La Base

Il y a des jours comme ça, spécialement à la fin,

avant de se coucher, vous faites le bilan des heures passées et vous n’en pouvez juste plus.

Pourtant vous avez fait tout ce que vou pouvez pour votre entourage.

Mais il y en à un, seulement un mais qui compte pour 10, qui vous à spécialement brisé les ovaires menus.

Le pire, c’est que le type en question, dans mon cas, c’est que je l’ai fabriqué moi-même.

Bref.. chaque phrase est un reproche.

Chaque fois que je croyais trouver du répit se soldait par une intrusion , plus ou moins violente

dans mon espace.

Je suis coupable de crimes graves.

Comme mettre trop de papier dans les toilettes.

Du coup, quelque soit, pour vous le paramètre qui foire, si vous vous regardez dans la glace, vous avez 150 ans.

Si vous regardez dans votre tête, … non, vous allez vous abstenir, rien que d’ y penser vous avez envie de dormir pour échapper à ce que vous pourriez trouver.

Donc… et c’est là que le titre de mon article va se justifier, je vous propose mon petit remède pour regagner les 10 ans qu’on vous a arnaqué.

D’abord, faites un selfie, ou regardez vous dans la glace en mémorisant bien la tête que vous faites.

Histoire d’avoir un avant après.

Ensuite on commence.

Et soyez ferme ! ne vous laissez pas apitoyer par des tentatives de rabibochages qui sont plus pour calmer la conscience de l’envahisseur qu’autre chose.

Vous avez le droit d’avoir su temps pour vous !

Je précise que

ça demande un petit investissement de base.

Pas grand chose si vous allez chez Aldi, les deux produits, ensemble,  font moins de 5 francs .

Il s’agit du peeling pour les pieds et du baume assorti.

La petite machine à pédicure m’a coûté moins de 20 frs.

Pourquoi les pieds ? parce que c’est la base !

Et quand la base va, tout va.

Donc, je commence par traiter mes petons avec la petite machine, pour enlever tout ce qui ne devrait pas s’y trouver.

Déjà là, ça va mieux.

Le ronron de la machine apaise mes nerfs douloureusement mis à l’épreuve.

Théoriquement, là… ça va déjà bien mieux.

En tout cas moi, là, ça va mieux.

Maintenant, plaisir suprême, j’attaque le peeling.

Celui d’Aldi est totalement parfait.

Il sent bon , est efficace, que demander de plus ?

c’est parti, au moins 15 minutes par pied en massant en même temps.

Devant une bonne petite série, ça passe encore mieux.

Là, j’essaie Instinct, sur la Suisse, je réserve mon avis.

bons acteurs, vu Woopy Goldberg.. bon signe

Le héros est un écrivain professeur gay, et doué.

Bon, je m’y metsPensez à faire la cheville.

Important la cheville.

Pensez que la peau est un organe.

Soigner le bas , soigne aussi le haut.

Le mollet, , voir derrière le genoux,

très important le derrière du genoux,

pour la circulation du sang.

Allez rincer et regardez-vous dans la glace au passage.

Faites vous un sourire.

Et allez rincer et bien sécher entre les orteils.

J’ y vais.

Voilà et maintenant, the Final Touch, le massage

avec la pommade SOS pour les pieds, à 2frs 50 o`un truc du genre de chez Aldi.

Entre parenthèse, ce n’est pas parce que c’est bon marché que c’est  forcément mauvais.

Voyons voir.

Autre parenthèse, c’est très agréable de se faire masser les pieds par quelqu’un d’autre, mais il n’y a que soi-même pour savoir exactement où  il faut insister.

Et c’est parti en insistant bien entre les orteils.

Tirez, malaxez, pressez, variez…

Et voilà.

La vous êtes parfaitement détendu,e.

Prisca dort, près du radiateur.

Elle rêve… ses pattes bougent toutes seules.

Quand aux miennes…. un dernier coup de rasoir

et, elles seront impeccables.

En parlant de rasoir, décidément le Oneblade que j’avais acheté pour trois fois rien quand mon petit Denner à fermé, est fantastique.

Pas besoin d’eau ni de produit.

Et voilà, envolé mon stress.

Même si, c’est vrai, vu l’heure, j’ai l’air un peu fatigué, mais je me sens bien mieux.

J’ oublie parfois qu’il suffit de pas grand chose,

et que s’occuper de la base est essentiel.

C’est fait.

Je vais encore retoucher une photo ou deux, promener Prisca, faire une machine, et aller me coucher.

Ma ptite machine à jet pour les dents est toujours aussi efficace et indispensable.

S’occuper de soi prends du temps,

du temps gagnant.

 

 

 

Mes Anges et mes Dragons

J’ai de la chance.

Dans ma vie, j’ai fais des rencontres formidables.

En fait, faire des rencontres formidables,

découvrir la nature humaine dans toute sa splendeur

et sa diversité:

C’est ce que je préfère dans la vie.

Bien sûr, malgré que je sois très naïve, parfois…

-Souvent !

Souvent ?

-Souvent.

Bon, malgré que je sois souvent très naïve.

-Voir extrêmement.

Voir extrêmement, c’est vrai, malgré tout ça donc,  je

sais que chaque être humain à sa part d’ombre.

Je crois aussi que plus quelqu’un a l’air brillant et plus grande est sa part obscure.

Ce que je voulais dire ce soir, c’est ça :

chaque fois que quelqu’un à une bonne pensée envers moi

et mes oeuvres, mon blog, mes photos,  ça me donne de l’énergie.

Une énergie mesurable.

Dans le sens que je la sent.

Dans les deux sens..

Cette énergie me donne confiance en moi.

Je vois mon travail avec un regard positif.

Je suis motivée.

Et ça marche pour moi.

C’est là qu’arrive  mon dragon intérieur.

-Sale bestiole !

Pire. Pourriture de bestiole qui essaie de saboter mon boulot.

Les dragons intérieurs sont constitués de doutes et de vieilles peurs.

Ils grandissent en se nourrissant les uns les autres.

-Mais on peut les terrasser.

Exactement. On peut.

-Mais comment ?

En restant vigilant.

Dès qu’il montre  le bout de son museau.

il faut l’ignorer.

-Hein ?

Oui, c’est comme ça qu’on terrasse les dragons,

par l’indifférence.

Faire comme s’il n’existait pas le rends réellement invisible,

voir inexistant.

Pour de bon.

Remue ménage

Je me fais un atelier.

Parce qu’il est temps.

J’en avais déjà un en quelques sortes.

Ma passion pour les outils et le bricolage ne date pas d’hier.

Mais là, j’ai tellement de matériel, grâce a ma razzia sur les fins de séries de la Coop, que je peux y consacrer une pièce entière.

Au lieu de le disperser dans tout l’appartement.

Le problème c’est que cette pièce est remplie de vieux bordel à trier.

Alors je trie.

En même temps , je retrouve des choses intéressantes qui me serviront pour le Marché de noêl.

Je reçois chaque jour des commandes de posters, et ça…..

C’est  Cool !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Lacustres

Je pense beaucoup aux lacustres, ces derniers temps.

A la façon dont ils vivaient, pêchant, chassant, cultivant la terre.

Au début, ils chassaient beaucoup.

Ensuite, ils ont privilégié l’élevage.

J’ai demandé s’ils étaient pacifiques.

il parait que oui.

Moi j’imagine bien que leurs haches ne servaient pas qu’à couper du bois.

Rolala, j’ai travaillé tard, la je m’endors  sur mon ordi,

je vais promener Prisca et dodo.

 

 

Des goûts et des couleurs

Comme j’aime le monde entier quand les gens aiment mes photos!

Après, je sais, on ne peut pas plaire à tout le monde…

Mais franchement, il y a assez de choix, dans les photographes et leurs oeuvres pour aller voir ailleurs!

Donc, si vous aimez ce que je fais, sachez que je vous aime aussi.

D’ailleurs, je me demande si on peut m’aimer vraiment si on apprécie pas mon travail…

Au fonds si.

Même si ce que je fais reflète totalement mes goûts, je crois qu’on ne peut pas tout aimer dans une personne.

Voilà pourquoi les rapports humains sont si compliqués.

Le pire que l’on puisse me dire c’est : je préférerais voir ta photo pas travaillée…

Là, ça me fais l’effet  d’une négation totale de mon travail.

En réalité, je pense que mes photos non travaillées ont aussi de l’intérêt.

Alors, je devrais être contente.

Et être moins susceptible.

Surtout , parce que j’apprécie au plus haut point la gentillesse des gens qui me likent, commentent et m’écrivent.

C’est ma benzine pour travailler.

Ma motivation première.

Bien sûr, ce que je fais dois me plaire, mais  c’est grâce aux encouragements des gens que j’en suis arrivée à en faire mon métier.

Ca plus mon boulot nocturne acharné.

J’ai  essayé de bosser la journée.

D$tenté vainement de changer mes habitudes…

Résultats, je dors la nuit, mais je me traîne la journée.

Alors, dès que je peux, je reprends mon rythme perso.

Travailler jusqu’à 5-6 heures du matin, faire ma vaisselle, promener ma Pris et aller me coucher.

Voilà.

Un jour dans la vie d’une biennoise

Samedi.

Il faut penser à faire ses commis avant que ça ferme.

La Coop a 17h et Aldi  à 18.

On pense aux animaux, les chats, le chien …

Les boîtes sont lourdes mais on

habite pas loin.

Ensuite, je vais chez Pascale.

Toute contentes, avec ma petite fille.

Pascale nous offre son disque de Blanche et Gaspard..

Le truc que même la famille garde pour soi.

Et c’est normal, pour ceux qui les aimaient, c’est une partie de notre enfance qu’on a envie de garder.

Heureusement pour nous, il y a des exceptions.

Sur le chemin, je dis à Sidney qu’on va devoir se trouver un tourne -disque.

Et c’est la qu’on rencontre Paolo, le mari de Pascale, sur son vélo.

Avec simplicité, il nous annonce qu’il a fait un tourne-disque pour nous.

Fait ?

oui, parce que de son métier d’électricien, il a gardé des compétences pour réparer ou même créer de toutes pièces, toutes sortes d’appareil.

C’est tellement gentil!

Tellement généreux, d’avoir pris le temps de le faire.

Et quand je le vois, ce pick-up, je l’adore tout-de -suite..

Il est génial, avec son côté vintage. Et tellement ingénieux.

Il a du talent , le mari de Pascale.

On ne peut pas résister à l’envie de faire le tour des animaux.

Elle en a quelques uns, Pascale… du perroquet en passant par les poissons, les chats bien sûr.

Et les phasmes….

Les phasmes… ils me fascinent c’est clair, mais les insectes… comment dire…

Je les aime comme tout les animaux.

Tant qu’ils sont dans leur cage, ça va.

Mais Pascale, elle n’a peur que des chiens, les phasmes, par contre, elles les prends sur la main.

Et elle en à beaucoup.

Ceux qui ressemblent à des brindilles.

Elle ouvre la cage, et voilà que le panneau lui échappe des mains et qu’un cinquantaine de ces trucs  débarquent sur le sol de la cuisine.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH

Moment d’horreur absolue.

Pascale se marre.

Sidney et moi, beaucoup moins.

Voir pas du tout.

 

J’ose à peine respirer.

Mais Pascale nous rassure.

On ne risque rien.

c’est pas très rapide et pas dangereux.

N’empêche que je suis tétanisée par la peur.

Je me domine.

Et c’est là qu’elle en prends quelques uns dans la main …

et qu’elle me les tends !!!!!

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Again.

C’est con cette peur.

Y’a pas de raison.

Je me rends bien compte que je suis ridicule.

Mais c’est plus fort que moi….

Avec le recul , j’a même une certaine tendresse pour ces petits gars bizarres.. capables de se reproduire tout seuls…

Un conseil en passant :

si t’en prends deux, t’en a 100 !

Prévoyez assez de ronces pour tout le monde…

Parce que c’est ce que ça mange, ces machins là.

Je repars en vérifiant bien qu’aucun d’eux n’en profite

pour se tirer avec moi.

Dans l’émotion, j’oublie ma trottinette

En revenant chez Pascale, on en profite pour faire un tour au bord du lac.

Je fais quelques photos et on rentre.

Bien sûr, on écoute tout le disque.

Mon pick-up a trouvé sa place.. et demain…

c’est le marché aux puces. à la Coupole.

Je sens que je vais réinvestir dans le vinyll!

 

Privilège archéologique

Je regarde souvent par la fenêtre.

En direction de cette petite tente blanche au fonds du chantier.

La tente des archéologues.

Quels trésors ont-ils trouvés ?

quels témoignage de nos ancêtres enfouis sous des mètres de sédiments ?

La curiosité me démangeait au point d’avoir envie,

de m’y glisser la nuit…

et voilà qu’aujourd’hui, je vois des dizaines de personnes accompagnées d’enfants, avec des casques oranges sur la tête.

Bien sûr, j’ai bondi.

petite -fille en main, nous nous sommes précipitées pour voir aussi.

Quel bonheur, quelle émotion !!

comme c’était intéressant et bien expliqué !

J’ai appris tant de choses sur notre passé.

J’ai pu voir, toucher, les pilotis enfoncés dans des tonnes de pierres glaises.

Es restes d’un village.

Des poteries, des os, même une bobine de fil.

Des trésors conservés dans l’argile humide.

Sous le lac.

Ou plutôt le delta de la Suze et la Thièle qui se trouvais là, avant la correction des eaux.

avec des tableaux, des étapes expliquées par des spécialistes, nous y étions,

immergés de connaissances  , dans cette expérience passionnante.

Voir autant de personnes avides d’en savoir plus, fascinées par ce qu’elles voyaient…  avec la même envie….

d’en emporter un peu.

Alors, j’ai posé la question pour l’argile :

Réponse : mais bien sûr, y’en a assez !!

Et les pilotis ?

Pour les pilotis, il y a une méthode particulière,

qui s’apelle , la dendrochronologie.

Avec cette méthode on peut dater précisément l’age d’un arbre.

avec le nombre de cerne, mais aussi leur épaisseur.

Grâce à l’informatique, on peut en faire des statistiques.

C’est ainsi qu’on a compris  quelque chose d’essentiel concernant les lacustres.

En connaissant l »âge exacte des pilotis, on à pu reconstituer des schémas d’habitations., différents.

Et se rendre compte que tout ces pilots qu’on a trouvé en même temps quand l’eau du lac c’est abaissé, n’avaient pas été planté en même temps.

Ce qui remettait en question les premières théories sur leurs habitations.

On a compris qu’il ne s’agissait pas d’un seul village, mais de plusieurs construits à des époques différentes.

Avec les progrès de la science on découvrir sûrement d’autres choses.

Alors j’ai demandé ce qu’ils faisaient des pilotis une fois découpé la rondelle

nécessaire aux analyses.

Réponse : ils les jettent !!

Alors, voyant un tas de morceaux de pilotis, j’en ai pris un peu.

Juste après un vieux monsieur, tout heureux, comme moi de pouvoir emporter un témoignage de nôtre passé.

Ce qui est curieux dans cette histoire, c »est que le bois utilisé résiste mieux au temps si c’est du sapin que du chêne.

alors que pour les meubles, c’est l’inverse.

On sais beaucoup de choses sur les lacustres, parce que dans cette glaise, il n’y a pas d’oxygène, ça permet aux objets de ne pas s’oxyder.

On retrouve des poteries, des outils, et aussi des graines.

On en sait pas mal sur leurs cultures, et sur la part de chasse et d’élevage

utilisés pour se nourrir.

Un détail étonnant.. nos ancêtres cultivaient le pavot…

Non seulement ils le cultivaient, mais c’est les plus anciennes graines de pavot à opim qu’on aie trouvé dans le monde.

Quand j’ai demandé ce qu’ils en faisaient… sourire gênés.

Et puis, un visiteur à dit :

« Ils étaient moins cons que nous, maintenant ».

Une vis sans amour…

Vous connaissez Romain Gary ? Alias Emil Ajar, mais aussi Roman Kacew, de son vrai nom.

C’était un immense écrivain.

Le seul à avoir gagné deux fois le prix Goncourt sous deux pseudonymes différents.

Sa vie elle-même est un roman.

Enfin bref.

Un jour, une amie très chère de nôtre famille l’a rencontré.

Elle lui a demandé d’écrire un mot pour ma soeur et moi.

J’étais assez..comment dire.. adolescente.. à ce moment, je n’ai pas compris.

J’ai trouvé le mot banal.

Un jour plus tard, la vérité essentielle de cette phrase m’a enfin touché

.

Pour Catherine : une vie sans amour n’est rien.

J’ai beaucoup de chance, je suis très aimée..

Et il a bien raison, Romain-Emil-Roman.

Une vie sans amour n’est rien.

La Racine

Tout près de chez moi,

au bord de la Thièle,

il y a cette drôle de racine.

Elle me fascine.

Me fait penser

à un animal

de conte de fées

Avec ses pattes étranges

qui trempent dans l’eau.

Les éléments de la nature réunis.

En fait, je sais que c’est bizarre,

mais je l’aime aussi.

Je serais triste, si on la détruisait.

Alors, je vais la voir.

Je la photographie .

Elle est très différente,

suivant les saisons

En fait, j’aime chaque centimètre de ce bord de rivière,

qui amène jusqu’au lac.

Et le lac lui, même, bien sûr.

J’ai parfois la chance d’y voir des animaux sauvages.

Comme cette famille de castors, il y a quelques années.

Renard, hérissons, fouines.

Bien sûr, les oiseaux, les canards avec leurs petits canetons.

Les cygnes, qui descendent majestueusement la rivière,

en lignes parfaites.

Elle est si belle, cette Thièle.

Le soir, quand elle n’est éclairée que par la lune,

on la croirait faite de vynil.

Et l’été ses reflets sont des éclats de diamants.

On retrouve les mêmes sur le lac, comme s’ils avaient voyagé.

Depuis ma terrasse, je la vois bien, cette rivière,

L’hiver, quand les arbres perdent leurs feuilles, je vois même le lac.

 

Reflex .. à Bienne

Bien à Bienne, c’est mon blog, qui raconte  un peu de ma vie à Bienne.

Un photo-blog, parce que la photo qui l’accompagne, sert à montrer comme ç’est joli chez nous, si on sait regarder.

Hier soir, en promenant Prisca au coucher du soleil avec mon ami Martin.

j’ai eu le réflexe d’appuyer au bon moment, avec une grande part de chance, certes.

Et l’abri de bus du débarcadère, si joliment conçu et placé, prends des airs merveilleux.

Avec deux biennois dedans.

Un en vélo et l’autre en bus.

Je n’aime pas les voitures.

Je rêve d’une Bienne sans voiture.

Mais bon…

Cette photo résume un peu de mon expérience et beaucoup de mon style.

Qu’importe si ça ne plaît pas à tout le monde.

Il y a de la place pour tous, sur le Web.

Je prépare activement le marché de Noêl, plus qu’un mois devant moi…

Je commence à stresser !!!