avance…

J’ai bien avancé aujourd’hui.

 

J’ai nettoyé mon jardin d’hiver.

Mes noix aussi.

En essayant de les nettoyer  en les brosser

et rebrosser…

Ca ne sert à rien.

Strictement rien.

Le seul moyen de les rendre aussi blanches qu’en magasin, c’est de les tremper dans une solution d’eau de javel.

Et ça , pas question !

bon désolée pour ceux qui aiment la lecture, mais je suis crevée, je m’endors sur mon clavier!   .

Alors bisou et à demain

si on veut  bien.

Un milliard de choses à faire

Voilà, c’est fait… j’ai commandé les présentoirs à bijoux de mes rêves, qui devraient arriver très vite, vu la fortune que j’ai dépensé pour ça en frais d’expédition.

Fortune qui compense le faible coût des présentoirs en question.

J’ai des milliards de choses à faire.

Et pourtant, j’ai passé une bonne partie de la journée à m’occuper de mes noix.

20 kilos de noix.. c’est quelque chose.

D’abord, elles sont entourées par une cosse verte, qui devient rapidement brune et très collante.

A ce moment là, ça s’apelle du brou de noix.

Collante, et coupantes, les noix.. je me suis enfoncé une écharde de coque dans l’ongle…

Ensuite, il faut les mettre à sécher, pour que le brou en question soit plus facile à enlever.

Comme il pleut, je dois le faire à l’intérieur.

Heureusement, j’ai de la place dans mon jardin d’hiver.

Après il faudra encore les brosser.

J’ai essayé de les faire enrobée dans du sucre caramélisé.

C’est bon, mais pas délicieux.

Alors j’ai cherché et trouvé une recette de noix au beurre salé.

A tartiner.

A mettre dans les crêpes pour changer un peu….

Je vais essayer ça demain.

On verra bien ce que ça donne.

Je n’ai plus qu’à trouver le présentoir à carte de mes rêves.

Peut-être qu’en allant demander dans une papeterie, s’ils en ont un vieux qu’ils pourraient me céder pour pas cher…

Tout est possible.

Le tout c’est de demander.

Celui qui ne demande pas ne reçoit pas non plus, non ?

Sauf exception .

J’ai tellement de la chance d’être en bonne santé.

Je dois en profiter, tant que c’est là.

J’ai une grosse pensée pour celles et ceux qui n’ont pas cette chance : comme i la vie n’était déjà pas assez difficile…

Courage !

La roue tourne.

Rattraper le train…

en  marche.

Je saute sur mon cheval, et je galope pour rattraper le train

On dirait que tout ce que j’étais en train de faire : m’habituer à mon i-phone, faire des vidéos, préparer le marché de Noêl , est…

comme un ballon gonflable, qui c’est envolé.

Et que je dois rattraper.

Comme le train.

Comme mes progrès.

Comme mes efforts.

Avec la fatigue, mon cerveau s’est reseter.

Comme un ordinateur.

Et tout est flou.

Empoussiéré.

Alors je cours..

je m’agite dans tout les sens…

Mais courir ne sert à rien… il faut partir à point…

Je n’avais jamais bien compris cette maxime de La Fontaine…

Mais il avait raison Jeannot : partir à point, ça veut dire être prête.

Faire une chose après l’autre, au bon moment.

J’ai des choses à rattraper.

Mon mois n’est pas perdu, j’ai surement appris pendant ce temps.

Mais appris quoi ?

Que la vie à de l’imagination ?

Je le savais déjà.

Qu’on peut compter sur des personnes formidables pour vous aider ?

Ca aussi je le savais déjà, mais j’avoue que ça me pose encore un problème : parce que ce que je voudrais, c’est aider moi-même.

Je vais le faire, j’y arriverai, si j’ai confiance.

Si je continue de croire que la vie est une chaîne.

Pas de celle qui vous emprisonne,

Non, de celle qui vous relie.

Et si on accpete de l’aide, on pourra aider soi-même.

On permet aussi à l’autre d’exprimer ce qu’il est.

La vraie aide, vient de personne désintéressée, qui ont du coeur.

qui savent écouter.

J’ai tellement de chance d’en connaître.

Maintenant, je vais bosser comme une bête.

Parce que j’aime ça, travailler.

J’adore ça , même.

Quand je vais ce qui me plaît.

Et je ne doute pas qu’en continuant, je vais y arriver.

Que peu à peu je pourrai m’acheter ce dont j’ai besoin.

Parce que ma situation de maintenant est très fragile.

La bonne nouvelle, cest que j’ai de quoi me nourrir, mes animaux et moi.

Mais j’ai zéro franc pour investir.

Et pas question, mais alors, vraiment pas question une minute que je retourne aux oeuvres sociales.

Ce serait l’enfer assuré.

Le retour en arrière fatal.

Trouver une organisation qui m’aiderait… perdre mon temps à faire un dossier, à sonner aux portes, sans garantie de succès…

Je ne peux pas me le permettre.

Mon temps est trop précieux.

Non, je vais croire en moi, bosser comme une bête.

Dans la photo, dans les bijoux, et j’y arriverai.

De sur..

Je vais rattraper le train,

sauter assez haut pour récupérer ce ballon qui m’emmènera encore plus haut.

Je peux le faire.

Je suis déjà en train.

J’ai des supers chaussettes pour l’hiver que m’a tricoté Isa.

Et même des guêtres.

J’ai tout ce qu’il faut.

Le marché de Noêl c’est ma chance.

Je ne la laisserai pas passer.

Reset-moi

j’ai appris un truc l’autre jour :

Notre cerveau fait des resets.

Cmme les ordinateurs.

En réalité, c’est plutôt les ordinateurs qui fonctionnent comme nous.

Puisqu’ils sont conçus par des êtres humains.

Quand on arrive dans une pièce et qu’on ne se souvient plus de ce qu’on voulais faire, c’est pour cette raison.

Notre mémoire à emmagasiné trop d’infos et fait de la place.

Mais en retournant oen arrière, on peut s’en souvenir,

comme avec une sauvegarde.

Alors je n’oublie rien,

surtout pas la  la bonté des gens.

Mais la je dois dormir, je vous raconterai ma vie  plus tard.

Paa                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         d

Alpiniste des précipices 2

Quand quelque chose d’imprévu, d’inédit et de bouleversant vous arrive, il y a de quoi flancher.

On à le droit, c’est normal.

Par contre, il faut se relever.

Sans blâmer personne.

Ce serait une perte de temps et d’énergie.

Ce serait injuste aussi, parce qu’on a tous notre lot de misères sur cette terre

S’aplatir les uns les autres est totalement contre-productif..

Je regarde autour de moi.

Que vois-je ?

De bons amis.

De beaux enfants.

Des personnes aimantes.

Plus loin, je vois les aigris,  ils sont bien où ils sont.

Demain c’est le marché et je suis repartie pour un tour.

J’espère qu’il fera beau.

J’ai reçus un mini-lot de mini-perles épatantes.

Je vais faire des nouvelles impressions

et une petite vidéo.

Ca faisait longtemps.

J’ai aussi d’autres projets à concrétiser pour mon stand.

Le boulot me remet sur les rails.

Encore et toujours.

 

Je connais quelqu’un qui…

Qaand j’étais plus jeune, il ne m’arrivait pas grand chose d’ntéressant, du moins c’est ce que je croyais.

Je voulais vivre des aventures.

Etre  Claude du club des 5.

Ou Fantômette.

Sylvie aussi, sauf que l’idée d’être mariée à un Gambier dont il faudrait tenir compte, genre laver ses chaussettes, ne me disait pas trop.

Sinon, elle était top cette Sylvie..

Belle, toujours bien lookée, et les aventures pleuvaient sur elles sans qu’elle n’aie besoin d’aller les chercher.

Alors, je me mettais en quête, j’écoutais, j’observais, je voulais savoir, comment on devient  quelqu’un avec une vie passionnante.

Je lisais des tas de romans biographiques.

De Van Gogh en passant par Camille Claudel, en passant par Rimbaud, Verlaine, Edith Piaf…

 

Même Toulouse Lautrec, dont j’aimais le nom et les dessins, même Victor , le grand Victor Hugo, exilé….

Et qui d’autres ?

Dali.. mais Dali était malin.. il avait une femme qui savait y faire en matière de marketing…

Quand à la fantastique, la merveilleuse et captivante monosourcilléeMagdalena Frida Carmen Kahlo Calderón,

qui a connu l’enfer physique et moral,

je serais presque prête à subir pareil pour avoir son talent,

mais à tout choisir, être amoureuse d’un gros infidèle, ça ne me tente pas des masses.

Dans la vie, les personnes que je rencontrais avaient aussi des choses à raconter, que je m’appropriais, indirectement.
Ce qui donnais , invariablement (oui je sais j’aime trop les adverbes) ceci :
je connais quelqu’un qui….
Mais voilà, connaître quelqu’un ne me rendais pas plus intéressante.
Parce que, dans le fonds, je n’en faisais rien d’autre que
attendre que l’autre aie fini de raconter son histoire pour essayer de l’épater avec la mienne qui ne pouvait être que mieux….
Ayayaya…..
Jeunesse…..
On apprends en voyageant.
Donc, j’ai voyagé.
Chez les Touaregs, j’ai appris à me taire,
à écouter..
mieux
Et là, c’est fou comme ça m’a aidé,
couplé à une bonne thérapie.
La thérapie apprends à poser les bonnes questions.
On raconte une histoire et on essaie d’en tirer une leçon.
On apprends à apprendre.
A trouver du sens dans sa vie, et celles des autres aussi.
Comment ça marche, ou pas.
Aujourd’hui, j’ai rencontré une belle jeune femme que je connais.
Souriante, sereine, épanouie.
Libre.
Mais sans ivresse, sans faux semblants.
Juste libre d’être nfin elle-même,
parce qu’enfin débrarassée d’un mari, pas méchant, mais ,comment dire…
ça la regarde, alors contentons nous d’un « avec qui ça n’allait plus ».
On à papoté.
Et juste avant, j’ai parlé avec une vieille connaissance qui a des soucis avec sa fille.
J’ai essayé de le rassurer, de dire qu’il faisait fausse route en pensant savoir ce qu’elle pensait.
J’aime quand les gens ne se réfugient pas derrière un « oui oui ça va », qui ne veut rien dire .
Toutes les vies sont intéressantes, toutes les expériences valnet la peine d’être partagée, quand c’est adéquat.
On me reproche parfois de ne pas aller voir ce qui se passe sur les pages de mes amis , sur Facebook.
Pourquoi ?
Parce que je ne ferais que ça.
Jen epourrais ni écrire, ni photographier, ni crééer des bijoux ou quoi que ce soit d’autre.
Je nne pourrais plus prendre le temps de rentrer à pieds, depuis l’école de Sidney.
Longer le quai du bas, remonter la rue de la gare en observant ce qui s’y passe.
En inventant des jeux et des chansons, avec elle.
On improvise, on slame…
Et j’adore ça.
Comme j’adore discuter avec vous quand on se rencontre par hasard ,
ou sur mon stand.
Toutes vos, nos hstoires sont des pièces d’un puzzle initiatique..
Toutes les réponses à toutes nos questions.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!

Le plein de bonheur aujourd’hui.

Bonheur numero un : mon blog est à nouveau opérationnel.

C’est drôle, mais j’avais comme l’impression que c’était mieux.

Parfois, mieux vaut se taire.

Mais là, ça remarche, merci Guillaume.

Je me sens bien aujourd’hui, joyeuse.

Incontrôlablement joyeuse.

Là, Google correcto se fâche tout rouge : ça n’existe pas, pour lui « incontrôlablement ».

Pourtant ç’est exactement ce que je ressens.

Ca viens du tréfonds de mon coeur, ça irradie ensuite.

Dans tout mon corps et me donne envie de chanter.

J’ai cette chanson qui me trotte dans la tête,

tout aussi incontrôlablement.

C’est curieux la joie, quand même, vous ne trouvez pas ?

A notre époque,

on sait prédire la température qu’il fera plusieurs jours à l’avance,

on est capable de photographier un atome en pleine lévitation,

on pourrait même soigner la dépression grâce à une spray nasal .

Mais on ne sait toujours pas

d’où vient la joie.

Qu’est-ce que c’est la joie? si déjà ?

J’adore être joyeuse.

Avoir cette sensation que chaque particule de moi va bien, est à la bonne place , en sécurité, tout en pouvant s’exprimer ou que je sois.

Ca se manifeste par du chant…

If a was a rich Girl.. nananananananananaaaaaa

Mais qu’est-ce qui provoque ça ?

La joie de vivre ?

Alors que je n’ai rien fait de particulier, et même que je pourrais toutaussi bien dans les mêmes conditions, être aussi déprimée que je l’étais ces derniers jours…

Après la pluie vient le beau temps ?

Peut-être.

Mais c’est plus que ça.

Comme un pressentiment que quelque chose de bien peut arriver.

Va arriver.

On verra bien.

Alors bien sûr j’aurais d’autres raisons d’être heureuse.

Je le suis pour ma chère Tiffany, qui a trouvé l’homme de sa vie.

Homme qui s’est agenouillé.,qui a ployé son genoux d’homme,

pour remettre son destin entre ses mains de femme.

Comme c’est beau, je trouve.

D’ailleurs, je trouverais ça tout aussi beau si c’était l’inverse.

Mais ça aurait pu aussi me rappeler à mon triste sort de célibataire ?

Ben non.

Je suis joyeuse.

Et l’idée d’être en couple ne me travaille absolument pas.

Quel que soit mon état d’esprit, je n’y pense même pas.

Le célibat est de toute façon mon état naturel.

J’aime la compagnie, j’aime la solitude.

J’aimerais sûrement être en couple aussi.

A condition que l’homme exceptionnel capable de me supporter existe.

Non, non, je ne me rabaisse pas.

Je dis la vérité.

Et bien sûr, ça ne serait pas ça seule qualité, sinon, je suis plutôt facile à vivre , tant qu’on essaie pas de m’empêcher de le faire.. ou

qu’on veuille me changer.

Voilà pourquoi j’aime tant mes amies.

Ce genre de chose ne leur viendrais pas à l’idée.

Et l’amie suprême est capable de voir comment je vais , sans que je lui fasse un petit dessin.

Si j’en fais un quand même,

elle ne tente pas de  faire comme si de rien n’était.

Elle est capable d’insister pour que j’accepte son aide.

Parce qu’elle à compris comme ça m’étais difficile d’en demander.

Reconnaître qu’on a besoin d’aide est une chose.

Ca j’y arrive très bien.

En demander par contre, c’est beaucoup  plus dur.

Mais la joie, alors ?

C’est une réponse du coeur ?

C’est le moteur du coeur ?

Son carburant ?

Ou les deux à la fois.

L’amour ?

L’amour ne rends pas forcément heureux.

Il faut de la joie, du partage, de l’envie, comme des engrais

Et ça vient d’où ?

Ca vient comment ?

ca vient pourquoi ?

Je m’en vais méditer sur la question

 

Crevette

Morte de fatigue….

J’aimerais pouvoir dormir une semaine entière.

Me baigner dans la mer.

Me laisser tomber sur le sable, et me dorer au soleil.

Avec des boissons fraiches.

Sans responsabilité.

sans soucis.

sans plus rien à organiser.

Que les gamelles se remplissent automatiquement.

Que les poils de mes animaux se ramassent tout seuls.

Que la vaisselle… saleté de f…..g vaisselle ,arrête de s’empiler,

comme un mouvement perpétuel.

Un truc sans fin.

Que le frigo se remplisse tout seul, par contre, avec que des choses que j’aime..

Que ma fille n’aie pas eu besoin de se faire réopérer, recasser la jambe, et devoir

tout recommencer..

Ce qui m’éviterais de me lever le matin tôt pour amener ma petite fille à l’école.

Aller la rechercher à midi, la ramener à 13h.. et y retourner encore pour aller la chercher..

4 aller et 4 retours par jour…

Je vais me coucher tôt. la maintenant, pour me lever tôt.. c’est pas mon rythme ça.

Ca m’épuise, bien plus que mes nuits blanches.

Je pense à ça, et ensuite, je pense à ce qui va bien.

Ma petite fille justement.

Tellement vive et intelligente.

Pour elle je ferais n’importe quoi.

Même lui brosser les , longs, cheveux, tout les jours.

Pour éviter les paquets de nœuds…

Surveiller ses devoirs, saluer ses progrès.

Ma merveille des merveilles de petite fille.

Bon au lit.

Laavage de dents, même si je n’en ai pas envie.

Important, les dents…

Et vous dire, désolée, de n’être pas aussi passionnante que j’aimerais l’être.

Mais voilà.

J’ai de l’espoir , en tout cas.

Confiance en la vie.

Elle m’a toujours apporté de bonnes surprises.

Il n’y a pas de raison que ça s’arrête.

La vie est si étrange….

Je vais m’arrêter lä.

Il parait que la méditation aide à durer longtemps….

Alors allons méditer.

Avec les dents propres.

Réussite

je veux réussir.

Je veux gagner ma vie…

Quelle drôle d’expression… gagner sa vie…

Qui sous-entends qu’on doit avoir de l’argent pour vivre, mais aussi que l’on peut en quelques sortes perdre sa vie.

Pas question que ça m’arrive.

Jusqu’à présent, j’ai eu beaucoup de chance, de recevoir de l’aide pour pouvoir continuer mon travail, dans de meilleures conditions.

J’en suis terriblement reconnaissante.

Sans ça, je ne pourrais pas vous en parler.

Je prends conscience, maintenant, que si je veux vraiment gagner ma vie avec mon travail, je devrais investir.

Portes cartes, pour mettre mon travail de photo en valeur.

Portes-bijoux , pour mes bijoux.

Mais aussi, de quoi m’habiller chaudement pour cet hiver, sans avoir l’air d’une réfugiée polonaise..

Et encore , pouvoir investir dans l’impression de cartes postales.

D’agrandissements pour mes cadres.

Comment faire quand le peu que je gagne passe dans la nourriture?

Je déteste demander de l’aide.

Un des jours les plus heureux de ces dernières années fut quand j’ai décidé de me passer de l’aide de la ville.

Enfin « aide » ce n’est pas tout à fait le mot qui convient.

Je lis ou j’entends parfois des gens se plaindre de ceux qui reçoivent de l’argent des oeuvres sociales.

Il faut savoir que ça à un prix.

Un prix moral, qui fini par se voir.

C’est comme une spirale infernale, qui vous tire vers le bas.

Mieux vaut tout-de-suite sauter par la fenêtre…

J’ai besoin d’aide, mais je ne veux pas en recevoir…

Ou du moins pas à n’importe quelles conditions.

Je veux rester indépendante.

Et un beau jour aider à mon tour.

 

J’ai peut-être une solution, une sorte de pilier, que je n’ai jamais touché et qui m’aiderait  bien.

Je vais voir si c’est possible.

Ca serait l’idéal.

Ca mettrait déjà un peu de tarama sur mon pain bâlois.

.

L’Avenir appartient…

A ceux qui se lève tôt. il parait.

On va voir.

Je vais me réveiller à l’heure où je me couche d’habitude.

Parce que je dois :

promener le chien.

Nourrir les chats ( bande d’affamés qui réclament de la viande sur leurs croquettes).

Amener ma petite fille à l’école.

Monter mon stand.

Encore heureux que le stand lui-même soit déjà installé.

Ca sera rue de Nidau, pour ce jeudi.

-Normalement y’a pas le marché le jeudi ?

Ben cette fois si, juste au mois de septembre, c’est trois jours de suite.

Je vais être raide de chez raide.

Mais j’aime tellement …

Encore plus quand j’ai de la visite.

Encore plus quand je vends.

Encore plus quand je vois mes collègues et amis marchands.

Encore plus quand il fait beau.

Et demain, il fera beau.

Donc à demain,

si vous le voulez bien

Show must go on!