il faut regarder dans le jardin pour s’en rendre compte.
Un jardin bien entretenu, par une vieille dame qui en
prends soin.
Une vieille dame avec un sale caractère, mais qui adore
son jardin.
Moi aussi j’adore son jardin.
Au printemps, il y pouuse de très jolies fleurs, dont
j’ignore le nom.
Il y a un petit banc, ou jamais personne ne s’assoit.
Mais moi, je le prends en photo.
Ce qui m’a valut de me faire engueuler une ou deux fois.
Elle s »est, un peu radoucie, quand je l’ai complimenté sur son jardin.
Enfin bref…on ne sait pas ce que vivent les gens, pourquoi
ils sont comme ci ou comme ça.
Si je dis que je me sens comme ce petit pommier, ça ne va pas être facile à décoder.
Même pour moi.
La nuit passée, le mal de dent m’a réveillée.
Il faut absolument que j’aille chez le dentiste.
Mais j’ai peur…
D’avoir mal, de ce que ça peut coûter.
Dommage qu’il n’existe pas « les dentistes du coeur »…
Je mets de l’argent de côté, en espérant que ça aille vite,
avant que ça ne s’aggrave.
Aujourd’hui, j’ai un mariage à l’état civil.
C’est la St-valentin.
Je me réjouie.

L’Expérience ne se transmet pas vraiment

ou alors, seulement par l’exemple.
Par les expériences.
Dans le sens ou ça ne suffit pas de dire à quelqu’un qu’il, ou qu’elle doit prendre confiance.
il faut déjà qu’il ou qu’elle écoute.
Deux, qu’il ou qu’elle ait envie de le faire.
Trois : qu’il ou qu’elle essaie..
En ça les petits enfants sont formidables.
Ils sont derrière vous et ils n’ont qu’une envie : essayer !
Tandis que les adultes, enfermés dans leur tour d’Ego, ne voient pas plus loin que le bout de leur nez.

C’est valable pour moi aussi.
Qu’y-a-t’il que je pourrais apprendre, que quelqu’un aimerait me montrer et que je nveux pas voir ?

Pour l’instant j’expérimente le fait qu’il faut garder confiance, s’écouter, ne pas vouloir à tout prix provoquer les choses, mais attendre, patienter, s’il le faut.

Persévérer, oui, mais dans la patience.