Pluie sur la ville

Il pleut fort, depuis quelques jours.

Spécialement aujourd’hui.

Sans tempête pour l’instant, heureusement.

Je n’ai pas encore de chauffage, mais je sens la différence avec les autres années.

Les fenêtres réparées, les voisins qui ont de nouvelles installations.

Tout ça réchauffe la maison, et chez moi, par extension.

Je travaille, le plus possible , pour être prête pour le marché de Noêl.

J’espère que je vais bientôt recevoir mes présentoirs à bijoux.

Je cherche toujours un présentoir à carte.

J’ai peut-être une piste, j’irai voir.

Et Aurore va m’aider sur le stand.

Ca c’est la meilleure nouvelle.

C’est bon de pouvoir compter sur ses amies.

Parce qu’il est clair qu’il me faudra dormir le matin, si je veux tenir .

Bon, là il est 4h, il est temps d’y aller.

Je dois garder confiance.

En moi, en les autres, en mon travail.

Et le moral ?

Aussi.

 

Maman

Maman… si il y a bien un mot qui nous concerne absolument tous, c’est celui-là.

Bien sûr, on n’est pas tous maman, mais , forcément, on vient tous de là… du ventre d’une maman.

Ceci dit… logiquement , les mamans devraient êtres considérés comme les personnes les plus importantes  au monde ,non ?

On devrait les vénérer pour ce qu’elles font à la base, porter la vie, donner naissance à de nouveaux êtres humains.

Perpétuer la Vie.

Et le plus souvent, elles s’occupent de cette vie, ce qui croyez-moi est loin d’être facile.

Mais j’y reviendrai.

Ce que je veux dire, c’est ma constatation :

les mères sont les personnes  qui portent, dès la naissance, la responsabilité du monde.

Quoi qu’elles décident , par la suite, elle vont toutes leur vie subir la pression sociale qu’on applique aux mères.

Pression qui diffère suivant les lieux d’origine et d’existence, mais pression de toutes façons.

Mère tu sera, mère tu est, mère tu restera, toute ta vie.

T’as voulu des enfants ? tu dois t’en occuper.

Et bien, s’il te plait.

Sinon tu sera jugée, culpabilisée, voir dénoncée et punie.

Qui qu’il se passe sera ta faute, ta responsabilité. Soyons vraiment juste, ce sera surtout  difficile..

Ca ne t’empêchera pas d’aimer tes enfants.

A se demander, même, si cette difficulté ne renforcerait pas ton amour, d’une manière curieuse.

Puis que tu leur en voudra de t’enfaire autant baver… et que tu serais capable de mourir pour eux quand même.

Et gare à toi, si ce n’est pas le cas !

Il n’y a qu’à voir comment les gens crachent leur haine sur les réseaux sociaux, sur celles qui ont le malheur de faillir à la tâche suprême.

Alors tu développera des pouvoirs nouveaux,

des capacités étonnantes :

tu sera capable de les entendre hurler , juste à côté de toi.

Et ça ne te fera plus rien.

En apparence bien sûr.

Quelque chose c’est déjà cassé dans ton cerveau, dans la partie qui contrôle la résistance aux hurlements.

Je me souviens encore du jour o`ça m’est arrivé.

Tout ça pour dire :

Etre mère, de naissance ou d’adoption,

devrait être,

je ne sais pas,

devrait être

mieux valorisé.

 

Ma fortune

Je suis extrêmement riche.

En copines.

Pas que j’en aie spécialement beaucoup,

par contre, celles que j’ai la grande chance d’avoir dans ma vie,

sont absolument fabuleuses.

Je l’ai déjà dit ?

C’est vrai.

Mais entre temps, j’en ai connu d’autres, j’ai découvert d’autres histoires,

j’ai pu voir leurs progrès, les difficultés, leurs batailles.

Je ne dirai pas comment elles s’appellent, parce qu’elles sont toutes importantes, et elles le savent.

Elles on vécu des choses incroyables, qui aurait traumatisé bien des hommes.

Mais pas elles.

Elles avançnt, et lorsqu’elles trouvent la force de s’amuser, il en est encore pour mettre en doute la difficulté de leurs existence.

Mais pas moi.

Parce que je connais leurs histoires.

J’aimerais tellement les raconter, tant elles sont exemplaires.

Ce sont des histoires d’amour, des histoires de vie, des histoire de courage ordinaire ou extraordinaire.

Ce sont des femmes exemplaires à tout les niveaux, avec des valeurs.

Et si elles ont fait des erreurs, alors, elles mettent tout en oeuvre pour les réparer.

Les plus héroïques sont les plus discrètes.

Inconsciente de la beauté que celà leur confère.

Je les admire tellement.

J’aimerais être à la hauteur de leur affection.

Je les aime tellement.

J’aimerais être parfaite, pour ne jamais les décevoirs.

Mais je ne le suis pas.

Je suis pleine de défauts et j’en suis bien consciente.

Mais voilà ce que je crois :

Nos différences , nos failles, nos défauts même font partie de nous, intégralement.

En amitié on ne rejette pas quelqu’un parce qu’il n’a pas les mêmes idées,

parce qu’il à fait des erreurs.

Bien sûr certaines sont plus dur à avaler que d’autres.

 

L’amitié est une forme d’amour complexe et merveilleuse.

Elle ne possède pas.

Elle partage.

Elle accepte, même si elle ne cautionne pas.

Elle est contadictoire, manque d’objectivité même, parfois.

Et si elle blesse, ce n’est jamais exprès.

Elle s’explique, elle s’excuse, elle renforce.

Merci mes amies, pour cette force que vous m’apportez <3

 

 

Les Trésors du Marché

Je ne sais pas ce que les gens pensent, en général, des gens qui font le Marché.

Si différents, originaux, souvent, venant de tout les horizons.

Je sais , par contre, ce que je pensais, moi ,avant d’y aller.

Et c’est pas très glorieux…

Quand j’y repense.

Mis à part Pierre, que je connaissais, et que je savais instruit et cultivé,

j’avais tendance à croire que les autres, étaient là, parce qu’ils n’avaient rien trouvé d’autre…

Honte sur moi.

Je vois à quel point je me suis trompé, depuis que , moi aussi je fais partie de ces gens.

D’abord, j’aimerais rappeler, comme c’est dur, de faire le marché.

Rester sous la pluie, comme samedi, pendant des heures, debout, à guetter le client qui ne vient pas.

En fait, ce serait dur, si on était pas une aussi bonne équipe.

Qui se soutient, qui veille les uns sur les autres.

Est-ce que vous appréciez vos collègues de travail, au point de vous réjouir de les revoir?

De leur faire la bise, en arrivant et en repartant ?

De savoir tout, ou presque sur leur vie sentimentale?

Sur leur caractère…

Est-ce que vous les encouragez dans leurs efforts ?

Est-ce que vous compatissez dans leurs peines ?

Nous oui, on fait tout ça, et plus encore.

On se confie nos trésoreries respectives, en toute confiance.

On ne guette pas le nombre de minutes passées aux toilettes,

et lorsque l’un de nous est absent… il nous manque..

Comme je me trompais sur les marchands, en général et en particuliers encore plus.

Entre nous, qui avons le temps de discuter, nous rigolons, mais nous en apprenons beaucoup aussi.

Sir toutes sortes de sujets.

Tenez, samedi passé, il y avait Véro, une nouvelle, sur le stand d’à côté.

Une femme passionnante.

Qui, entre autres, en connait un rayon sur les chiens.

Je sais maintenant pourquoi les chats attaquent mon pain ; pour le levain.

Qui, précision utile, est très bon pour eux….

Oh bien sûr, il y a aussi le crétin de service ,qui trouve drôle de vous faire louper une vente…

Mais nous sommes tous nos propres patrons,

Patron et employé à la fois..

Les gens sont drôles.. ils croient dans le pouvoir des pierres, dans les vibrations cosmiques et tout le tintouins,

mais ils se  ruent dans le stand des bracelets fabriqués à la chaînes.

Fabriqués sans joie , par des employés exploités…

Avec des pierres chargées de leurs émotions, si on est logique…

Après tout c’est leur droit..

Jeureusement, il y a ceux qui reconnaissent la valeur de notre travail, que ce soit le mien, ou les bijoux fabriqués par Leila.

Ca mérite un autre article.

Je vais me coucher, trop fatiguée.

passez la meilleure ds journées.

 

 

avance…

J’ai bien avancé aujourd’hui.

 

J’ai nettoyé mon jardin d’hiver.

Mes noix aussi.

En essayant de les nettoyer  en les brosser

et rebrosser…

Ca ne sert à rien.

Strictement rien.

Le seul moyen de les rendre aussi blanches qu’en magasin, c’est de les tremper dans une solution d’eau de javel.

Et ça , pas question !

bon désolée pour ceux qui aiment la lecture, mais je suis crevée, je m’endors sur mon clavier!   .

Alors bisou et à demain

si on veut  bien.

Un milliard de choses à faire

Voilà, c’est fait… j’ai commandé les présentoirs à bijoux de mes rêves, qui devraient arriver très vite, vu la fortune que j’ai dépensé pour ça en frais d’expédition.

Fortune qui compense le faible coût des présentoirs en question.

J’ai des milliards de choses à faire.

Et pourtant, j’ai passé une bonne partie de la journée à m’occuper de mes noix.

20 kilos de noix.. c’est quelque chose.

D’abord, elles sont entourées par une cosse verte, qui devient rapidement brune et très collante.

A ce moment là, ça s’apelle du brou de noix.

Collante, et coupantes, les noix.. je me suis enfoncé une écharde de coque dans l’ongle…

Ensuite, il faut les mettre à sécher, pour que le brou en question soit plus facile à enlever.

Comme il pleut, je dois le faire à l’intérieur.

Heureusement, j’ai de la place dans mon jardin d’hiver.

Après il faudra encore les brosser.

J’ai essayé de les faire enrobée dans du sucre caramélisé.

C’est bon, mais pas délicieux.

Alors j’ai cherché et trouvé une recette de noix au beurre salé.

A tartiner.

A mettre dans les crêpes pour changer un peu….

Je vais essayer ça demain.

On verra bien ce que ça donne.

Je n’ai plus qu’à trouver le présentoir à carte de mes rêves.

Peut-être qu’en allant demander dans une papeterie, s’ils en ont un vieux qu’ils pourraient me céder pour pas cher…

Tout est possible.

Le tout c’est de demander.

Celui qui ne demande pas ne reçoit pas non plus, non ?

Sauf exception .

J’ai tellement de la chance d’être en bonne santé.

Je dois en profiter, tant que c’est là.

J’ai une grosse pensée pour celles et ceux qui n’ont pas cette chance : comme i la vie n’était déjà pas assez difficile…

Courage !

La roue tourne.

Rattraper le train…

en  marche.

Je saute sur mon cheval, et je galope pour rattraper le train

On dirait que tout ce que j’étais en train de faire : m’habituer à mon i-phone, faire des vidéos, préparer le marché de Noêl , est…

comme un ballon gonflable, qui c’est envolé.

Et que je dois rattraper.

Comme le train.

Comme mes progrès.

Comme mes efforts.

Avec la fatigue, mon cerveau s’est reseter.

Comme un ordinateur.

Et tout est flou.

Empoussiéré.

Alors je cours..

je m’agite dans tout les sens…

Mais courir ne sert à rien… il faut partir à point…

Je n’avais jamais bien compris cette maxime de La Fontaine…

Mais il avait raison Jeannot : partir à point, ça veut dire être prête.

Faire une chose après l’autre, au bon moment.

J’ai des choses à rattraper.

Mon mois n’est pas perdu, j’ai surement appris pendant ce temps.

Mais appris quoi ?

Que la vie à de l’imagination ?

Je le savais déjà.

Qu’on peut compter sur des personnes formidables pour vous aider ?

Ca aussi je le savais déjà, mais j’avoue que ça me pose encore un problème : parce que ce que je voudrais, c’est aider moi-même.

Je vais le faire, j’y arriverai, si j’ai confiance.

Si je continue de croire que la vie est une chaîne.

Pas de celle qui vous emprisonne,

Non, de celle qui vous relie.

Et si on accpete de l’aide, on pourra aider soi-même.

On permet aussi à l’autre d’exprimer ce qu’il est.

La vraie aide, vient de personne désintéressée, qui ont du coeur.

qui savent écouter.

J’ai tellement de chance d’en connaître.

Maintenant, je vais bosser comme une bête.

Parce que j’aime ça, travailler.

J’adore ça , même.

Quand je vais ce qui me plaît.

Et je ne doute pas qu’en continuant, je vais y arriver.

Que peu à peu je pourrai m’acheter ce dont j’ai besoin.

Parce que ma situation de maintenant est très fragile.

La bonne nouvelle, cest que j’ai de quoi me nourrir, mes animaux et moi.

Mais j’ai zéro franc pour investir.

Et pas question, mais alors, vraiment pas question une minute que je retourne aux oeuvres sociales.

Ce serait l’enfer assuré.

Le retour en arrière fatal.

Trouver une organisation qui m’aiderait… perdre mon temps à faire un dossier, à sonner aux portes, sans garantie de succès…

Je ne peux pas me le permettre.

Mon temps est trop précieux.

Non, je vais croire en moi, bosser comme une bête.

Dans la photo, dans les bijoux, et j’y arriverai.

De sur..

Je vais rattraper le train,

sauter assez haut pour récupérer ce ballon qui m’emmènera encore plus haut.

Je peux le faire.

Je suis déjà en train.

J’ai des supers chaussettes pour l’hiver que m’a tricoté Isa.

Et même des guêtres.

J’ai tout ce qu’il faut.

Le marché de Noêl c’est ma chance.

Je ne la laisserai pas passer.

Reset-moi

j’ai appris un truc l’autre jour :

Notre cerveau fait des resets.

Cmme les ordinateurs.

En réalité, c’est plutôt les ordinateurs qui fonctionnent comme nous.

Puisqu’ils sont conçus par des êtres humains.

Quand on arrive dans une pièce et qu’on ne se souvient plus de ce qu’on voulais faire, c’est pour cette raison.

Notre mémoire à emmagasiné trop d’infos et fait de la place.

Mais en retournant oen arrière, on peut s’en souvenir,

comme avec une sauvegarde.

Alors je n’oublie rien,

surtout pas la  la bonté des gens.

Mais la je dois dormir, je vous raconterai ma vie  plus tard.

Paa                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         d

Alpiniste des précipices 2

Quand quelque chose d’imprévu, d’inédit et de bouleversant vous arrive, il y a de quoi flancher.

On à le droit, c’est normal.

Par contre, il faut se relever.

Sans blâmer personne.

Ce serait une perte de temps et d’énergie.

Ce serait injuste aussi, parce qu’on a tous notre lot de misères sur cette terre

S’aplatir les uns les autres est totalement contre-productif..

Je regarde autour de moi.

Que vois-je ?

De bons amis.

De beaux enfants.

Des personnes aimantes.

Plus loin, je vois les aigris,  ils sont bien où ils sont.

Demain c’est le marché et je suis repartie pour un tour.

J’espère qu’il fera beau.

J’ai reçus un mini-lot de mini-perles épatantes.

Je vais faire des nouvelles impressions

et une petite vidéo.

Ca faisait longtemps.

J’ai aussi d’autres projets à concrétiser pour mon stand.

Le boulot me remet sur les rails.

Encore et toujours.

 

Je connais quelqu’un qui…

Qaand j’étais plus jeune, il ne m’arrivait pas grand chose d’ntéressant, du moins c’est ce que je croyais.

Je voulais vivre des aventures.

Etre  Claude du club des 5.

Ou Fantômette.

Sylvie aussi, sauf que l’idée d’être mariée à un Gambier dont il faudrait tenir compte, genre laver ses chaussettes, ne me disait pas trop.

Sinon, elle était top cette Sylvie..

Belle, toujours bien lookée, et les aventures pleuvaient sur elles sans qu’elle n’aie besoin d’aller les chercher.

Alors, je me mettais en quête, j’écoutais, j’observais, je voulais savoir, comment on devient  quelqu’un avec une vie passionnante.

Je lisais des tas de romans biographiques.

De Van Gogh en passant par Camille Claudel, en passant par Rimbaud, Verlaine, Edith Piaf…

 

Même Toulouse Lautrec, dont j’aimais le nom et les dessins, même Victor , le grand Victor Hugo, exilé….

Et qui d’autres ?

Dali.. mais Dali était malin.. il avait une femme qui savait y faire en matière de marketing…

Quand à la fantastique, la merveilleuse et captivante monosourcilléeMagdalena Frida Carmen Kahlo Calderón,

qui a connu l’enfer physique et moral,

je serais presque prête à subir pareil pour avoir son talent,

mais à tout choisir, être amoureuse d’un gros infidèle, ça ne me tente pas des masses.

Dans la vie, les personnes que je rencontrais avaient aussi des choses à raconter, que je m’appropriais, indirectement.
Ce qui donnais , invariablement (oui je sais j’aime trop les adverbes) ceci :
je connais quelqu’un qui….
Mais voilà, connaître quelqu’un ne me rendais pas plus intéressante.
Parce que, dans le fonds, je n’en faisais rien d’autre que
attendre que l’autre aie fini de raconter son histoire pour essayer de l’épater avec la mienne qui ne pouvait être que mieux….
Ayayaya…..
Jeunesse…..
On apprends en voyageant.
Donc, j’ai voyagé.
Chez les Touaregs, j’ai appris à me taire,
à écouter..
mieux
Et là, c’est fou comme ça m’a aidé,
couplé à une bonne thérapie.
La thérapie apprends à poser les bonnes questions.
On raconte une histoire et on essaie d’en tirer une leçon.
On apprends à apprendre.
A trouver du sens dans sa vie, et celles des autres aussi.
Comment ça marche, ou pas.
Aujourd’hui, j’ai rencontré une belle jeune femme que je connais.
Souriante, sereine, épanouie.
Libre.
Mais sans ivresse, sans faux semblants.
Juste libre d’être nfin elle-même,
parce qu’enfin débrarassée d’un mari, pas méchant, mais ,comment dire…
ça la regarde, alors contentons nous d’un « avec qui ça n’allait plus ».
On à papoté.
Et juste avant, j’ai parlé avec une vieille connaissance qui a des soucis avec sa fille.
J’ai essayé de le rassurer, de dire qu’il faisait fausse route en pensant savoir ce qu’elle pensait.
J’aime quand les gens ne se réfugient pas derrière un « oui oui ça va », qui ne veut rien dire .
Toutes les vies sont intéressantes, toutes les expériences valnet la peine d’être partagée, quand c’est adéquat.
On me reproche parfois de ne pas aller voir ce qui se passe sur les pages de mes amis , sur Facebook.
Pourquoi ?
Parce que je ne ferais que ça.
Jen epourrais ni écrire, ni photographier, ni crééer des bijoux ou quoi que ce soit d’autre.
Je nne pourrais plus prendre le temps de rentrer à pieds, depuis l’école de Sidney.
Longer le quai du bas, remonter la rue de la gare en observant ce qui s’y passe.
En inventant des jeux et des chansons, avec elle.
On improvise, on slame…
Et j’adore ça.
Comme j’adore discuter avec vous quand on se rencontre par hasard ,
ou sur mon stand.
Toutes vos, nos hstoires sont des pièces d’un puzzle initiatique..
Toutes les réponses à toutes nos questions.