Drôle de Dream

J’ai fait un rêve bizarre la nuit passée.

Tout à coup, mes cheveux avaient repoussés sur la nuque.

Je le sentais au toucher, et je me demandais si je n’avais pas oublié de raser cette partie,

ou  comment c’était possible qu’ils aient repoussés à ce point là.

Ca me dérangeait beaucoup, parce que c’était moche.

Dans les interprétations de rêves, il semblerait que ce soit bon signe.

On va voir.

Garder confiance, tout le temps, ce n’est pas si simple.

Mais ça m’a bien réussi ces derniers temps.

Dans 30 minutes, Sidney va à l’école.

je n’ai pas encore dormi.

Mais comme ça, j’ai pu faire du feu toute la nuit et le salon est bien chaud.

J’en profiterai pour m’acheter des croissants, de Sil, mes préférés.

C’est l’heure, j’y vais.

Cette nuit, il y avait la dernière saison des Américains, sur Canal plus,

Un vrai bijoux cette série.

Place aux vieux

Je suis une grande consommatrice de séries.

Américaines, norvégiennes, anglaises, allemandes mêmes, voir espagnoles.

Ill y en a pour tous et de qualité.

Comme un grand film qui ne s’arrêterait pas.

Les personnages ont le temps d’évoluer et c’est très intéressants.

J’aime beaucoup This is Us, un vrai petit chef-d’oeuvre du genre.

Dans les nouveautés, il y a Pose, la première série entièrement consacrées à la communauté LBGTQ  et jouée par des transexuels.

La servante écarlate, Escape to Dannemora (Patricia Arquett fabuleuse), Vicking ( un peu en baisse mais quand même) etc… et tout un tas de série nordiques, comme Monster, qui sont tout-à-fait excellente.

J’en oublie.

Ce qui est intéressant, dans ces séries, c’est qu’elles donnent du travail à de nombreux acteurs qui n’en trouve plus dans le cinéma..

Acteur, c’est un métier difficile.

Dans le temps, c’était comme ça : tant qu’on était jeune et beau ça marchait, mais les starlettes remplaçaient les stars, dès qu’elles passaient le cap des 30 ans.

Ca n’est plus du tout comme ça maintenant.

On veut des geules. Des gens à qui on peut s’identifier.

Mickael Douglas, Glenn Close, qui ont eu la bonne idée de ne pas trop passer par la case chirurgie, cartonnent .

Nicole Kidmann joue et produit des séries comme Big Little Lies,  qui remporte tout les suffrages.

Breaking Bad est l’exemple même de la série devenue culte, dont le héros n’est ni jeune , ni beau.

La télévision nourri le cinéma qui nourri internet et…

Pour la première fois un film produit par Netflix, Roma, sera présenté à Cannes.

Keanu Reeves s’est trouvé un nouveau rôle, qui plait tellement , qu’il en est à son troisième, et so vieux opain de Matrix, Laurene fiscburn, est tout content de jouer avec lui.

Pourquoi ça m’intéresse tellement, parce que c’est ce que je veux faire.

 

Concentration

Je suis naturellement distraite.

Avec la mémoire à court terme bugguante.

A long terme excellente.

C’est déjà ça.

C’est ce que je dois bosser en 2019.

Concentration et discipline.

Pare que je veux avancer.

Parce que j’ai beaucoup de travail.Mais vraiment beaucoup.

Pas trop d’argent par contre.

J’ai investi pour les prochains marchés que j’ai l’intention de faire.

Payé ma facture de dentiste et le fuel du chauffage.

Plus l’électricité qui coute un bras.. ou deux plutôt.

Heureusement que j’ai fait  le marché de Noêl.

Je crois que tout le monde est dans mon cas.

Janvier est un mois compliqué.

Malgré tout, ça va déjà mieux que l’année passée.

Et ça c’est vraiment un bonne nouvelle !

Mon travail sur Bienne

Je n’aime pas les critiques…

Je suis très susceptible, ce qui peut poser un problème quand on partage son boulot avec tout le monde.

Après, j’ai fini par comprendre que tout n’est pas forcément négatif.

Et puis, chacun ses goûts, on ne peut pas plaire à tout le monde.

Ca c’est bon, je m’y suis fait.

Il y a aussi les réflexions du genre :

-Tu devrais photographier ça, ou ça .

Il y a souvent de bonnes idées.

Pourtant, si vous connaissez un peu mon travail vous remarquerez deux choses.

La première, c’est que je photographie toujours les mêmes sujets.

Le lac, les cygnes, les mouettes,   les arbres en particulier et la nature en général qui est partout dans notre ville.

Non seulement je photographie toujours les mêmes choses, mais  aussi de la même façon.

Pratiquement les mêmes plans.

Je possède des dizaines de cartes mémoires remplies à ras bord  de vues de Bienne et son lac.

Des milliers de photo qui constituent un travail qui  n’est qu’à ses débuts.

Si je prends toujours les mêmes plans, c’est en apparence seulement.

Je pourrais revenir  toutes les heures, dans la même journée, me mettre exactement au même endroit ,

je n’aurais pas deux photos pareilles.

Le vent, la lumière, les gens qui passent, les modifications petites ou grandes changerait chaque cliché.

Alors, au fil des mois, au fil des années, des arbres disparaissent.

Des maisons disparaissent.

Le paysage et la ville changent.

Mes photos en sont témoins.

Ce qui me permettra au bout d’un certain temps de faire un travail de mémoire sur notre ville.

L’avantage des photos sur les films, c’est qu’elles présentent les choses à l’arrêt.

Et croyez-moi, pour les êtres humains ça fait une grande différence.

J’ai fait une photo que j’aime beaucoup, j’espère qu’elle plaira à celle qu’elle concerne.

J’aimerais encore dire un truc important au sujet de mes shootings :

Une fois le travail fait, les gens sont presque toujours très pressés de voir leur photos.

Ca commence le jour même.

Alors, pou leur faire plaisir, j’en sors déjà une.

Mais sinon, il est essentiel que je puisse prendre mon temps.

Déjà pour trier.

Repérer celle qui fait la différence.

La recadrer éventuellement, la travailler pour la mettre en valeur.

Ca prends du temps et ça demande de la bonne énergie.

C’est la condition pour un travail de qualité.

J’aime bien qu’on me laisse le temps.

Déjà que je ne demande pas cher :).

Mais je comprends l’impatience des gens, elle me fait plaisir,

dans un sens.

Après, c’est leur intérêt de me laisser bosser en prenant mon temps.

Vous voyez le photo ci-dessus ?

Y’a un cycliste dans l’image, mais il est passé si vite qu’on ne le voit presque pas pas…

Et sur la photo du dessous, on voit que l’arbre du milieu a perdu sa grande branche qui servait à se balancer dans l’eau.

Heureusement je l’ai photographié tant de fois cette branche.

Avec sa forme particulière.

 

Fluide

C’est le mot , cette année , on va l’entendre beaucoup.

Quand les choses sont fluides, on sait que c’est bon signe.

J’arrive à la Coop avec Colette.

Deb est là, ça me fait trop plaisir qu’elle profite de mon plan pour faire plaisir à ses enfants.

Je découvre un rac plein de perles, que personne n’a encore vu.

Et d’autres trésor.

Je sais que tout ce matériel va me permettre de faire des merveilles, d’être créative, de m’éclater dans une activité que j’aime.

Mais aussi d’investir pour mon futur.

Se diversifier c’est essentiel quand on est créatif, pour ne pas tourner en rond.

C’est samedi.

Colette est resté chez moi, m’a aidé à trier tout ça, et on parle association.

Je retrouve cet esprit du marché de Noêl.

Avec Colette, on s’est soutenu chaque jour pendant trois semaines et on a bien travaillé.

Du coup, on va persévérer dans cette voie.

Shooting avec Mélanie

2013… presque 6 ans déjà, je rencontrais Mélanie pour la première fois.

Notre amitié date de là.

C’est le genre de fille qu’on aime tout-de -suite.

Energique et franche.

Toujours souriante.

J’ai fait beaucoup de shooting depuis, et ils sont tous différents.

Avec Mélie, ce qui est génial, c’est qu’elle me donne une confiance totale.

Ca se voit.. sur les photos.

J’ai souvent essayé d’analyser pourquoi c’est si facile, pour moi de photographier Mél.

La confiance, certes, mais c’est plus que ça.

 

La qualité de sa peau, si lumineuse, la noblesse des traits…

6 ans plus tard, la même magie se reproduit.

Un ptit mot

avant d’aller dormir.

Je n’ai pas encore vraiment récupéré, donc, je serai brève.

Depuis que j’ai discuté avec des gens qui me lisent, je suis remotivée à bloc pour écrire tout les jours.

Par contre, il fait froid, dans mon appart, et je suis fatiguée.

Deux bonnes raisons pour aller me glisser sous mon duvet de plumes bien chaud, et trois couverture de laine par-dessus pour contenir la chaleur.

J’y resterais bien toutes ma vie.

Je reprends du plaisir à m’habiller, avec ma nouvelle coupe.

Je vais faire du tri dans mes habits, j’en ai bien trop que je ne mets pas.

Et dans quelques heures Mélie viens pour son shooting.

En fait, je me rends compte ue je ne suis pas si fatiguée que ça.

Mais quand le feu, qu’il faut entretenir s’éteint, il fait vite froid.

Et le froid endort.

Dans ma cuisine, il fait plus froid que dans le frigo.

Le problème c’est que chauffer un vieil appart comme celui-ci coute une fortune.

Mais bon, chaque année notre situation s’améliore, alors au lieu de dire qu’il fait froid dans ma salle de bain, je dirais plutôt u’il fait bon chaud près du feux.

Et que le petit radiateur électrique suffit à chauffer ma chambre.

J’aime mon époque, je n’aurais pas du tout aimé vivre à une autre époque.

Parce que je ne supporte pas d’être rabaissée, ni de voir quelqu’un l’être.

Bien sûr, ça existe toujours, mais toutes ces batailles menées par et pour les femmes, et toutes les autres injustices ont déjà été bien menées.

Je vais me coucher.. si je m’embarque sur le sujet…

 

Bien rasée pour commencer l’année

Voilà, c’est fait.

Je me sens bien mieux.

Après un mois à travailler nuit et jour pour le marché de Noêl, j’avais mis mon apparence un peu de côté.

Il faut choisir entre avoir froid et être élégante, ou bien chaud et ressembler à une réfugiée polonaise.

J’évitais le miroir depuis uelues temps.

A la maison je m’habille plus léger, mais mes cheveux ne ressemblaient à rien.

Mais vraiment à rien.

Du coup, moi non plus je ne ressemblait à rien.

Maintenant que j’ai tout rasé, je me retrouve.

C’est fou comme les cheveux vous donne une identité différente.

Sans, il n’y a plus que le visage et la forme du crâne.

Heureusement pour moi, la mienne est bien.

Quand au visage, il n’est ni bien, ni mal, simplement le mien

J’espère qu’il fera beau aujourd’hui.

Quand c’est l’hiver  et que le temps se réchauffe, les couchers de soleil rougeoient comme jamais.

Je me sens revivre.

Mon capuchon tient bien sur ma tête, effet scratch.

Il est presque 9h, je vais aller me coucher.

Une nouvelle année commence.

Beaucoup de travail m’attends.

et c’est tant mieux !!!

J’aurais aimé me reposer pendant trois jours…

Mais j’ai déjà un shooting demain.

Dormir sans arrêt.

Dormir et encore dormir.

Comme une marmotte qui hiberne.

D’abord manger des tas de choses bien grasses pour tenir le coup et e réveiller toute légère au printemps.

Mais bon,

Entre Prisca à promener, les chats à nourrir…

J’ai des projets pour 2019.

Déjà il me faut gagner de quoi m’acheter un meilleur appareil photo.

Après, j’ai l’intention de faire des séries de cartes.

On m’a demandé pourquoi je ne mettais ni mon nom ni le nom du lieu sur la photo.

C’est bien simple.

Quand j’aimais une image et que je voulais l’afficher sur mon mur, c’est la première chose que je faisais : découper les inscription.

Et du coup, manque un bout d’image.

C’est dommage.

Bon je vais dormir.

Mais juste avant je vous dis un truc :

N’ayez pas peur de changer, si vous en rêvez.

La joie de vivre vient de là.

 

Passage en doucuer

Après le froid, la douceur est revenu aujourd’hui.

ca fait du bien.

Et ,enfin, la paix est revenu dans ma chaumière.

Plus que jamais, je me rends compte de l’importance de la famille.

Quand une famille va bien, que ses membres prennent soin les uns des autres, alors,  on peut s’épanouir, avec nos personnalités respectives.

Dans notre famille, nous sommes tous très différents, et c’est tant mieux.

Aujourd’hui, donc, il faisait plus doux et le coucher de soleil plus beau que jamais  m’a permis de faire une jolie série de photos.

Je sus hyper-motivée pour mon blog aussi.

Depuis que j’ai rencontré de nouvelles lectrices.

J’ai aussi des lecteurs.

Si, si.

J’aimerais bien sûr souhaiter à tout le monde une belle et heureuse nouvelle année.

Et vous remercier pour votre compréhension vis-à-vis de mes fautes d’étourderie, comme on disait à mon époque.

La semaine commence et j’ai déjà deux shootings qui arrivent.

C’est fomidable.

Un avec Mélanie  Anken, que j’adore.et l’autre avec Colette que j’aime aussi beaucoup.

Ca va être l’année des shootings, j’en ai beaucoup en préparation.

Je suis sereine.

J’ai progressé.

J’ai hâte de voir ce que ça va donner.

Mélanie est un modèle absolument hors du commun.

On a beaucoup travaillé ensemble.

Elle me fait confiance et c’est beau.

Elle a changé.

En bien encore.

Je la trouve plus mure, apaisée.

Elle à des yeux fantastique.

D’un vert unique

La petite princesse du hockey.

Après ça, j’a encore 6 shootings programmés.

Je sais que j’ai de la chance.

Beaucoup de chance,

Je sais ce que ça va m’attirer.

Je suis contente en tout cas, parce que  tout ça me prouve que

j’étais sur la bonne voie, quand je me suis fourvoyée.

J’ai pourtant failli refaire la même faute.

Parce qu’on est comme ça, nous les humains, on tourne en boucle.

On ne peut pas s’empêcher d’être tenté.

J’aimerais encore dire uelue chose à propos des shootings.

Je trouve de la beauté partout.

Il ne faut pas vous inquiétez si vous vous trouvez trop grosse, trop vieille, ou que vous détestez vos jambes.

Les boutons, la cellulite,  quoi que ce soit de plus ou moins voyant, de plus ou moins complexant, n’est absolument pas un problème pour moi.

Autre chose, on est en 2019 maintenant, faire un shooting est devenu plus fréquent,, même si je reconnais q’il faut du courage pour affronter  un objectif.

Bon je vais me coucher, il est presque 9h et il me faut mes 4 heures de sommeil

i

 

Encore un rêve réalisé

L’année s’achève et avec elle, de nouveaux rêves commencent.

Le dernier.. il est un peu, comment dire…

Et puis zut ! je fais les rêves que je veux.

Je vous explique :

Ce que je veux, moi, c’est faire mentir la phrase

« Nul n’est prophète dans son pays ».

Mais quelle horreur cette phrase !

C’est exactement le genre de phrase qui me fait bondir.

Nul n’est prophète dans son pays ; traduction :

Tu ne peux pas réussir chez toi.

Genre, c’est pas possible, c’est pas permis, ça ne se peut absolument pas.

Comme une sorte de règle épouvantable, décidée par je ne sais pas qui,

il y a longtemps apparemment.

Tu ne sais pas pourquoi, mais c’est comme ça.

Et qu’est-ce qui va se passer si on essaie de l’être ?

Le ciel va nous tomber sur la tête ?

On va se faire enfermer ?

Allez, 10 ans de prison pour Catherine B.

Pourquoi ?

Pour cause de tentative de prophètisage dans sa ville natale.

Nul n’est prophète dans son putain de pays.

Point.

Ben non.

Moi j’ai envie d’être prophète dans mon pays.

Alors, non, je ne vais pas le faire à la Nicholas…

je ne veux convertir personne, tant pis si on n’est pas d’accord avec moi.

Si on n’aime pas ce que je fais.

Non, je veux être prophète dans mon pays, dans ma ville déjà. Bienne,

dans le sens large du terme :

en réussissant ici.

En me faisant reconnaître et aimée par les gens de ma ville.

Et pour moi, un des signes qui me montre que je suis sur le bon chemin, c’est

 

que le Biel-Bienne parle de moi.

Logique.

J’avais déjà eu un magnifique article de Thierry.

Et c’est drôle, mais c’est un autre article, d’Isabelle ,

cette fois, qui m’a fait autant plaisir, et portant,  il n’y a qu’une phrase ou deux qui parle de moi.

Mais cette phrase là, ces 6 mots m’ont fait un bien fou.

Tout occupée que j’étais par le marché de noêl, je n’avais pas le temps de lire le journal.

C’est ma mère qi l’a vu, par hasard.

Je  l’imagine lisant et tombant sur ces mots :

La photographe et blogueuse Catherine Bergeon.

Sa fille, reconnue dans le journal .

Professionnellement reconnue.

Je sais que ça lui a fait un immense plaisir, parce qu’elle me l’a répété au moins dix fois : la photographe et blogueuse.

Si il y avait eu seulement Catheine Bergeon, ça n’aurait pas fait le même effet.

Ma petite  maman qui m’aime tellement, qui m’a tant soutenue pour que je puisse faire ce que j’aime dans la vie.

Que mon travail acharné soit reconnu dans le journal… pour quelqu’un de sa génération, le journal est plus important que la télé.

Si c’est écrit dans le journal, c’est que c’est vrai.

Même si ça fait des années que je suis photographe et blogueuse,

que Biel-Biienne le dise, ç’est comme si j’avais reçu un diplôme pour ça.

Et en plus, tout le monde peut le lire et savoir que la fille de Paulette est photographe et blogeuse… et que Biel-Bienne lui demande son avis.

La consécration.

Je la comprends ma petite maman, je la comprends tellement.

Enfin.

Enfin on parle de moi pour autre chose que les injustices que j’ai subi, ou les malheurs qui m’arrivent.

Ma chère Isabelle, j’en suis sure, ne se doutait pas qu’elle illuminerait autant les vieux jours de ma mère.

Ni que ça me ferait tant plalsir.

Son article parle d’un site auquel je participe,  comme d’autres, et qui sert à promouvoir la ville.

Elle à fait son travail de Journaliste, Isabelle, très bien comme d’habitude, et le fait que nous soyons amies dans la vie n’a rien à voir là-dedans.

D’ailleurs c’est dans le cadre de mes activités que je l’ai rencontré,

et ça a collé tout de suite.

D’ailleurs, si je fais le bilan de cette année 2018, la rencontre avec Isabelle en fut un événement marquant.

Pas parce qu’elle est journaliste,

Mais par ce qu’elle est , tout simplement.

J’ai fait  une partie des photos pour son  site.

Et je l’ai vu passer du concept à la réalité  avec son podcast

Graine 2 Curieuse.. J’ai mis son adresse dans mes  liens amis.

C’est beau de voir grandir un projet, de le voir accéder au succès.

J’ai toujours pleins d’idées, j’aimerais faire un tas de choses,

Cette année, j’ai appris à me reconcentrer sur mon travail.

Je vais me coucher, je suis fatiguée.

J’aimerais encore dire qu’on nous rabat les oreilles avec des conseils pour

nus aider à ne plus nous préoccuper de l’avis des autres.

L’avis de ma mère est important pour moi.

Et je n’aimerais pas que ça change.

Elle est formidable ma petite maman.

Elle est capable de bien de choses.

De tant de choses.

Et moi aussi, j’en suis ffière.