J’ai une vétérinaire fantastique.
Tout ceux qui me l’ont recommandée le savent bien :
ce qui fait la merveillosité de Florence de Brito,
déjà c’est sa grande compétence.
Ensuite son soucis de ménager autant l’animal que l’humain.
et pour terminer, son exceptionnelle humanité.
Ceux qui pensent que j’exagère ne la connaissent pas.
Florence de Brito est un être à part, comme il en existe 1 sur 1000
de son espèce : une jeune femme dynamique, professionnelle, et emplie de bonté
envers ses semblables et leurs animaux.
Quelqu’un m’a dit : « elle réponds à toutes mes attentes « .
C’est exactement ça.
Ce dont nous avons besoin quand notre animal va mal tient en trois points :
-Qu’on prenne son cas avec sérieux et compétence.
-qu’on fasse le nécessaire pour le soulager, le guérir, ou rendre son départ pour une monde meilleur moins douloureux.
-qu ‘on nous ménage aussi.
Trop souvent on se contente des deux premiers points, ce qui serait déjà bien.
Après tout, nous on n’est pas sensé être malade.
Sauf que si, nos animaux sont comme nos enfants.
Des êtres vivants, proches de nous que l’on aime et qui nous aime.
Leur souffrance est la nôtre
Ca Florence de Brito le sait, et elle en tiens compte.
Le fait qu’elle conjugue compétence et humanité, en résumé, fait d’elle quelqu’un que nous avons plaisir à voir,
même dans de telles circonstances.
Elle nous rassure et c’est tout bénéf pour Pilou, Pim ,Primo, Seety, Nelson, Caotina , Artas et Mystère.
Je dirais encore d’elle que c’est une passionnée par son travail.
Elle m’inspire la reflexion que lorsqu’on peut faire l’activité pour le quelle on est fait, les conséquences positives sont grandes et se répecutent sur tout le monde.
Quelque chose me dit, que même si elle n’avait pas pu faire d’études, elle serait de toutes façons une personne utile à la société.
e me reconnais en elle.
Pas en ce que je suis, mais en ce que j’aimerais être.
On devrait la montrer en exemple dans les écoles !
Je pourrais facilement écrire tout un livre sur elle, tant elle est inspirante, et tant elle aurait à raconter d’intéressant.
Alors bien sûr, elle doit bien avoir quelques défauts ça et là, sinon elle ne serait pas humaine.
Peut-être qu’elle oublie de reboucher le tube de dentifrice …
Enfin bref, merci Renaud et les autres qui me l’ont recommandé
Je ne pensais pas qu’une telle personne existait.
Et bien si.
Des nouvelles de Pim maintenant ; ce bouton peut-être bénin ou pas.
Carcinome, réaction à morsure de tique, verrue etc…
Maintenant, il va falloir le surveiller.
Au pire il faudra l’enlever.
Mais il peut très bien partir tout seul.
Je remercie les gens qui s’en sont inquiété.
C’est là que je remarque encore la bienveillance de mes amis.
En règle générale , une bienveillance que je constate sur les réseaux sociaux.
Une bienveillance qui donne de l’espoir sur notre monde.
Ma question est :
Comment faire pour que cette bienveillance grandisse encore et s’étale?
Pourrait-on donner des cours de bienveillance dans les écoles ?
Bien sur, à la base, les parents sont là pour ça.
Je sais qu’il reste encore trop de souffrances et d’injustice,
qui engendrent la violence.
Des personnes froides, incapables de manifester leurs sentiments.
Cette part sombre qui est en chacun de nous,
Le deuxième côté de la pièce.
La cruauté que l’on retrouve dans la Nature.
Et toujours cet infini mystère sur nos origines , le sens de nos existences,
le but, si il y en a un.
Tout ce que je sais c’est que chaque jour devrait se vivre comme si c’était le seul .
Comme si on était né ce matin et qu’on allait mourir le soir.
Mais est-ce que je prendrais deux heures pour faire le ménage si c’était le cas ?
Qu’est-ce que je ferais,s i c’était mon dernier jour , hein ?
Une grande fête avec tout mes amis ?
Mais eux, il auraient surement d’autres projets ?
Ou plus égoïste, je ferais tout ce qui me fait plaisir ?
Me goinfrer de fondue bourguignonne, avec des tas de desserts.
Par exemple.
Mais non.. un jour ok, mais pas tous.
Ca me rendrait malade.
On ne peut pas vivre chaque jour comme le dernier, talatata.. comme dans la chanson.
Je préfère vivre chaque jour comme si c’était un jour parfait.
Ou je fais ce qui me plait, et même ce qui ne me plait pas, en le faisant bien.
Pour ce sentiment, cette sensation si agréable que ça procure, d’être en paix avec soi-même.
De m’apporter et d’apporter au monde ce que je sais faire.
Et le plus important là-dedans ,c’est de résister à la tentation de vouloir correspondre à une fausse image de nous-même :
celle qu’on croit devoir donner au monde pour qu’il soit content.
C’est perdu d’avance :
le monde n’est jamais content.
Le monde ne cherche pas à comprendre non plus.
Il vous juge, vous condamne, vous puni quand bous ne correspondez pas à ses critères.
Autant lâcher l’affaire tout de suite.
Etre tolérant, avec son voisin qui apprends à jouer de la guitare et joue 2000 fois de suite le même morceau.
Ne pas tenir compte de ceux qui pensent que je ne travaille pas.
Parce que ce n’est pas sérieux , tout ça!
Tu blablate dans ton blog, tu fais deux bracelets et trois photos ?
C’est ça…
Ecris moi, la tout de suite un texte de deux milles mots, pour voir ?
Fais moi un collier à 7 fils avec la méthode du tissage, une vraie création, pas un truc chopé sur Youtube et trouve quelqu’un qui veut l’acheter.
Peint moi une princesse .
Assure les photos pour un mariage.
Et fais tout ça en même temps que tu élèvera tout seul tes deux enfants , dont un qui… et que….
Stop.
Ah ben ,j’oubliais.. je ne travaille pas.
J’ai l’impression que e voisin du dessus monte un groupe de rock.
Mais lui non plus ne travaille pas.
On à besoin ni de rock, ni de photos, ni de lecture….
Oh oui , on peut vivre sans.
D’ailleurs parfois, j’aimerais bien tout quitter pour aller élever des chèvres naines en Corse.
J’ai toujours vouu y aller.
Bon c’est pas tout ça, mais j’ai du boulot.
Il est déjà midi 45, et j’ai oublié de déjeuner.
Vous savez, je parle souvent de mes amis, des personnes géniales que je rencontre.
De mes chats, qui sont décidement des animaux étranges.
Pim c’est installé pile poil sur le bicarbonate que j’ai renversé sur le parquer.
Elle me contemple depuis là.
Elle veille sur moi.
Et réciproquement.
Je parle des gens , de ma famille plus plus, parce que ce sont eux qui font ma vie.
Qui font qu je suis,
Je vous laisse, j’ai un groupe de rock à étrangler.
Tiens, j’ai une idée, je pourrais plutôt les prendre en photo?
Voir leur pondre des textes ?