Marché des Artisans 15 juin 2019 Le Virus qui fait du bien

L’année passée, vers Noêl, Pierre Fretz me faisait cet étrange cadeau.

Le Virus du Marché.

Une fois contaminée, c’est à vie …

Impossible de m’en débarasser.

Même si je le voulais.

Et je ne veux pas.

Absolument pas.

J’adore tellement faire le marché.

Rencontrer des gens, vendre mes productions, c’est exactement ce qu’il me fallait.

Et quel bonheur, quand on débute, de voir que ça fonctionne !

 

Surtout que j’étais avec Claudia, qui fait ça depuis 15 ans..

J’avais peur de ne pas être à la hauteur.

Mais Claudia, c’est un amour de femme qui cache son grand coeur sous de petites piques.

En tout cas, avec moi ,elle a été comme une marraine -bonne fée, qui m’a soutenue et conseillée.

Quand à mes amis ils sont venus en masse pour me soutenir.

Tatiana et Thierry, Abdallah, Eliane, Véronique et Pascale ,  Valérie la rockeuse et son mari et même les mexicains !!!

Les célèbres Mexicains… qu méritent un article à eux seuls.

ET même Michel que je n’avais plus vu depuis plus d’une trentaine d’année !

La grande surprise ç’est ma petite maman, qui est venue avec ma soeur, ce n’était pas prévu, et ça m’a fait chaud au couer.

Et Sidney bien sur !

Que du bonheur.

Tout c’est passé à merveille.

Je ne peux pas dire autrement !

Merci mille fois à tous et vivement le prochain !

je vais refaire du stock….

Motivée

Je me dépêche d’écrire.. je ne sais pas si il reste encore de l’électricité, dans mon système à pré-pay.

Normalement, ça coupe à 8h.. bon je pourrais aller vérifier.

Allons…

31 francs 34 !

Magnifique !

J’ai tout mon temps.

Bien.

Aujourd’hui le long de la Thièle, sous le pont, il y avait un groupe de gamin.

Très lookés, photogénique.

J’avais envie de les photographier.

Mais bon, je n’avais pas mon appareil, comme chaque fois qu’il y a quelque chose de spécial à photographier.

Alors, il vous faudra les imaginer.

15 ans, pas plus.

Un peu maigrichons.

Je me demande ce qu’ils font là.

Un peu caché.

Surement pour fumer un joint, pensais-je..

Jusqu’à ce qu’un d’eux se déshabille.

D’ou je suis ,je vois ses côtes.. c’est dire si je suis près.

Alors je comprends, ils vont plonger dans la rivière, depuis le pont, et ils ont laissés leurs affaire là, un peu en sécurité.

L’eau ne doit pas être très chaude.

Mais ils sont courageux.

C’est comme une sorte de tradition, chaque été.

Plonger du pont.

Ca n’est sûrement pas permis.

En Suisse, on fait attention à tout.

Ca doit en rajouter à leur plaisir.

La prochaine fois, je prendrai mon appareil.

J’arrête là , parce que j’ai bossé toute la nuit.

Je tenais à écrire quelque chose, parce que Bien à Bienne s du succès ,

ces derniers temps, ça motive.

Mais je suis raide, j’ai même un peu froid.

La fatigue.

Je me réjouie de plonger dans mon immense lit,

Le soleil se lève, on dirait qu’il va faire beau.

Faya, Faya, oh…

Je suis triste et secouée.

J’ai appris la nouvelle hier : Faya est partie pour d’autres cieux.

Comme on dit.

En vérité, elle n’est plus là, avec ses grands yeux et sa tête de peluche,

à gambader dans les pâquerettes avec Dyos, et Véronique.

Véronique .. que je n’ai pas pu soutenir, parce que j’étais si plongée dans mon boulot que je ne savais pas.

Je ne vais déjà pas souvent, dans le fil d’actualité, parce que je n’ai pas d’-phone, mais surtout, parce que je suis déjà débordée en temps normal.

C’est là que je me rends comte que je devrais y jeter un coup d’oeil plus souvent.

En fait, je le fais, mais là, je suis arrivée trop tard.

Je n’ai pas pu la soutenir à ce moment là.

J’en suis dévastée.

L’imaginer sans ce petit bout , grand bout d’amour qui l’aimait tellement, et qu’elle aimait tellement, est impossible.

Comment fait-elle pour tenir le coup ?

Je suppose que c’est parce qu’il y a encore Dyos, et qu’elle l’aime tout autant.

Voilà, je n’en rajouterai pas.

Je devais faire un petit quelque chose, alors, j’ai fait cette figurine, qui n’est pas très ressemblante, mais moi , je trouve qu’elle à l’attitude, c’est déjà ça.

Et un petit collier avec une feuille et une étoile, en espérant que ça lui montre, à Véronique, combien je l’aime, et combien ça me touche, ce qui lui arrive.

Perdre un animal, pour nous, c’est perdre un membre de la famille.

Nous savons bien que ce ne sont pas nos enfants, mais ils ont cette place qui y ressemble tant.

L’amour qu’ils nous porte, nous donne envie de faire le meilleur.

Et Véronique faisait le meilleur.

Si je devais me réincarner en chien, j’ai toujours dit que je voudrais être celui de Véronique.

Je t’aime fort.

Cat.

Le chant des oiseaux

Avant d’aller me coucher, je prends un instant pour écouter le chant des oiseaux.

Vu l’heure, eux, se lèvent.

On entends bien leurs trilles joyeuses qui s’élèvent dans le petit matin biennois.

A cette heure, il n’y a pas encore trop de circulation.

Si seulement, ça pouvait rester comme ça.

Comme il faut être égoïste ou inconscient pour imposer des travaux dans une ville qui donne tant de place à la nature.J’aimerais travailler encore, mais je dois aller reposer ce f…g dos qui ne supporte aucune position.

Même écrire est déjà douloureux.

Donc désolé, mais je serai très brève.

Je vous souhaite quand même une superbe journée.

Avec de la chance vous en verrez des beaux.

des oiseaux.

 

L’Aventure

A .. comme Aventure,

A … comme Alchimyx.

Voilà, c’est lancé.

Mon concept est devenu réalité.

Mes collections sont prêtes.

Je n’ai plus qu’à terminer la boutique en ligne.

Enfin,    « plus qu’à « .. façon de parler.

Ca prends un temps fou cette histoire.

J’ai une centaine de pièces à mettre.

et Facebook vérifie chaque photo.

Je ne vais pas blablater  trop longtemps.

Mon dos est déjà en train de m’engueuler…

Donc je reviendrai discuter une autre fois.

En attendant grand merci à tous pour votre soutien.

<3 <3 <3

Chat alors…

Une excellente série vient de se terminer sur la Suisse

.

(je me rends compte que dit comme ça on dirait que c’est une série qui parle de la Suisse.).

Enfin, écrit comme ça, parce que si je le dit, ici, en Suisse, tout le monde comprends que je parle de la RTS , notre chaîne antique, unique, celle qui parle en français.

Raison pour laquelle on regarde si souvent les chaînes françaises qui ont plus de choix.

Ici, à Bienne, on a bien Tele-Billingue, mais malgré les années qui passent, le contenu reste restreint et répétitif.

Comme si on avait peur de faire plus… ou pas assez d’argent, je ne sais pas. vraiment.

Moi, si je pouvais faire l’émission dont je rêve, je le ferais gratuitement.

Je montrerais les coins insolites, ou mythiques de Bienne, j’interviewerais des groupes locaux qui débutent, mais surtout, je donnerais la parole aux biennois qu’on a pas l’habitude d’entendre.

Ceux que pourtant, tout le monde connaît de vue, mais sans les connaître vraiment.

Ceux que je connais et que je devrais convaincre de se livrer un peu, et qui le ferait, non pas pour s’exposer, mais pour me faire plaisir.

Alors, vous me direz et vous aurez raison que mon amie Isabelle fait déjà ça très bien dans ses merveilleux podcasts de Graine 2 curieuse.

https://graine2curieuse.ch/

C’est justement parce que nous avons , entre autres points communs, ce besoin de valoriser les autres.

D’ailleurs avec sa grande expérience pratique, elle serait bien meilleure que moi dans cet exercice de la télé, si j’arrivais ,enfin, à la convaincre que c’est ce qu’elle devrait faire.

Comme j’adorerais faire une émission de télé avec elle !

Elle s’occuperait de faire des belles interviews intimistes dont elle à le secret, et moi j’irais traquer les canetons nouveaux nés, ou mieux, on irait toutes les deux traquer les bébés cygnaux , avec Prisca.

Pour pouvoir montrer la nature de Bienne, et ses gens,

tout ces artistes et artisans.

que le ville cache, parce qu’ils ne croient pas assez en eux, ou qu’ils n’ont jamais eu l’occasion de faire voir leurs oeuvres.

Ce serait facile parce que chaque biennois est passionnant et a quelque chose d’intéressant à dire ou  a montrer.

Servir à tout ceux qui veulent faire quelque chose de bien pour notre ville, ses habitants, sa nature, ses animaux.

Surtout,  montrer comme c’est beau chez nous.

Avec les merveilleux jardins un peu sauvages dont nous avons le secret,

les terrasses qu’on ne voit que du ciel et qui sont des petits paradis, nos animaux sauvages.. notre lac.

Parce que c’est à ça que sert la télé : montrer des choses.

Montrer comme Bienne est belle et comme il ferait bon vivre chez nous, comme il FAIT bon vivre chez nous, quand les fonctionnaires de notre cité nous laissent en paix. et font bien leur travail.

Mais je ne veux pas assombrir mon article.

Surtout que le soleil est de retour et qu’à la base, je  ne voulais pas parler de ça.

Non, je voulais parler de chat.

Celui qu’n voit à la fin de la série dont j’ai oublié le nom,

Attendez, je vais me renseigner, par respect pour ceux qui m’ont fourni un contenu visuel plus satisfaisant que la totalité ou presque , « The Night of ».

C’est l’histoire d’un jeune homme accusé à tort d’un meurtre.

C’est aussi l’histoire d’un avocat, personnage complexe tellement bien interprété par John Torturro, immense acteur, réalisateur, qui à tourné pour les plus grands metteurs ens cène.

De Scorsese à Spike Lee, en passant par Joël Cohen.

Curieusement c’est l’autre acteur qui à reçu un prix d’interprétation Riz Ahmed, qu’on retrouve aussi dans une autre pepite « The OA ».

Comme un fil rouge dans la série, Torturro a une chat.

Mais il est allergique.

Et très fauché.

Et très sensible.

Du coup, suivant son état, il garde le chat ou l’abandonne à la SPA.

Attention SPOILER !!!! A ne pas lire si vous voulez regarder cette très excellente série.

A la fin, il réussi à faire acquitter son client.

Donc on sait que ça va mieux.

Et voilà , le tout dernier plan que je trouve génial.

Alors qu’il vient de sortir de chez lui. la caméra s’attarde sur la porte.

Quelques secondes.

Ca aurait très bien pu finir comme ça, alors on pourrais détourner le regard et on manquerait cette dernière image :

Le chat traverse le corridor.

Ca veut dire qu’il est allé le rechercher, ça veut dire qu’il va mieux.

Juste ce plan de chat, pour nous qui avons suivi , signifie l’espoir d’une meilleure vie.

Voilà ce que j’aime plus que tout dans une série ou un film : c’est quand l’image

, simple provoque une compréhension, une émotion aussi.

Tout ça pour chat.

Je pars en pensée si loin que je m’endors.

C’est ce que je vais faire avant que mon dos se rerebloque.

Et je vous souhaite une belle journée ensoleillée.

 

 

Thièle que j’aime

Chaque année, à force de la voir, je l’aime de plus en plus.

Ses couleurs changeantes.

Son turquoise unique le jour et ses noirs vinyle

Et le soleil de nuit,

ses reflets diamantés en été… c’est la Thièle que j’aime.

Le matin à 6heures, les oiseaux.. on entends leurs chants,

la diversité des trilles qui s’élèvent dans le petit matin frais.

J’ai vu une pie, qui m’a vue aussi.

Et

comme Zorro,

sans spresser,

elle s’en est allé.

Win-win

J’ai une copine chinoise qui s’appelle Win-win.

Non, je rigole, ça pourrait, mais c’est pas de ça dont j’aimerais vous parler.

Win-win, c’est gagnant-gagnant.

Le concept de faire des échanges qui soient profitables au oeux parties.

Equitables, mais pas que.

Aussi plus qu’agréable, au point de se sentir gagnant des deux côtés.

Ce qui  peut sembler illogique, voir paradoxal, puisque l’idée du gagant sous -entends qu’il y aie un perdant.

Mais pas là.

Là, il y a deux gagants.

Aucun perdant.

Tout le monde est content.

Elle est pas belle la vie ?

Bien sûr que c’est possible.

Ca s’appelle aussi tout simplement un échange.

Et que c’est bon.

J’ai passé une super-après-midi aujourd’hui.

Avec mes copines.

On a pic-niqué sur la terrasse avec le « crèpe-party » de Tefal, que j’ai trouvé dans la rue.

Merci Monsieur Tefal ,elle est vraiment géniale ton invention.

Merci celle ou celui qui l’a laissé dans la rue.

Merci mes copines d’être venu passer du temps avec moi.

Merci pour m’avoir aidé avec mon ménage.

Pour la boîte de chocolat qui fait toujours plaisir.

C’est si bon de se faire plaisir.

De se rencontrer, de discuter.

Avant j’aimais pas les conversations à trois.

J’avais peur de ne pas être équitable…

Maintenant j’adore.

Je trouve ça équilibré,

Je n’ai plus peur d’un tas de choses qui m’effrayaient avant dans les rapports humains.

C’est passé et ç’est tant mieux.

Les êtres humains sont passionnants.

Les relations humaines aussi.

Ce qui nous bloque, c’est les idées reçues, les vieux principes, les peurs en tout genre.

Les acquis d’enfance qu’on oublie de revisiter.

C’est tenace un acquis d’enfance.

Si on prends un peu de temps pour méditer,  pour discuter, pour prendre soin de nous , ça part tout seul, si ça doit partir.

Voilà, c’est ce que je voulais dire , personne ne peut être entièrement formidable.

C’est pas possible.

La nature fait très bien les choses et on reçois des doses de qualités et

de défauts équitables.

Ensuite on peut se lancer dans la grande partie de petits chevaux qu’est la vie.

Profitez bien de votre week-end <3.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plein le dos ?

Oh oui ! Ces derniers jours, j’en avait si plein le dos qu’il fallait faire quelque chose.

Médicaments, Voltarene ok.. pour les symptômes.

Mais je savais que ce qu’il me fallait c’est un bon massage.

Le problème, les problèmes plutôt, quand on est une femme comme moi c’est que :

on est pudique. On n’a pas envie de se déshabiller devant un inconnu.

on est méfiante. Et si il n’était pas compétent ? et si je me retrouvais encore plus mal ?

on n’a pas beaucoup d’argent… et c’est pas donné un masseur.

Toutes les raisons pour attendre que ça passe en serrant les dents.

Sauf que là, ça ne devenait plus possible : je pouvais à peine marcher.

Mais, chance, je connais un masseur, j’ai même bossé pour lui en échange de massages.

Et c’est là que ça devient très contradictoire : j’ai accepté le deal en sachant ce que vous pouvez lire plus haut.

Mais bon, je pouvais toujours offrir ces massages.

Sauf que je ne pensais pas que j’allais me bloquer pareillement.

Donc je prends rendez-vous, pour dans quelques jours, en espérant que ça allait passer d’ici là.

Hahahaha. ( rire jaune)

Me voilà donc, comme une vache qu’on amène à l’abattoir.

A la condition que la vache en question puisse mettre un ciré rouge et faire de la trotinette.

J’arrive rue Centrale 4.

La pièce est acceuillante, grande, avec vue sur une sorte de jardin privé, un espace ouvert, mais sans vis-àvis, qui pourrait me voir.

Bon point.

Steve s’éclipse pendant que je me mets en tenue, autre bon point.

Avec la couverture rabattue sur mes jambes, et la table qui est plutôt confortable, je me sens relativement bien.

Je dis relativement parce que j’ai tellement mal qu’il m’a fallu un moment pour m’installer.

Et là, il commence .

-T’as mis de l’huile chauffante?

Non.

Incroyable ! C’est ses mains qui chauffent naturellement!

Ca fait du bien.

On sent qu’il à le Don.

Hein ?

On a tous reçu des dons.

Steve, il à celui de soigner avec ses mains.

Je le sais parce que je suis une personne très sensible, et je sais reconnaître un vrai Don quand j’en vois un.

 

Ce qui est drôle avec les dons, c’est que si on les utilise, si on en fait profiter les autres avec sérieux ( ce que fait Steve), alors , on va très loin.

Je prédis ici, et vous verrez que j’ai raison, que Steve va faire une très belle carrière.

Comme il est curieux et passionné, il va s’informer, se former encore, se perfectionner davantage et être capable de proposer des tas de méthodes de soins, histoire de soulager au mieux ses patients.

Ce qu’il fait déjà , soit dit en passant.

Mais ce que je veux dire, c’est qu’il va très vite devenir LE masseur chez qui  tout le monde va.

Qu’il faudra se lever tôt pour obtenir un rendez-vous, parce que les gens se bousculeront pour en obtenir un.

Steve est extrêmement compétent.

Il sait ce qu’il fait et il le fait bien.

 

Il ne perds pas son temps à épater le monde avec ses connaissances.

Comme certains, qui vous mettent de la poudre aux yeux pour masquer leurs manques.

Steve, lui ne fait pas un seul geste inutile.

Et le résultat est là :

ok, parfois, ça fait mal, mais vu le nombre et l’intensité de mes blocages, c’est un peu normal.

L’important dans cette histoire c’est ça :

le Résultat .

Je suis arrivée, une heure plus tôt, après  des jours de souffrances de plus en plus intenses.

J’étais quasiment pliée en deux.

Chaque mouvement révélant la douleur, fulgurante.

Simplement presser sur le bouton de l’ascenseur ? un calvaire.

Ouvrir une porte ? un exploit.

Et puis, j’ai pris place sur la table de massage.

Enfin d’abord, j’ai subi un interrogatoire, très sérieux, sur mon état de santé.

Parce que c’est ce que fait un masseur compétent, il doit savoir à qui il a affaire.

Dès que j’ai senti la chaleur particulière de celui qui à le don des soins, sur mon pauvre dos ravagé, j’ai su que j’étais au bon endroit.

Et chaque seconde, chaque geste, chaque respiration, tout ce qui c’est passé pendant cette heure à servi à améliorer ma santé.

J’ai commencé à me sentir mieux, très rapidement, dès le premier quart d’heure.

Et ça, franchement, je ne l’avais pas prévu.

Dans le sens que j’avais si mal, que je n’osais pas rêver d’être soulagée si rapidement.

Et pourtant si.

Vous savez, quand on est moi, ou qui que ce soit d’autre qui à l’habitude des coups durs, on se prépare toujours aux difficultés.

Le bonheur, c’est du bonus.

Chaque seconde, chaque geste, chaque respiration, m’amenait vers le mieux.

Je fermais les yeux, comme pour un voyage vers le meiux.

Et j’y suis arrivée.

Parce que, c’est le cas de le dire, j’étais entre de bonnes mains.

J’écris cet article, non pas pour faire de la publicité à Steve.

Il n’en aura pas besoin.

Le bouche à oreille fera son travail.

Non, ce que j’aimerais saluer ici, c’est d’abord toutes les personnes qui ont un don et l’utilisent généreusement, quitte à lâcher leur ancienne vie, tout reprendre à zéro pour s’y consacrer.

Parce que c’est leur voie.

Celle qu’il doivent suivre , pour ne pas gaspiller ce précieux cadeau , ce présent inestimable que nous fait la vie et que nous appelons à juste tire  : un don.

Nous en avons tous, parfois nous n’en sommes pas conscients, parfois, il faut toute une vie pour le reconnaître.

Mon don à moi, c’est l’écriture.

Ca sort tout seul, sans aucune limite.

Grâce à internet, à ce blog, je peux l’exprimer tant que je veux.

Et être lue.

Parce qu’un don ne sert à rien si personne n’est là pour en profiter.

J’en arrive à la deuxième raison.

J’écris, j’informe sur ce qu’il se passe à Bienne, ma ville.

La voilà, l’information : nous avons la chance d’avoir un nouveau masseur, qui s’appelle Steve Lachat et qui fait très bien son travail.

https://www.facebook.com/S%C3%A9r%C3%A9nit%C3%A9-456156234823660/

Rue Centrale 4.

Ses coordonnées sont sur sa page Sérénité, sur Facebook, et son site est en construction.

A partir du mois de juillet il sera remboursé par l’ASCA.

Mais si j’étais vous, j’irais maintenant, pendant qu’il y a encore de la place.