Bienne Tragédie

Elle est morte… on ne dit pas son nom.. on ne montre pas sa photo… l’enquête est en cours…

Désormais il y aura de la musique dans ce blog… pour s’accorder avec l’article.

C’était vraiment une jolie fille.

J’ignore son âge, mais elle faisait jeune.

Je ne peux pas dire que je la connaissais vraiment.

On a du se parler deux fois…

Mais je la voyais.. elle avait quelque chose de fascinant.

Comme  bien des biennois, elle venait d’ailleurs dans ses origines.

Elle avait un beau profil, délicat.

Et la tragédie lui collait à la peau.

Partout où elle passait.

Elle me donnait l’impression de ne pas savoir qu’elle avait de la valeur.

Plus qu’elle ne le pensait.

C’est juste une impression.

Je la voyais traçant sa route, au milieu d’épreuves… du genre qui paraissent dans le journal.

Un destin hors du commun, mais si triste…

Qui mérite ça ?

Est-ce qu’elle s’est endormie paisiblement et jamais réveillée?

J’aimerais le souhaiter.

Mais mourir asphyxiée dans un incendie, ça doit être terrible.

Et si elle ne dormait pas…

Et si elle s’est retrouvée piégée, et brulé vive ?

C’est une mort atroce.

Je n’ai vu nul part l’évocation de ses souffrances.

Comme si ça n’avait pas eu lieu.

Un accident ?— ok…

Les experts  ont déclaré que c’était un accident.

Ils sont fort pour trouver les origines du feu.

J’en sais quelque chose, chez moi aussi, il y a eu le feu.

C’est surement pour ça que ça me touche autant.

Heureusement pas de victime…

Revenons à elle… avec son joli prénom… son visage harmonieux.

On peut se poser mille question.

Qui saura dire ce qui c’est passé là?

Je suis une vraie biennoise, je connais tout… ou presque.

Je l’avais visité cet atelier, qui a brûlé aussi.

Ces pièces, ces outils, ces fournitures d’horlogerie anciennes qui sont irrécupérables, parce que le feu fait fondre les choses… la suif s’insinue partout

comme une peste noire, désespérante.

Le travail d’une vie… comme une punition.

Je peux le dire parce que mes affaires aussi ont brulé.

Je l’ai pris comme un allégement, la possibilité de recommencer à zéro.

Mais mes pauvres choses n’avaient de valeurs que pour moi.

Celles qui ont disparu dans cette incendie, je me souviens de quelques unes…

qui auraient pu figurer dignement au musée de l’horlogerie.

Rares, voir uniques…

Mais les choses n’ont pas d’âme… seulement celle qu’on leur donne temporairement, quand elles disparaissent, elles ne vont nul part.

Elle avait une âme, et sur son visage lisse les tragédies qu’elle avait vécu ne s’inscrivaient pas

Ca se voyait pourtant, à cette façon qu’elle avait de s’habiller, qu’elle était différente.

Qu’elle était menée par quelque chose qu’elle seule connaissait.

Quand on avait parlé, je l’ai trouvé intelligente, cohérente.

Et parce que personne n’a le droit de la juger, alors je ne ternirai pas son portrait.

Quoi que l’on croie savoir…

Je voulais en parler, pour qu’elle reste quelque part sur ce net *éternel »…

Je ne suis pas triste,

J’aimerais que ça ne soit pas vrai, qu’on se soit trompé.

Que je la croise encore.. parce que personne ne mérite une fin pareille.

Y’a-t-il un sens à l’anéantissement  barbare d’une personne, en pleine ville…

Barbare . car le feu est primitif, violent, sans pitié.

Dans Game of Throne, quand on les voit périr dans les flammes, les effets spéciaux sont si bien faits de nos jours, alors, on peut s’imaginer sans peine à quoi ressemblaient ses derniers instants.

Barbare…

Je suis désolée pour elle, pour a famille si elle en avait.

Peutetre que par hasard quelqu’un pour qui elle était importante lira ce texte.

A cette personne je veux dire, qu’elle m’a marquée, qu’elle en surement marqué d’autres, qui ne l’oublieront pas, non plus ,comme moi.

Que son âme aie la paix.

Que son beau visage reste dans nos mémoires.

Avec ce sourire, qui donnait l’impression qu’elle  était au-dessus du malheur.

Et comme elle a connu l’enfer, nul doute, aujourd’hui c’est au paradis qu’elle repose.

Ce sont des images.

 

Cpmme celle d’une chouette toute blanche qui vient se poser sur la

barrière du débarcadère… et disparait dans la nuit.

Chauve-Souris

Alors d’accord, elle est lointaine, je l’ai  soudain aperçue dans ce décor le débarcadère de Bienne.

A priori pas l’endroit où l’on s’attend à en voir.

Au début, j’ai pensé que c’était des hirondelles…

parce que, de jour, il y en a pleins, dans le coin.

Mais ce vol, si rapide, et si étrange, ce vol au radar, est bien typhique.

On le peut pas en douter ensuite, en voyant l’image mais ces petites forme noires,

ce sont bien des chauve-souris.

Très difficiles à photographier quand on a pas l’habitude.

Parce qu’elles volent hyper vite et sans logique apparente.

En fait je crois que leur GPS intégré leur donne des infos sur les obstacles et elles  évitent… très vite.

La nuit n’arrange rien.

J’ai du mettre le flash et ça les a perturbé.

Mon réglage aussi paniquait, cherchant à s’adapter.

Au final, en agrandissant l’image , j’arrive à ce résultat, pas vraiment satisfaisant, mais pour moi, c’est déjà une petite victoire

Nos superpouvoirs

On le le sait pas, ou on l’oublie, mais on à tous le pouvoir de changer la vie des autres, si on le veut bien.

Et même si on ne le veut pas d’ailleurs.

On fait ça. la plupart du temps sans même sans rendre compte.

Il y a juste une règle, une seule : être sincère.

Sincérité, honnêteté, authenticité , on appelle ça comme on veut, pour vu que ça soit juste, la vérité.

Quelle vérité ?

La sienne , dans l’instant.

Enfin bref.  avec nos mots, si on les pense vraiment, on peut changer le cours d’une vie.

Avec nos attitudes aussi.

Oh, ça peut être une simple amélioration d’après-midi… une meilleure journée.

Mais le sourire qu’on affichera sans s’en soucier en croisant, je ne sais qui, l’atteindra peut-être.

Rien n’est plus contagieux qu’une attitude.

La connerie aussi est contagieuse.

Extrêmement.

B9on, là aussi on fait rarement exprès.

Mais curieusement, on s’en rends souvent compte.

Si ce n’est pas dans nos habitudes, alors ce sentiment de dégout qui nous prends après coup, nous renseigne sur le fait :

on a été con, voir très con.

A éviter… tant qu’on peut.

Je dis on.. mais en fait je devrais dire « je »..

Après tout, tout le monde n’est pas forcément comme moi.

Ce qui fait Bienne

Ce sont ces images, ces oeuvres disséminées, comme celle-ci, que tout biennois qui se respecte devrait avoir vu au moins une fois…. et qui se situe ..?

C’est un petit concours avec rien a gagner, juste pour le fun et pour faire connaitre mon blog . Mettez votre résultat dans les commentaires du blog, si vous voulez bien.

Ici c’est Bien à Bienne… pour combien de temps ?

Écrire face à son ordinateur, poster… et être surprise, au détour d’une rue, ou par un joli message… de quelqu’un qui me lit et qui apprécie ce que je fais.

Ca me motive alors.

Ca me remotive aussi.

J’avais besoin de déménager.

D’avoir plus de possibilités de créativité

Une plate-forme qui fonctionne bien.

Et une page à mon nom.

Ce blog, cadeau de Mister G, qui l’a rafraichi pour l’occasion, porte mon nom.

Parce que j’en suis fière.

Fière d’être biennoise ? aussi.

Mais pas de cette élite, qui se donne rendez-vous place Walser, qui fait semblant que ça concerne tout le monde, mais n’entrent dans la tente que les invités…

Mais ce grand projet  qui s’annonce … sur le territoire de MA MAISON,… et de toutes les autres qui seront détruites pour y installer.. je ne sais quoi au juste…

Une Université ? de nouveaux espaces de loisirs pour les biennois ?

J’ai réussi à entrer dans la tente, mais personne pour me renseigner vraiment.

Que ferons nous, habitant du quartier, expulsés comme des brésiliens avant le Mondiale.. parce qu’on gêne, nous et nos vieilles baraques…

Mais je l »aime ma vieille baraque !

Je n’ai pas du tout envie de partir.

A moins qu’on me propose un équivalent… (ahaha on peut bien plaisanter).

L’Avenir est ce qu’on en fait….

 

Perfectionniste et contraditoire

Moi je ne le suis pas tant que ça.

En fait , la perfection m’ennuie.

Elle n’a aucun espoir de changement.

Un côpté immuable qui fait penser à la mort.

La beauté qui me touche réside dans les fêlures.

Les rides en formes de rayons de soleil autour des yeux.

Les vergetures , aussi en forme de soleil (j’adore le soleil) sur le ventre.

Je trouve ça magnifique.

D’autres combattent ce genre de marques…

Moi, je les aime.

Les cicatrices… c’est si sexy une ballafre sur une joue d’homme…

Mes chats sont plutôt sveltes, mais quand j’en vois un bien gras, je craque…

J’aime les défauts.

Un petite bosse qui donne du caractère au nez.

Des épaules de femmes un peu carrées.

Un viasge d’homme  qui tire sur le féminin.

J’aime quand les choses ne sont pas si définies.

Ca leur donne de la liberté. du mystère. la possibilité d’être autre chose que ce que l’on voudrait qu’elles fussent… à la base-

J’ai failli m’étrangler cependant, en attendant ma chère idole, Sarah Bernhardt, déclamer avec emphase, sur un enregistrement d’époque ..

D’époque, justement… en 1900, la tragédie se déclamait.. avec emphase.. et c’est tellement ridicule, qu’il me faut tout e l’affection , toute l’admiration pour la femme si moderne qu’elle était pour ne pas la rejeter totalement.

Ca et là, un mot claque.

Rendant la chose moins détestable.

Les tremblements dans la voix , moins ridicules…

J’imagine les geste, une main sur le coeur, et l’autre tendue vers le public…

Ò, ma chère âme si généreuse, qui soignait les blessés pendant la guerre, qui détestait la peine de mort,  chérissait son fils  tout en entretenant des liaisons avec qui lui plaisait.. perpétuelle révoltée, première étonnée de l’admiration qu’on lui portait.

Ses funérailles nationales, suivies par des milliers de personnes…

La divine…

Comment pouvait tu déclamer de la sorte ?

Youtube te trahit cruellement.

J’aurais préféré, moi qui voulait tant comprendre cette magie de ta voix, ne l’avoir jamais entendu.

Mon tout nouveau blog

Pour la dernière fois, je vais utiliser cette image.

C’était celle de l’ancien blog.

Une image bien sage.

Sage… comme une image.

Ce merveilleux nouveau blog tout neuf,  est un cadeau d’une personne remarquablement douée dans son domaine.

Je lui en suis reconnaissante.

Je me rends compte comme il est important de prendre soin de cet outil, le blog.

Voilà pourquoi j’ai déménagé de l’ancien, qui était pesant  dans sa présentation et peu fiable dans son utilisation.

Vous ne serez plus dérangé par ces publicités  non souhaitée.

La version pour natel sera magnifique.

J’ai hâte !

Et je n’ai qu’un mot, mais c’est le plus important : MERCI !!

Lettre ouverte aux atterrés

LIBERTE lettre ouverte aux atterrés

 

C’est mon blog, j’écris ce que je veux.

Des petites choses qui n’ont pas d’importance.

Parfois, comme ce soir, je suis très fatiguée, mais j’écris quand même.

Parce que les mots servent, parfois aussi, ils peuvent aider, mettre du baume sur des plaies ouvertes, réconforter et redonner espoir.

Je vais essayer, pour quelqu’un en particulier, même si je parlerai en général.

Pour respecter son identité.

Ce message s’adresse à ceux qui un jour ce sont senti comme des merdes.

C’est violent.

On peut difficielement être plus bas.

Pourtant c’est possible, c’est toujours possible.

C’est la première chose importante que j’ai à dire :

Faites attention, vous croyez être au fond du trou ?

Mais vous êtes loin du compte.

La vie à plus d’imagination que vous.

Tout peut arriver, vous pouvez perdre ce que vous croyez acquis à jamais.

Vos derniers rochers peuvent s’effondrer.

Le feux, l’eau peut ravager tout ces petites  et grandes choses que vous aimez et auquel vous tenez.

Du jour au lendemain vous pouvez vous retrouvez en ne possédant plus que les vêtements que vous avez sur vous..

Vos jambes, vos yeux, tout ce que vous utilisez sans y accorder d’importance peuvent être atteint.

Votre toit, vos animaux, votre intégrité même, tout peut être atteint.

Rappelez vous que nous sommes dans un pays ou n’importe qui peut vous dénoncer pour n’importe quoi.

J’en ai fait l’expérience, plusieurs fois.

J’étais innocente, mais j’ai été accusée, je vous épargne les détails et les cicatrices sont loin d’être fermée.

-Ben dis donc, si c’est tout ce que tu as trouvé pour nous remonter le moral..

Non, ce n’est pas tout, patience  🙂

Donc leçon un : relevez vous. Tout de suite.

Remerciez le Ciel pour tout ce que vous avez encore, famille, animaux, toit, tête…. j’en ai vu qui perdais la tête.

Vous l’avez encore, non ?

Alors mettez vous en face du miroir.

Regardez vous et arrêtez de vous apitoyer sur votre sort, tout de suite.

Pendant qu’il en est encore temps.

Alors, c’est vrai, vous avez été victime, d’injustices.

Vous l’êtes encore si ça se trouve.

Mais ce ne sont que des actions.

Menées par des gens qui un jour n’auront absolument plus d’importance, au point que vous oublierez leurs noms.

Au point que vous vous demanderez même comment vous avez pu les laisser prendre autant

d’importance.

Et ceux qui vous ont blessés au point que jamais vous ne pourrez pardonner, ceux là, paieront, croyez moi.

Tout ce que je dis, je le sait, je l’ai vécu et je l’ai vu.

-Mais qui est-tu toi ,pour donner des leçons auxautres ?

Je suis quelqu’un qui , un jour aussi s’est auto-traitée de merde.

Quelqu’un qui a subit les injustices et les épreuves tant de fois que je ne peux plus les compter.

Qui fut jetée aux lions, piétinées par les éléphants, mordue par les serpents.

Ils ont sali mon nom, fait pression, avec du chantage, odieux, le pire de tous.

J’ai subi la haine, la rancune, au quotidien.

Avec la peur au ventre.

Les entrailles nouées au point d’être pliée en deux par la douleur.

Le dos saccagé.

Mon énergie pompée et repompée.

Jetée à terre tant de fois, et si épuisée, qu’à force, je n’en avais plus de forces, justement.

Au point de ne plus pouvoir me déshabiller avant de me coucher.

On dit parfois d’une personne qu’elle se laisse aller.. mais c’est faux.

La vérité est qu’elle n’a plus de force.

La dépression qui l’envahit la mets dans un gouffre si profonds , un trou si noir et glacé, sans aucun espoir, sans rien de solide auquel se raccrocher.

Même pas le vide..

Parce qu’il faut du courage pour mourir et survivre, même dans cet état est un peu moins difficile.

De outes façons , on à plus rien, croit-on.

Mais c’est faux, on a encore tellement.. sauf qu’on ne peut plus le voir et que tout prends la couleur de cette merde que l’on croit être.

Bob…

Alors quand on est là .. qu’est-ce qu’on fait ???

Comment remonter la pente ?

On aimerait bien qu’il y aie un ascenseur au fond de ce précipice.

On aimerait bien sortir sa tête de l’eau sans qu’on nous l’enfonce encore plus profondément.

La bonne nouvelle c’est qu’on peut.

Je le sais , putain !

Et toi qui me connait, tu sais que c’est vrai.

La vie peut être aussi merveilleuse et pleine de bonnes surprises.

Et là, on en arrive au point 2 : rien n’arrive par hasard, et des pires horreurs peut sortir quelque chose de très positif.

Au point que l’on se rendra compte que l’on devait passer par là pour y accéder.

Parce que tout sert à quelque chose.

Un exemple pratique ?

Quand on a vécu la haine au quotidien, alors, sans s’en rendre compte, on devient beaucoup plus courageux,se.

Dans le même genre, il y a l’indifférence, le mobbing.

Se lever tout les matins pour affronter des journées ou personne ne nous dira un mot sympathique, demande un grand courage.

Je trouve ça admirable même-

Renter ensuite chez soi et s’occuper des siens, après ce genre de journée là demande aussi du courage.

Tant on est rabaissé.

Vidé de sa substance humaine.

On devient une sorte de zombie et à force,, on donne à ces autres qui vous aiment si peu, une grande importance, on leur donne le pouvoir de nous anéantir.

Autre bonne nouvelle ; ce qu’on a donné on peut le reprendre.

Il est temps de récupérer cette importance mal distribuée, et de vous la redonner.

A vous et à vos ami,es que vous ne voyez plus.

—————Je publie déjà mon article mais je n’ai pas fini, je le fais pour ne pas le perdre et à cet heure peu de gens liront, mais si vous en êtes là, sachez que je n’ai pas terminé–

———

Leçon 3, un pas après l’autre.

Vos amies justement.

Quand on se sent comme une merde, on a pas envie d’emmerder les autres.

On se replie, on s’enfonce, on se recroqueville en position foetale, et on voudrais n’être jamais née.

Mais, bordel !! les amis, ç’est quoi ?

Des personnes qui ont aussi des problèmes d’accord, mais avant tout ce sont des gens qui vous aiment !!!!!

Capich ?

Et là on en arrive à la SOLUTION, le moteur de tout  : L’AMOUR.

C’est l’aAmour qui vous sauvera.

Le même que celui que vous donnent vos animaux quand ils sentent que vous allez mal.

l’AMOUR est benzine et moteur à la fois.

Il faut le prendre,il faut le rechercher goutte après goutte pour remplir votre réservoir.

Un peu par ci, beaucoup par là.

L ‘ AMOUR

Oubliez vengeance et rancune, ça ne fera que vous détruire.

Prenez plutôt  un café avec une copine!!

Alors c’est clair, dans ces moments là, on est très sensibles, déjà qu’on l’est de toutes ffaçons.

Mais cette sensibilité est une grande force : elle vous permet de détecter qui est ou n’est pas sincére.

De pressentir les choses.

C’est un peut comme si vous aviez le don de prévoir ce qui peut se passer.

A condition de ne pas se laisser polluer par cette négativité que vous avez emmagasiné.

Vidangez vous.

Comment ?

En remplaçant toutes vos pensées mauvaises par des bonnes.

Exemple patique : quand une personne me déçoit, alors je mets toutes mes pensées sur une autre qui m’a fait plaisir.

Et ça passe !!!

Vraiment.

LÂmour gagne toujours.

On vous a fait du mal ? faites du bien et vous guérirez.

Et la première personne à qui vous devez faire plaisir c’est vous.

Prenez soin de vous, gâtez vous, faites vous plaisir.

Offrez vous cette petite folie dont vous rêvez.

Parce que vous etes importante.

Parce que vous le valez bien.

Vous avez passé cette épreuve.

Vous ne comprenez pas encore pourquoi, mais vous aurez un jour vos réponses.

Je vous le garanti.

Dernier point.

Ayez confiance.

Abandonnez cette peur qui vous paralyse, ces certitudes que rien de bien ne vous attends.

La vie à beaucoup d’imagination , je vous disais au début.

Si elle en a pour le mal, elle en a pour le bien aussi !

Et ça.. je l’ai vu et bien vu.

Tout peut se transformer.

Absolument tout.et tout le monde.

Ne précipitez rien.

I est temps de vous remettre en question sur vos choix, vos décisions.

De tirez une , des le$çons de cette épreuve, afin de ne pas replonger dans les mêmes fautes.

Prenez du temps pour vous, vos proches.

Vous ‘etes digne et capable d’Amour.

IMportant,e.

Atteint,e mais pas malade.

Relvez vous et pasaprès pas, marchez vers ce nouvel avenir .

Et vous verrez qu’il vous sourira.

 

Sweet Alabama

Sweet Alabama

 

Il était une fois, une belle jeune femme, à qui tout réussissait.

Un beau job , u nbeau mari, un bel enfant.

Elle partageait sa vie entre son île, ses amies ses bons petits repas en leurs companie, ses lectures, cinéma, télé.

Shopping-

Elle avait les moyens de se faire plaisir et ne se privait pas.

Elle écrivait aussi, avec style et humour.

C’est ainsi que l’on s’était rencontré, virtuellement, et que notre amitié s’est étoffée au fil des ans et des évênements.

Sweet Alabama, qui n’était pas si douce et qui se prénommait Sonia en vérité.

Lorsque le cancer est arrivé, et qu’il l’a bouffé comme un crabe qu’il est… les failles sont apparues, attirant la vermine, comme la peste attire les rats.

Heureusement, parce que dans la vie, tout va par trois, arriva Clara.

C’est une histoire .

Trois femmes, venues d’horizon différents, et elles-mêmes aussi différentes que l’on peut imaginer avec pourtant cette même révolte contre la bêtise et l’injustice.

Ce m^me besoin d’écrire, et ce compréhension.

Clara, avec son niveau de cullture, bien plus élevé que la moyenne des bloggeuse sur ce site.

Même si elle n’.écrivait pas beaucoup, chaque mot était utile, pesé.

Alabama, qui était passé de la description de son prochain bijoux, à celui de ses symptômes de maladie.

Saleté de cancer…

Et moi, qui ramait tellement et m’accrochait à ce blog comme une bouée de sauvetage.

Il ya de quoi faire un roman, un film même.

Alabama, s’est lassé mourir.

Elle à refusé de se battre.

Elle voulait mourrir comme dans les films.

Romantiquement, sur une plage peut-être, on aurait trouvé son corps et ses longs cheveux bercés par la mer.

Mais la vie n’est pas romantique.

Son crâne rasé lui était insupportable.

Dans l’ombre, le mal guettait sous les traits d’un monstre et ses adeptes, un petit groupe de malveillantes, cachées derrière leur écran et qui l’ont persécuté de la manière la plus abjecte.

Je me rends compte que j’aurais pu mieux faire, j’aurais du en tout cas… mais comment aider quelqu’un lorsque soi-même on va mal?

Heureusement, il y avait Clara.

Grâce à elle, nous étions trois, le chiffre d’or, le mouvement perpétuel, et jamais seules

Nous l’avons soutenu, jusqu’à la fin.

Cette fin qui ressemble à un début.

Clara est redevenu Michelle, la même qui est toujours là pour moi.

Nos vie ont changé.

Michelle qui n’acceptait aucun compliment … quand je lui disait comme je la trouvais forte.

Qui n’avait pas d’animaux… et qui maintenant partage avec moi l’amour des chats.

Mais tellement plus que ça.

Michelle qui connaissait déjà la tragédie.. qui m’a ouvert les yeux sur la véritable importance

des choses.

Sans le faire exprès, mais c’est un fait.

Elle l’a fait.

Elle m’impressionne tellement, humble alors qu’elle pourrait se la pêter :), et me soutenant toujours, capable de synthétiser de trois mots, mes bla-blas de 10 pages.

Capable de me comprendre.

Et j’en ai tellement besoin.

Michelle, qui aurait cru que e qui n’était qu’un hobby tiendrait tellement de place dans sa vie?

Elle crée des modèles qui sont copiés, vendus même, sans que ça lui rapporte un centime.

En mémoire de notre chère Alabama, elle a réalisé une petite merveille.

C’est encore une histoire dans l’histoire.

Parce qu’elle est riche, notre histoire!

Michelle, c’est comme une grande soeur, presque une mère sur qui je peux compter en tout temps.

Michelle, c’est le contraire de l’indifférence.

Quelque soit son âge, sa capacité de révolte est intacte.

Elle s’adapte, pas résignée, simplement consciente.

Nous avons tellement transformé nos vies.

Mais dans le fonds, nous sommes toujours les mêmes.

Dans mon salon, la photo de Sonia me regarde, les bras croisés, elle veille sur moi.

Je pense à elle, je pense à Michelle…

Je ne sas pas si on se verra un jour, pour de vrai.

Je crois que je devrai déjà écrire ce livre, et raconter tout.

Parce que c’est une belle histoire, notre histoire.

 

le Tribunal des kilos

LIBEREE (le Tribunal des kilos)

Il ya toujours au moins deux façons de dire les choses.

Ca tombe bien, ça me vient tout seul.

; je laisse mes doigts courir sur les claviers et j’écris ce que me dicte ma pensée.

Je vais vous parler de libération, par la photo, par l’exposition.

Venir chez moi, se déshabiller , se laisser photographier et :

constater, à quel point ça fait du bien, d’avoir osé.

Et qu’en plus les photos sont jolies,

Voir sublimes.

Kilos ou pas kilos.

J’ai testé moi-même et franchement, je ne me suis pas adoré sur toutes les photos, et curieusement c’étaient justement celles que ma photographe préférait…

Allez comprendre.

Mais dans le fonds, c’est plus le chemin qui compte.

Faire cette démarche et constater que le ciel ne vous tombe pas sur la tête.

Que personne ne vous jette des pierres.

Que vos photos ne seront pas salies par des commentaires indécents non plus.

Mais saluées par les félicitations d’autres femmes qui adhérent à votre démarche.

-Tu peux parler, toi qui pèse 14 grammes et demi !

C’est vrai, et justement, c’est mon problème, pensais-je.

Je suis trop maigre, et c’est moche.

Mais on peut toujours faire des photos qui avantagent une personne , quel que soit ses kilos ou pas kilos.

Comme pour un i-phone ou pas i-phone.

Qu’importe le numero, pourvu que ça marche.

Alors, il ne faut pas confondre, même si on les appelle parfois *sexy* ce n’est pas le but de ces photos, d’être un appel au sexe, ni à quoi que ce soit d’autre.

C’est simplement une libération.

Comme sauter à l’élastique.

Prendre un risque calculé qui au final vous sera bénéfique.

Parce que vous avez peur, mais de qui, de quoi ?

Le fameux regard des autres  vous est donc si important ?

Ou est-il ce tribunal de la beauté ?

Trop ceci, pas assez cela, mais STOP!

On s’en tape !

Tellement !!

Ce sont nos corps, temple de nos âmes, et personne n’a le droit de nous dire   à quoi il doit ressembler.