Double bonheur!

Merci mes chers clients et néanmoins amis!

Grâce à vous, j’ai pu récupérer mon abonnement Photoshop et me rendre compte au passage que la version moins chère me convenait parfaitement.

L’autre coûte le double et je n’utilisais pas les fonctionnalités additionnelles…

Donc, Bonjour mon Photoshop chéri! En plus tu t’es souvenu de mes pug-in préférés et tu me les a remis sans rien demander.

Ca faisait des semaines que je me contentais de l’outil de base collé sur mon ordi…

Je me contentais, c’est un grand mot.

Je ne pouvais pas y mettre mon style, celui qui fait ma spécificité

Du coup, je n’étais que peux satisfaite de mes photos.

Je précise, même si la plupart de mes vrais fans le savent, que je ne triche pas.

J’utilise photoshop pour extraire de la photo ce qui ne se voit pas au premier abord. mais qui est déjà contenu dans la prise.

Ensuite, c’est vrai qu’il m’arrive de saturer, voir d’hyper-saturer mes couleurs, mais ça, c’est mon droit absolu.

Ca s’apelle « le style ».

Quel bonheur je vous dit !

Et comme un bonheur est toujours accompagné d’un autre, j’ai pu commander les perles qui me manquaient pour ma nouvelle collection Gothique 2.0

Bref, je suis doublement heureuse et c’est grâce à vous.

Donc merci, mille merci d’être là, d’aimer ce que je fais et d’acheter mes productions.

Carnaval arrive et nous serons là.

Au marché du samedi, avec plus de stands encore vu l’événement

Seul point noir.. mon dos en compote.

Steve s’en est bien occupé, merci Steve, mais il à remarqué au passage que je suis tendue comme le string d’une candidate dans une émission de télé-réalité.

C’est dire.

En fait je suis tendue comme tout les strings de toutes les candidates des Princes de l’Amour en passant par la Villa des Coeurs brisés, et les Marseillais contre-attaquent …et même de la version sud-américaine de Love Island !

En parlant de télé j’aimerais mettre une mention spéciale à la nouvelle série sur la catastrophe de Tchernobyl.

Ca fait froid dans le dos!!

Je pense à ces héros qui ont sauvé des millions de personnes pour quelques centaines de roupies… les officiels en place en prennent pour leur grande.. ah elle est belle la patrie.. l’idéologie balayée par les ambitions politiques.

Evacuer la population n’étais pas une priorité et les enfants jouaient dans les cendres radioactives, comme si c’était des feuilles mortes.

Un monceau, que dis-je un Everest d’incompétences cumulées par abrutis imbus de leur poste.

Avec ces dialogues qui me restent :

La femme : je suis physicienne nucléaire et vous, avant d’avoir ce poste vous étiez dans une usine de chaussure.

le type bien gras derrière son bureau : oui mais c’est moi qui commande !

Nous vivons actuellement une nouvelle période.

Celle de la libération de la parole.

Regardez une série comme « The New Poe » qui montre les religieux décadents, au sein même du Vatican.

Par exemple… et les reportages sur les pratiques d’esclavage sexues de talibans…

Oi mieux « Our Boys » série ultra-réaliste à voir absolument si on s’intéresse un peu à ce qui se passe dans le monde-

Avant tout, avant d’être juif, catholique ou musulman, avant de renier ou d’adorer les Dieux,

avant de massacrer les pangolins (honte !!), avant d’être atteint du coronavirus ou pas,

Avant d’aimer le rose ou de détester ceux qui voudraient pouvoir choisir leur identité.

avant de souffrir parce qu’on ne corresponds pas aux standards d’une mode qui s’en fiche.

avant d’être trop comme ci et, où pas assez comme ça,

Avant d’être blond, roux, frisé, chauve , blanc , noir, jaune…

Petit ou grand, riche comme papa ou fauché comme maman.. ou les deux à la fois…

Avant d’aimer les fleurs des champs ou les fleurs coupées.. les grands espaces,

ou les nids douillets…

Avant tout ça, nous sommes tous, même si ça ne se voit pas toujours clairement,

: des pu…….  d’être humains.

On  pourrait consacrer quelques minutes par jour à s’en souvenir.

A se demander ce qu’on pourrait faire pour améliorer nos conditions.

Il y en a qui le font.

Et d’autres qui pointent du doigt ceux qui n’y arrivent pas.

La bave aux lèvres, le clavier à proximité.

Et qu’importe qu’ils aient raison ou tort, le mal sera fait de toutes façons.

Alors que.. il n’y a qu’à tourner la tête pour voir quelqu’un qu’on peut aider.

Avec un sourire, avec des bras qui serrent, qui servent ( je pense à mon mal de dos)…

Ca porte un nom, notre nom :

l’ Humanité.

Remonte la pente encore

Je me suis bloquée le dos, donc.

Salement.

Heureusement, elle est pas belle la vie ?, Steve a vu mon cri d’alarme sur internet et réagit aussi tôt.

Je précise pour les esprits chagrins, que j’ai payé ma consultation.

Avec mon travail.

C’est important de le dire.

Parce que nous, qui sommes à notre compte avons besoin d’être payé.

On ne peut pas « vite passer faire un massage » ou « juste faire quelques photos ».

Enfin bref, je ce que je voulais dire, surtout,c’est que c’était une urgence.

Quand je disque je crevais de mal, c’est comme si une lame épaisse se déplaçait dans mon corps er pointait sur mes nerfs.

Impossible de marcher autrement que pliée en deux.

Ce n’est pas la première fois que ça m’arrive.

J’ai trouvé quelques exercices sur le net qui e soulagent temporairement.

J’arrive à me déplier et à me traîner jusqu’au cabinet de Steve.

Vous vous rappelez ? la première fois, j’y allais un peu à reculons.

Je n’aime pas trop qu’on me touche.

Mais Steve, c’est un peu comme un mécano sur auto.

Il n’est pas là pour la tripoter, mais pour la réparer.

Et  c’est ce qu’il à fait.

Il a vite localisé l’endroit, et  remis les choses en place.

Voilà pourquoi, je dois faire très attention, mais je peux me redresser et les piques de douleur ont disparu.

Je n’ai même pas pris d’anti-douleur, c’est dire.

En ce moment j’ai envie de prendre soin de moi.

Ca commence par là.

On ne peut pas rester avec des maux sans rien faire.

Même si c’est vrai, qu’en Suisse, on a tendance à mourir d’abord et se faire soigner ensuite.

Je regarde la nouvelle série « Chernobyl ».

Comment ne pas se rappeler de cette tragédie ?

Les séries d’aujourd’hui s’attaquent enfin à des sujets historiques récents.

Ca me passionne.

Bon, je vais me coucher.

Bonne journée à vous et à tout bientôt

 

 

 

 

 

 

Qui va piano…

Ben voilà…

pourquoi, contrairement à quasi toute la ville munie de queqlue chose capable de photographier.. n’ais-je point immortalisé un des plus beau coucher de soleil de la ville… hein ?

Pourquoi ?

J’ai essayé, mais c’était trop tard..

la douleur me vrillait les nerfs , et de retour des commis, sur ma trotinette, je ne pensais qu’à arriver chez moi, pour me coucher.

Je me suis bloquée le dos cet après-midi. bêtement.

En nettoyant ma terrasse, j’ai voulu déplacer une plante.

J’ai tiré sur le tronc.. et j’ai senti ma colonne vertébrale s’allonger de deux centimètres.

Crac…

C’est l’effet que ça m’à fait, mais ça devrais être autre chose…

A cause de la douleur intolérable qui a suivi.

Et c’était 17h50… je le sais par ce qu’il me restait10 minutes pour faire mes commis chez Aldi.

Je prends ma trott, pliée en deux.

J’ai pas le choix.

Si j’arrive trop tard, ça ferme et la Coop est ouverte, mais deux fois plus chère..

Donc j’arrive là-bas,

Et voilà que les deux vigiles me repèrent.

Un des deux me demande si ça va.

Je dis ce qui m’arrive, en m’accrochant aux rayons pour ne pas tomber.

Il compatit.

J’essaie de faire mes courses.

Un monsieur sympa m’aide à attraper une boîte d’ananas trop haut.

J’arrive à peine à ouvrir les bacs de congélation.

Rapido., ça ferme dans 5 minutes.

Et voilà que le deuxième vigile arrive vers moi.

Avec des conseils d’exercices pour me rétablir,

Voilà qui fait plaisir.

Voilà qui montre dans quelle ville on vit.

Une ville ou les gens photographient le ciel quand il est beau.

Une ville où les vigiles compatissent et essaient de vous aider à aller mieux.

Bien sûr on peut sortir tout un tas de trucs moins reluisants.

Mais je préfère remarquer ce qu’il y a de bien..à Bienne.

Les uns et les autres

Merveilleuse nouvelle !

L’office des immeubles m’a répondu.

Nous allons enfin, j’espère , re-avoir du chauffage.

Il faut dire qu’un appartement glacial, ce n’est pas le top en hiver.

Quand faire sécher son linge devient impossible, et prendre une douche ferais risquer un autre refroidissement.

Heureusement que personne n’est malade.

Heureusement qu’on est des durs.

Il faut l’être dans ce monde partagé.

On se plaint toujours de la bêtise des hommes, mais sans elle.. comment connaître la bienveillance ?

Forcément,

pour une personne gentille, il faut un con.

On en connaît tous.. des deux catégories.

D’ailleurs, soi-même..  enfin..

Je suis très heureuse ce matin.

Le chauffage aussi , on l’apprécie davantage quand on en a manqué.

En attendant, je vais de ce pas chercher du bois, histoire de faire un bon feu dans ma cheminée.. enfin mon poêle à bois.

Mais d’abord, je vais promener ma brave Prisca qui se porte à merveille pour son âge.

Je dois prendre soin de ma santé.

Donc il est temps de faire une cure d’Aubier de Tilleul.

Rien de mieux pour se nettoyer de l’intérieur.

Je me sens un peu encrassée.

J’essaie de réduire le tabac, de faire de l’exercice.

Mon corps est un temple.. j’adore cette expression.

Je vous souhaite une excellente journée

Positive

Une semaine sans chauffage.

Ca commence à bien faire.

J’ai écrit à l’office des immeubles qui s’occupe de ma maison.

Mais aucune réponse…

Je vous épargne les détails, mais voilà… je ne peux rien faire.

Ne me dites pas d’utiliser l’ASLOCA… j’ai déjà essayé, pour pire que ça.. et il y a des cas, , comme le mien, où la logique n’entre pas en ligne de compte.

Mais bon.

Il y a pire.

Et j’ai de la chance :

Je peux faire du feux, si je veux.

Et ça c’est absolument génial.

Quand on a du bois.

Je regardais un film hier, et la question c’était : qu’est-ce que tu voudrais comme super-pouvoir ?

J’aimerais être un homme.

Pas tout le temps, hein, juste quand il faut intervenir

A la réflexion , pour apprécier l’état masculin, il faut être une femme à la base.

Un peu comme pour apprécier la chaleur, il faut connaître le froid-

Et pour connaître le bon… avoir vu le mauvais.

Bon je vais me coucher, on dors très bien au froid.

Familles je vous aime

Mais quelle excellente après-midi j’ai passé.

Nous avons passé.

Parce que j’ai senti, et ils me l’ont dit aussi, que cette belle famille s’est autant amusé que moi , à faire leur shooting.

Telles des stars accompagnées de leur photographe perso, je les ai mitraillé ensemble et séparément.

Il faisait beau, très beau.

Exceptionnellement beau et chaud pour la saison, avec un vent fort, qui faisait joliment voler les cheveux de la Maman.

Quels gentils enfants,

Quel bon papa.

Une maman enceinte de 8 mois, gentille courageuse. simple dans le bon sens du terme.

No chi-chi.

Les enfants jouent le jeux de bonne grâce.

Les parents participent avec le sourire et tout le monde propose

des supers-idées de pose.

En même temps on se promène.

Je partage avec eux mes endroits préférés.

Je les place dans mes décors, pour qu’ils se mettent en valeur mutuellement.

Et ça coule de source.

Ca colle et ça roule !

J’ai tellement de plaisir , que le temps passe à toute vitesse.

Je m’inquiétais de la maman enceinte jusqu’aux yeux, mais il n’y avait pas de quoi.

Et vous savez ce que j’ai apprécié le plus : c’est le comportement parents enfants et enfants parents.

Et encore, époux-épouse et frère et frère.

Il y avait de l’amour, de l’attention, de la complicité.

Les yeux des garçons pétillaient de malice et d’intelligence.

Et au-dessus d’eux planait gaiement un des plus beaux esprit qui soit :

L’Esprit de Famille.

Franchement, je suis gâtée.

Parce que toutes les familles que j’ai photographié jusqu’ici mériteraient, comme eux d’avoir leur photo dans le dictionnaire sous le mot « famille ».

Je me sens terriblement reconnaissante.

De pouvoir faire ce métier qui me plaît tant et d’être sollicitée par des gens comme ceux que je rencontre dans e cadre de mon travail.

Maintenant je n’ai plus qu’à me reposer.

Parce que ça prends beaucoup d’énergie un shooting,je suis chaque fois sur les genoux à la fin.

Je me concentre pendant deux heures pour assurer de mon mieux.

Ca prends, mais ça redonne par la suite.

Quand je peux voir les photos et me remémorer ces beaux instants.

Quand je peux les partager.

Rendre cette belle famille fière et consciente d’avoir si bien assuré.

Pas juste aujourd’hui,

mais bien tout les jours de leur vie.

C’est à ça que sert la photographie.

Témoigner et provoquer des sentiments ,

des sensations.

Dans le présent, le futur et le passé.

Quand un jour ils montreront ces photos à l’enfant qui va naître, et qui était, en quelque sorte déjà là.

 

Plein d’amour

Avant de partir mon marché, j’ai demandé à ma petite fille de me prêter son bonnet.

J’allais le prendre quand elle me dit : attends grand-maman.

Elle le mets sur sa tête :

d’abord je le remplis d’amour.

Signes et autres instants cruciaux

Dans la vie, on à parfois tendance à tourner en rond.

A répêter les m^mes erreurs.

Le but, c’est d’apprendre, en se plantant.

C’est comme ça qu’on avance.

A condition de tirer des leçons de ses expériences.

Quand on est sur le bon chemin les signes apparaissent.

En fait, les signes sont là tout le temps.

A condition encore d’être un minimum attentif à eux.

Aujourd’hui, j’ai rencontré une belle jeune femme qui promenait son mignon petit chien.

On discute deux mots, et surprise, elle savait que j’avais perdu le mien…

Parce qu’elle lit mon blog.

Et qu’elle l’aime bien.

L’espace d’un instant, je me suis senti presque comme une sorte de star locale.

Il m’arrive parfois la même chose avec mes photos, et même aux gens que je photographie, que l’on reconnait et complimente dans la rue.

J’aime beaucoup reçevoir des commentaires sympas sur internet, mais en direct, ça touche autrement.

Il faut dire que , mis à part ma chère Michelle, j’ai rarement des commentaires sur mon blog.

Plus sur Facebook.

Et parfois, j’ai vraiment l’impression d’écrire dans le vide.

Alors, j’apprécie doublement cette rencontre qui m’a mis du baume au coeur et remotivée à fonds.

Il y a d’autres signes important, et des instants cruciaux ou, même si tout parait difficile, il faut tenir bon.

En ce moment par exemple, ça fait deux jours que nous n’avons plus de chauffage.

Il fait plutôt frais dans mon appartement et mon pouvoir d’action est limité.

Je ne vais pas épiloguer là-dessus.

Heureusement j’ai un très bon poêle à bois.

Mais dans ma chambre, je dois mettre le radiateur électrique pour ne pas finir congelée.

Nous qui voulions économiser l’éléctricité.

Ca veut dire que lundi déjà on aura épuisé notre crédit et que je vais devoir recharger la carte… 100 francs que je dois gagner à tout prix…

C’était hier la St-Valentin.

Mais le marché c’est demain.

Au moins il ne pleut pas , c’est déjà ça.

Et dimanche, j’ai un shooting.

Donc je dois tenir bon.

Toute la semaine j’ai eu ma petite fille qui était en vacances.

Il y a des choses qui m’ont affecté plus que je ne le pensais.

J’aimerais être comme ces  héros solitaires un peu cyniques, sur qui tout semble glisse.

Sur qui les émotions n’ont aucune prise.

Quoi qu’il se passe,

Même le pire,

ne laisse de trace sur eux

que l’ombre

d’un petit sourire.

Andrea…

Aujourd’hui , j’ai appris la mort d’Andrea.

Depuis quelques mois, il me semble que ça n’arrête pas.

Si c’était des vieillards en fin de vie, je comprendrais.

Mais David, Sandra, Pepe, César, Laurent, dépassaient rarement la cinquantaine.

Et Andrea était encore plus jeune.

Aucun mal mystérieux.. chacun est parti différement.

Santé ou accident…

Et l’autre jour, quelqu’un aurait pu mourir devant moi, parce que je ne connaissais pas les symptômes de l’AVC.

Je pourrais dire que nous devrions prendre soin les uns des autres, mais ce serait injuste, pour ceux qui l’ont fait, et que la personne aimée est partie quand même.

Je pourrais dire encore que chacun devrait être attentif avec sa santé, mais là encore, il y a trop d’injustice pour en faire une généralité.

Tout ce que je sens, c’est la peine.

L’importance de ceux qui restent, et que l’on aime.

Ceux qui restent .

Ceux qu’on juge parfois, ceux qu’on néglige, ceux dont on se fait de fausses idées.

Ou même des vraies, mais qu’on ne considère pas dans leur ensemble.

En tant qu’être humain, imparfait certes, mais comment serions-nous à leur place.

Alors qu’il est déjà si dur parfois de tenir la nôtre.

Les gens savent, croient savoir, mais au final ne savent rien.On ne devrait pas les blâmer pour ça non plus.

Si seulement on pouvait simplement s’aimer un peu plus.

On devrait prendre exemple sur les enfants.

Enfants qui sourient, qui jouent, qui ne doutent de rien.

Et surtout pas de notre amour pour eux.

C’est la que je tire ma force.

Le soleil revient toujours.

 

 

Oiseaux de la Thièle

Ce matin, pendant la promenade du chien,

j’ai vu en quelques minutes, un merveilleux martin pêcheur turquoise,

deux grandes pies noires et blanches et le petit canard jaune de cet été qui est devenu un grand canard blanc.

Je crois que je pourrais m’attacher à un arbre pour qu’on ne touche pas à cette portion de la Thièle.

Avoir la chance de contempler des oiseaux aussi beaux et différents, quand on habite en ville, ça donne envie de les protéger.

Si ils peuvent vivre si près de nous, c’est qu’ils sont bien, non ?

Regarder s’envoler un martin pêcheur qui file si vite qu’on dirait un trait de lazer

au-dessus de la rivière, c’est un spectacle si impressionant !

Les photographier .. c’est une autre histoire.

Va me falloir de la patience, beaucoup de patience.

Mais je l’aurai un jour!

Je l’aurai !