Aventurine

J’y ai passé la nuit..

-Encore !

C’est différent cette fois ,j’ai fait des recherches, sur le type de perles en photo.

Celle de ma mère.

Que mon grand-père qui voyageait beaucoup pour l’époque , lui avait ramené d’Italie.

C’est du verre de Murano.

Avec le processus du chalumeau  » a lume ».

Et le motif « Fiorato ».

Appelé aussi  Wedding cakes.

Le scintillement vient de la couche d’aventurine.

Une sorte de verre piqueté de cuivre du plus bel effet.

Une technique découverte par hasard, d’où le nom :

Aventurine.

Ces perles me fascinent depuis toutes petites.

Mais elles avaient perdu de leur splendeur.

Le temps… 65ans.. et les nombreuses occasions pour le porter avaient laissé ce bijoux en sale état.

L’avantage avec les perles de cette qualité, c’est qu’on peut les nettoyer et leur rendre vie.

C’est ce que j’ai fait.

Enfin bref, je suppose que ça ne va pas passionner les foules…

Mais moi, je voulais tout savoir sur ces perles qui sont peut-être , qui sont sûrement à l’origine de ma passion .

Les dessins dessus ont l’air d’être posés au hasard.  et pourtant je voyais des dessins de fleurs précis.

J’ai trouvé tout les renseignements que je cherchais.

Je sais que sans être rares, ces perles ont  une certaine valeur.

Donc si vous en avez gardez les précieusement !!!

Comment retrouver le paramètre recadrage dans photoshop 2019

J’y suis enfin arrivé.

J’y ai passé la nuit.

Je suis allée partout, jusqu’aux forums , et les video youtube les plus …improbables.

Ceux qui font genre : je sais tout et je vais tout vous dire, mais je vais vous raconter ma vie d’abord… et au final , je n’étais pas plus avancée.

J’ai trouvé, mais j’ai trouvé toute seule, ou presque.

C’est vrai que les spécialistes en la matières, il y en a, il fallait juste tomber dessus.

Chercher à la bonne place, dans l’immensité infinie du net.

Ca m’a aidé , mais la réponse simple, je ne l’ai pas eu.

J’ai improvisé, un peu au pif.

C’est comme ça que j’ai réussi.

J’ai le dos en compote.

5 ou 6 heures de mon précieux temps y sont passé.

J’ai sommeil, mais le gout de la victoire est tel, que je dois vous en faire profiter.

J’ai réussi.

Je l’ai.

Enfin.

Mais quoi ?

Quel est cet obscure objet du désir?

Un paramètre.

Pas un con de paramètre, non, non.

Mais THE paramètre de base.

Celui qui sert à recadrer les photos.

Et qui avait simplement disparu de ma version en ligne 2019.

Je le dis là, maintenant pour ceux que ça intéresse, et je raconterai ma vie après :

– Ouvrez votre foutu photoshop

–Cliquez sur EDITION

-Cliquez sur Barre d’outil

-Et dans la fenêtre choisissez  : Restaurez les paramètres par défaut

et là , le miracle…. l’icone du recadrage apparait miraculeusement dans la barre d’outil

-N’oubliez pas de cliquer sur Terminé.

Voilà, je sais que la plupart des gens s’en fichent, mais il y a une petite partie des gens , dont Photoshop est l’outil de travail, et qui ont appris tout seul.

Donc , quand un truc aussi important que le recadrage disparait.. ben.. on est dans la m…

Pas tout à fait, j’utilisais le programme de base de Windows, mais c’était aussi pratique que de s’épiler les jambes à la pince à épiler.

Long et fastidieux.

La je vais vite aller me coucher, mon dos crie…

Mais voilà, il faut perséverer.

Quel que soit le problème, la persévérance est la clé.

J’avoue que, vu l’heure et le temps passé, j’ai failli laisser tomber, et remettre à plus tard, avec les idées claires.

Mais la dernière tentative fut la bonne.

Et là , si grâce à tout ça, une seule personne peut résoudre le même problème que moi, j’en serai heureuse.

Très.

Et là , je suis trop fatiguée pour vous raconter ma vie.

Bon, mon dos et moi on va dormir, et on vous souhaite un beau week-end !

Mais peut-être qu’avant je regarderai un autre épisode de Dark, ma série préférée . toujours réalisée par Baran bo  Odar , génial, de Soleure !

Fierté !

Je pourrais… et je peux enfin !

C’est pas trop tôt.. à 52 ans de s’accepter comme on est.

De ne plus tricher sur le photos pour camoufler un bourrelet,

bien sur que j’aime être un minimum  à mon avantage.. mais là, je fais beaucoup de progrès ces derniers temps en ce qui concerne l’acceptation de moi que je ne vais pas m’arrêter de sitôt.

Ni pour un détail aussi con.

Question : la terre va-t-elle s’arrêter de tourner pour un bourrelet ?

Réponse :  pas dans cette dimension en tout cas.

Est-ce que le ciel va me tomber sur la tête parce que j’ai mis ma vieille casquette ?

Va-t-on me jeter des pierres parce que j’ai décidé de me passer de soutien-gorge ?

Je devrais dire plutôt, de cet objet de torture que je soupçonne de provoquer, au mieux des glandes enflées, au pire le cancer du sein (c’est une théorie à moi). ? Hein ?

Vais-je être lapidée par les passants révoltés, parce que je n’ai plus envie de me maquiller?

Est-ce que la brigade du propre en ordre va débarquer chez moi pour m’obliger à faire la vaisselle …

Possible, on est en Suisse.

Mais bon ,j’aime vivre dangereusement.

Non en fait c’est pas vrai.

J’aime avoir la paix.

J’y ai passé la nuit, mais mon salon est presque impeccable, j’ai encore quelques cartons à trier, mais mes perles sont bien rangées.

Je sais où sont mes affaires et j’ai une énergie de dingue pendant la nuit.

C’est ainsi.

La journée, je dors à moitié.

Ca me permet de supporter ma chère sensibilité.

Bon là , j’avoue que, le soleil se levant, j’ai bien envie d’aller me coucher.

Je peux y aller l’esprit en paix , j’ai bien travaillé.

Je vais peut-être encore regarder un ou deux épisodes d’une série quelconque…

Histoire de finir le bracelet que j’ai commencé hier en fin d’après-midi sur la terrasse ( voir photo) avec Tatiana.

Qui va m’amener en voiture à St-I  le samedi de la braderie.

Et passer du temps avec moi à l’Imériale.

Je me réjouie !!

Elle est pas belle , la vie ?

D’Or et n’avant

Depuis toute petite j’aime l’or.

Déjà , le jaune c’est ma couleur préféré à la base,

Mais l’or a quelque chose de fascinant.

Al’or s… Or donc… quand j’ai appris qu’il y en avait dans certaines de mes perles,

j’ai compris pourquoi , dès qu’il y a un peu de lumière, elles deviennent, elles aussi, fascinantes.

Je n’ai jamais caché que j’ai eu un coup de chance assez dingue, de les avoir pour un prix qui défie toute concurrence.

Ca n’empêche qu’elles ont toujours la même valeur.

J’ai regardé sur des sites du monde entier.

Jusqu’en Suède, elles sont toujours au même prix.

Si je devais comparer, je dirais que la « Magic Flair » c’est son petit nom, c’est la Rolls-Royce des perles.

En Suisse pour 3,95 on en a deux grandes ou trois petites.

Sachant que pour en faire un collier il en faut au minimum  une trentaine.. rien qu’en matériel,  mes colliers avec elles valent déjà plus que le prix que je fais.

Pour l’instant j’ai l’impression d’en avoir beaucoup, mais un jour, je le sais, il ne m’en restera plus.

Donc je mets de l’argent de côté pour la suite.

J’en mets aussi pour mon projet de ferme pour animaux retraîtés.

Parce que j’ai découvert plusieurs choses, au Marché des Artisans.

D’abord, qu’il y aura une suite.

Je ne sais pas encore si je pourrai déjà être là samedi prochain, pour le marché du samedi en ville.

J’aurai la réponse demain si tout va bien.

Ensuite, que les femmes et les hommes aiment les bijoux ,

Et que, s’en parer, est une habitude millénaire qui n’est pas prête de s’éteindre.

Que j’adore faire le marché, mais bon ça je le savais déjà.

Rencontrer des gens différents.

Ca va du biker à la petite mamie, en passant par toutes sortes de femmes très différentes, comme mes bijoux.

Un bijoux, une personne.

Comme des bébés qui attendraient d’être adopté, des talismans qui devraient êtres portés…

Je bosse comme une dingue.

Les perles envahissent mon appartement.

Je me fais des plateaux que je ne range pas, parce que sinon, les idées disparaissent.

Je m’améliore de fois en fois…

J’ai compris un autre truc important.

Avant, je ne sais pas pourquoi , mais il fallait que je recommence tout, si j’avais fait une erreur ou si je trouvais une meilleure méthode.

Maintenant, j’en tire des leçons, et je continue.

Voilà comme on avance.

En parlant d’avancer.. je viens de remarquer un truc… qui m’énerve la moindre.

Vous avez déjà vu la video de Noémie de Lattre, une actrice plus connue pour ses prises de positions que pour ses  films.

Elle balance des arguments super.. sauf que.. ce ne sont pas les siens.

Bon ,elle les mets à sa sauce, mais j’ai vu un reportage sur Delphine Seyrig,

qui dans les années 70 filmait une militante qui balançait déjà les mêmes….

En particulier quand elle dit qu’on se rends mieux compte du sexisme quand dans une phrase on remplace le mot femme par le mot noirs…

La militante des années 70 utilisait le mot « arabe », mais le propos est le même.

%0 ans plus tard on en est toujours là ?

C’est ça, plus que le fait que Delphine ne mentionne pas la référence, qui m’a choqué.

Moi, je ne suis pas une féministe.

Je suis une logique.

C’est normale qu’il y aie des mots pour les femmes et des mots pour les hommes.

Et c’est vrai que je me sens exclue quand on parle des droits de l’Homme…

Je ne me sens pas concernée, même si on me dit que l’Homme avec un grand H désigne le genre humain en général.

Et que le masculin prime sur le féminin.. ça c’est aussi un vieil argument féministe usé jusqu’à la corde, mais qui pourtant à raison… c’est perturbant.

Ce sont des faits que toutes le femmes peuvent ressentir ou pas suivant leur sensibilité.

 

Il y a des femmes qui sont aussi sensible qu’ un tas de cailloux.

Et des hommes qui pleurent en regardant des vidéos de chiens sauvés sur youtube.

Quand j’étais petite je voyais des films ou les mousquetaires battaient tout le monde avec panache.

Et je n’arrivais pas à m’identifier à la pauvre orpheline chialante qu’ils défendaient.

Par contre je me serais bien vu avec une épée…

Alors quoi ? je suis un garçon manqué ?

Simplement j’ai du attendre Alien et Terminatop pour trouver en Ripley et Sarah Connor des héroïnes à qui m’identifier.

Voilà.

J’espère qu’on arrivera un jour à s’apprécier simplement, à se respecter.

Mais nous qui avons enfin récupéré une masse de droits naturels dont on était privée , ne nous rendons pas toujours compte comme  d’autres femmes se sont battue pour ça.

Mais il reste du travail encore et encore… il en faudra du temps…

La bonne nouvelle du jour c’est que je vais faire des photos pour l’Imériale de St-I.

J’ai rencontré deux des organisatrices et deux des photographes qui vont se partager le boulot avec moi.

Je me réjouie !

C’est le 28 juin, si jamais.

 

 

 

Va te coucher…

Si je veux !

Je rigole, mais se coucher quand on veux, suivre son propre rythme plutôt que celui du reste du monde.. n’est pas si évident.

Parce que sa liberté, il faut la prendre.

Alors, bien sûr, ça a un prix tout ça.

Dans mon cas , c’est devenu une obligation, parce que dans la famille, je ne suis pas la seule à avoir , comment dire sans vexer personne ?.. une vie particulière ?

J’ai décidé de rester à la maison pour m’occuper de mon fils.

De me priver des généreuses (oui oui là aussi je rigole) allocations de la ville.

Pour ceux qui n’auraient pas suivi, ce qui est drôle, c’est pas le fait que je me sois privé.

Je n’avais pas le choix.

Il fallait prendre mon indépendance ou pénaliser quelqu’un qui n’y pouvait rien et dont je devais m’occuper.

Déjà, parce que je l’ai fabriqué moi-même.

Et ensuite parce que j’y tiens.

Et troisièmement parce que personne d’autre ne voulait le faire.

Ni ne pouvait d’ailleurs.

Alors voilà.

Ne pas dormir, c’est prendre ma liberté d’exister, de faire quelque chose pour moi, et pour vos par la même occasion.

Des photos, des bijoux, aussi…et de l’écriture.

Tout ce que j’aime.

Alors, même si je n’avais pas vraiment le choix, j’en ai fait quelque chose qui me va.

Bien.

Là, il est 6h40, je vais me coucher.

En fin d’après-midi j’ai rendez-vous à St-imier.

Parce que je vais faire les photos de l’Imériale, en compagnie de deux autres photographes.

Je vais aussi m’inscrire pour le prochain marché.

Je vous donnerai les dates.

Je vais dormir et aussi ,il m’arrive de faire des micro-siestes pendant la journée

Ca ne dure pas puls que quelques instants,  mais ça suffit pour récupérer la moindre.

Voilà.

Passez une belle journée

Avec Amour

Cat

Marché des Artisans 15 juin 2019 Le Virus qui fait du bien

L’année passée, vers Noêl, Pierre Fretz me faisait cet étrange cadeau.

Le Virus du Marché.

Une fois contaminée, c’est à vie …

Impossible de m’en débarasser.

Même si je le voulais.

Et je ne veux pas.

Absolument pas.

J’adore tellement faire le marché.

Rencontrer des gens, vendre mes productions, c’est exactement ce qu’il me fallait.

Et quel bonheur, quand on débute, de voir que ça fonctionne !

 

Surtout que j’étais avec Claudia, qui fait ça depuis 15 ans..

J’avais peur de ne pas être à la hauteur.

Mais Claudia, c’est un amour de femme qui cache son grand coeur sous de petites piques.

En tout cas, avec moi ,elle a été comme une marraine -bonne fée, qui m’a soutenue et conseillée.

Quand à mes amis ils sont venus en masse pour me soutenir.

Tatiana et Thierry, Abdallah, Eliane, Véronique et Pascale ,  Valérie la rockeuse et son mari et même les mexicains !!!

Les célèbres Mexicains… qu méritent un article à eux seuls.

ET même Michel que je n’avais plus vu depuis plus d’une trentaine d’année !

La grande surprise ç’est ma petite maman, qui est venue avec ma soeur, ce n’était pas prévu, et ça m’a fait chaud au couer.

Et Sidney bien sur !

Que du bonheur.

Tout c’est passé à merveille.

Je ne peux pas dire autrement !

Merci mille fois à tous et vivement le prochain !

je vais refaire du stock….

Motivée

Je me dépêche d’écrire.. je ne sais pas si il reste encore de l’électricité, dans mon système à pré-pay.

Normalement, ça coupe à 8h.. bon je pourrais aller vérifier.

Allons…

31 francs 34 !

Magnifique !

J’ai tout mon temps.

Bien.

Aujourd’hui le long de la Thièle, sous le pont, il y avait un groupe de gamin.

Très lookés, photogénique.

J’avais envie de les photographier.

Mais bon, je n’avais pas mon appareil, comme chaque fois qu’il y a quelque chose de spécial à photographier.

Alors, il vous faudra les imaginer.

15 ans, pas plus.

Un peu maigrichons.

Je me demande ce qu’ils font là.

Un peu caché.

Surement pour fumer un joint, pensais-je..

Jusqu’à ce qu’un d’eux se déshabille.

D’ou je suis ,je vois ses côtes.. c’est dire si je suis près.

Alors je comprends, ils vont plonger dans la rivière, depuis le pont, et ils ont laissés leurs affaire là, un peu en sécurité.

L’eau ne doit pas être très chaude.

Mais ils sont courageux.

C’est comme une sorte de tradition, chaque été.

Plonger du pont.

Ca n’est sûrement pas permis.

En Suisse, on fait attention à tout.

Ca doit en rajouter à leur plaisir.

La prochaine fois, je prendrai mon appareil.

J’arrête là , parce que j’ai bossé toute la nuit.

Je tenais à écrire quelque chose, parce que Bien à Bienne s du succès ,

ces derniers temps, ça motive.

Mais je suis raide, j’ai même un peu froid.

La fatigue.

Je me réjouie de plonger dans mon immense lit,

Le soleil se lève, on dirait qu’il va faire beau.

Faya, Faya, oh…

Je suis triste et secouée.

J’ai appris la nouvelle hier : Faya est partie pour d’autres cieux.

Comme on dit.

En vérité, elle n’est plus là, avec ses grands yeux et sa tête de peluche,

à gambader dans les pâquerettes avec Dyos, et Véronique.

Véronique .. que je n’ai pas pu soutenir, parce que j’étais si plongée dans mon boulot que je ne savais pas.

Je ne vais déjà pas souvent, dans le fil d’actualité, parce que je n’ai pas d’-phone, mais surtout, parce que je suis déjà débordée en temps normal.

C’est là que je me rends comte que je devrais y jeter un coup d’oeil plus souvent.

En fait, je le fais, mais là, je suis arrivée trop tard.

Je n’ai pas pu la soutenir à ce moment là.

J’en suis dévastée.

L’imaginer sans ce petit bout , grand bout d’amour qui l’aimait tellement, et qu’elle aimait tellement, est impossible.

Comment fait-elle pour tenir le coup ?

Je suppose que c’est parce qu’il y a encore Dyos, et qu’elle l’aime tout autant.

Voilà, je n’en rajouterai pas.

Je devais faire un petit quelque chose, alors, j’ai fait cette figurine, qui n’est pas très ressemblante, mais moi , je trouve qu’elle à l’attitude, c’est déjà ça.

Et un petit collier avec une feuille et une étoile, en espérant que ça lui montre, à Véronique, combien je l’aime, et combien ça me touche, ce qui lui arrive.

Perdre un animal, pour nous, c’est perdre un membre de la famille.

Nous savons bien que ce ne sont pas nos enfants, mais ils ont cette place qui y ressemble tant.

L’amour qu’ils nous porte, nous donne envie de faire le meilleur.

Et Véronique faisait le meilleur.

Si je devais me réincarner en chien, j’ai toujours dit que je voudrais être celui de Véronique.

Je t’aime fort.

Cat.

Le chant des oiseaux

Avant d’aller me coucher, je prends un instant pour écouter le chant des oiseaux.

Vu l’heure, eux, se lèvent.

On entends bien leurs trilles joyeuses qui s’élèvent dans le petit matin biennois.

A cette heure, il n’y a pas encore trop de circulation.

Si seulement, ça pouvait rester comme ça.

Comme il faut être égoïste ou inconscient pour imposer des travaux dans une ville qui donne tant de place à la nature.J’aimerais travailler encore, mais je dois aller reposer ce f…g dos qui ne supporte aucune position.

Même écrire est déjà douloureux.

Donc désolé, mais je serai très brève.

Je vous souhaite quand même une superbe journée.

Avec de la chance vous en verrez des beaux.

des oiseaux.