Critique

Il me montre ses photos.

Il est doué, vraiment.

Je n’aime pas forcément tout, mais la majeur partie de son travail est bien graphique et positif.

J’exprime mes encouragements.

Quand un artiste me montre ses oeuvres,

c’est ce que je fais.

J’encourage, je motive.

Parce que je sais quel bien ça fait.

Je connais aussi la foutue sensibilité qui anime

ceux qui ont le courage d’exposer aux yeux du monde une part d’eux.mêmes.

Je dirais même plus, une partie de leur âme.

Alors, peut-on raisonnablement dire que cette part est mal cadrée ?

Qu’on aime pas la couleur ?

Que si elle était comme-ci oû comme ça,

ça serait mieux ?

Ca n’a pas de sens de juger une âme.

Une âme est elle-même, et si on ne l’aime pas, c’est notre droit.

Mais dire à un artiste qu’on aime pas ce qu’il fait,

revient à dire qu’on ne laime pas.

On à le droit, mais est-ce nécessaire ?

Utile où agréable ?

Non.

Donc, on peut s’abstenir.

Ou user de délicatesse.

Parce que ça atteindra la personne bien plus fort que si on lui dit qu’on aime pas sa coupe de cheveux.

C’est du domaine de la personnalité profonde.

Avec un minimum d’éducation, ça se respecte une personnalité

profonde.

A moins qu’on aie un certain plaisir à détruire.

Où alors, une ridicule prétention é base de nombre d’or et autres règles faites pour être transgressées.

L’art est aussi multiple et divers que l’humanité compte d’âmes.

Sans oublier la Nature, qui est l’Artiste de base inégalée et inégalable.

Qui dirait à la nature que son ciel n’est pas assez bleu, en pensant qu’elle pourrait le changer, là tout de suite, juste parce que la volonté d’un petit être humain serait plus forte ou plus juste ?

Il est là, ce petit être.

Dans ma cuisine.

Il critique tout.

Mes photos , pas cadrée comme il faut.

Mes modèles, pas assez belles…

Ca me destabilise.

Juste un peu.

Mas assez pour me déranger.

Ca heurte ma sensibilité.

Il le sait, il le voit, il voit que je le vois,

mais il le fait quand même.

Pour des raisons qui sont les siennes.

N’étant pas psy, je ne m’aventurerai pas sur ce terrain glissant.

C’est de mi, dont je dois m’occuper ,

si je veux avancer.

Et puis,

grâce à vous qui savez aimer sans juger,

grâce à ma propre confiance absolue en la vérité de mon âme, je sais ce que je fais est juste.

Que ça corresponds à ce que je veux dire.

Et que rien d’autre n’a d’importance.

Et surtout pas l’avis de quelqu’un qui à ce regard là sur mon travail.

Je le répète, on n’est pas obligé d’aimer ce que je fais.

Mais, des images, il y en a assez pour allez voir ailleurs.

On n’est pas obligé de m’aimer non plus.

Des femmes aussi, il y en a assez.

Mais changer pour correspondre à la vision d’un autre,

ça ne marche pas.

Je le sais.

Parce que j’ai essayé, et ça ne m’a pas du tout,

mais alors, vraiment pas du tout réussi.

Je me suis perdue.

J’ai passé toute l’année 2017 à me retrouver.

Ce n’est donc pas pour me reperdre en 2018.

Pense ce que tu veux, petit cui.cui, mais garde le pour toi.

Désormais, j’ai compris que mon chemin doit rester le mien.

Que ceux que j’y croise doivent me respecter.

Et ceux qui m’accompagnent , m’aimer.

Sinon, à quoi bon m’encombrer ?

Il y a assez de routes pour tout le monde,

dans cette vie.

On n’est pas obligé d’être d’accord, on n’est pas obligé d’être parfait.

Mais rien, rien n’excuse celui ou celle qui blesse gratuitement et volontairement l’autre.

Perte de temps, perte d’énergie et perles aux cochons.

Vie nocturne

Je ne sais pas pourquoi, mais c’est un fait.

C’est la nuit que je vis vraiment.

C’est la nuit que j’ai des idées.

C’est la nuit que j’ai de l’énergie.

C’est la nuit que je travaille.

C’est la nuit que je repeins mes toilettes.

Que je fais le ménage.

Et je dors quand ?

Quand je peux.

Pas assez c’est vrai.

Mais bon.

C’est dingue, mais il est à

peine deux heures du matin.

Et si je vais me coucher maintenant, je ne pourrai pas dormir.

C’est dommage qu’il ne neige plus.

Sinon, je sortirais faire des photos.

Il n’y   rien de lus beau que Bienne sous la neige.

Sous une épaisse couche de neige.

Quand tout les bruits sont étouffés.

Quand l’air est si pur.

Parce que les voitures circulent moins.

Le parc de la ville devient sublime.

Le faubourg du lac aussi.

Le barrage vers l’Oméga.

Et Oméga elle-même.

Vous avez vu cette architecture géniale ?

Organique.

On dirait une merveilleuse limace à facette, géante.

C’est un architecte japonais génial.

Qui a même pensé à faire attention aux arbres…

Comme quoi, quand on veut, on peut.

Bravo Shigeru ban.

Un nouveau monde

Je ne sais pas qui est cette femme.

Je ne sais pas où elle va.

D’ailleurs, comme j’ai retourné la photo, cet endroit n’existe pas.

Il suffit de pas grand chose.

Pour tout changer.

Cliquer sur le bon bouton.

La bonne touche, plutôt.

Je ne sais pas ce que nous réserve 2018.

J’ai de l’espoir.

J’ai l’impression que j’ai ma place.

Comme faiseuse d’image.

Comme raconteuse d’histoire.

J’ai l’impression que je vais devoir travailler plus que jamais.

Mais j’aime ça, travailler.

Tant que c’est dans un domaine qui me plaît.

Je dois continuer d’assumer mes responsabilité.

Faire attention à ma pire ennemie…

Moi.

J’ai eu un exemple de ce dont je suis capable,

quand je n’y fais pas attention.

Ca m’a mis dans un stress extrême.

Enfin, je m’y suis mise toute seule…

Bref, je sais qu’on ne se refait pas

.Donc, je fais ce que je peux

et si je fais mal,

alors, je fais ce que je peux.

Encore,

pour me rattraper.

Je vais trier, et trier encore.

Ne pas m’encombrer de

ce et de ceux qui m’encombrent.

Aller de l’avant.

M’occuper de mes animaux.

Chaque jour, je peigne la petite Lilou.

c’était la plus frêle.

Mais depuis que je fais ça,

au début, elle n’aimait pas trop,

maintenant, on dirait qu’elle attends ce moment.

Et son poil qui était fin

est devenu aussi fort que celui de ses soeurs.

Elle a pris du poids.

Les animaux comme les plantes se renforcent

quand on leur donne de l’attention.

Mes chats, mon chien sont aussi ma famille.

Enfin bref, 2018 arrive.

J’ai assez  à faire pour occuper toute l’année.

Mon énergie revient.

Moi, ma famille, mes amis, mes animaux, mes plantes ,mon travail.

Voilà ma vie et elle me va.

Comme une vie.

Fascination

Les cygnes me fascinent.

Certains sont énormes.

A se demander comment ils font pour décoller.

Et pourtant, ils le font.

Comme des Concordes.

Grâce à la puissance de leurs ailes.

Incroyablement parfaites.

Elles sont souples.

Elles peuvent s’arrondir.

Pratiquement former des sortes de tubes, lors de l’atterrissage.

Je les observe depuis des années.

Je sais pas mal de choses à leur sujet.

Mais j’en apprends encore chaque fois que j’ai l’occasion.

Ce sont des parents extraordinaires.

Depuis la couvée, jusqu’à l’adolescence, ils veillent, surveillent , éduquent leurs petits.

Rien n’est plus beau qu’une maman cygne, portant ses petits sur son dos.

Devoir trois quatre petites têtes émerger entre les plumes.

Ils grandissent vite.

D’abord gris, puis bruns, ils s’éclaircissent jusqu’à ce blanc

immaculé qui caractérise les cygnes de notre lac.

Ils en sont les rois et les reines.

Ca m’embête un peu de les voir mendier des morceaux de pain.

S’apprivoiser.

Je les aime sauvage.

 

Le Noêl parfait

Prenez une petite fille.

Entourez la

de sa maman,

de sa grand-maman,

de ses deux arrières-grand-maman,

de son parrain,

et de son oncle.

Organisez une fête.

Avec un bon souper et des cadeaux.

Intéressez-vous à ses jouets, pour l’aider à les construire.

Si il le faut.

Et là, il le fallait.

Pu..rée de jouets ! à se poser des questions.

Entre le petit chien qu’on ne peut enlever de son carton qu’avec un tournevis (non fourni) et la rampe d’accès pour le petit chien en question, qu’il est impossible de clipper sans mode d’emploi… les adultes sont nécessaires…

Mais du coup on se retrouve tous à quatre pattes, sur le plancher du salon, à courir derrière un os, ou un mini-drone télécommandé.

L’enfant est ravis.

Parce que ce qu’il aime encore plus que ces jouets, c’est de voir les grands s’y intéresser.

Mes enfants avaient fait à manger, c’était super.

L’entrée était tellement copieuse, qu’on avait plus faim pour la suite.

Alors, on est passé direct au dessert.

Au lieu de se gaver et de gaspiller.

On garde ça pour demain.

Et c’est très bien.

Le bonheur c’est simple

Simple comme une mouette qui passe devant le soleil,

juste au bon moment.

Comme mon chat qui s’étire devant le feu, dans une position tellement ridicule, que je ne peux pas m’empêcher de rire.

Comme des amis qui passent le jour avant Noêl.

Qui vous apportent des présents délicats et parfumés.

Ca sent si bon chez moi ce soir.

Les essences délicates des merveilleuses bougies

parfumées d’Olivier.

Demain je me laverai les cheveux avec un autre de mes cadeaux apporté par ma toute nouvelle amie.

Les amis sont les cadeaux de la vie.

Et moi je suis tellement gâtée à ce niveau là.

Le jour de Noêl, nos amis sont avec leur familles respectives, comme je le serai avec la mienne.

Cette année, on s’adapte aux circonstances.

Bien sûr, les Noêl de mon enfance sont indétrônables.

Personne ne fera la sauce aux morilles aussi bien que ma tante Francine.

Et mon tonton Papin ne viendra pas pour la xième fois ,demander si on a pas froid, dans la pièce du bas, ou on aimait tellement jouer.

On ne sortira pas faire des igloos dans la neige avec Fabienne et Christian.

Mais cette année, je suis tellement fière et heureuse.

Mes enfants ont tout organisé.

C’est eux qui feront à manger.

Ils sont plutôt doués en cuisine, tout les deux.

Les cadeaux sont importants à Noêl.

On à beau dire, essayer de trouver des prétextes pour ne plus en faire,

un Noêl sans cadeau n’a aucun sens pour un enfant.

Je me souviens de tout mes cadeaux.

Ils m’ont construit.

Mon vélo jaune.

Mon microscope.

Les truffes aux chocolat de ma tante Francine.

Je me fiche de combien ça coute.

Un cadeau fait plaisir quand il est fait pour ça.

Qu’il soir fait des mains de quelqu’un qui à pris du temps , ou qu’il serve à quelque chose d’utile ou d’agréable.

C’est un présent, un gage d’affection.

Un cadeau sert à matérialiser l’amour.

L’amitié aussi bien sur.

Pour moi, c’est pareil..

L’année passée, je n’ai pas pu trouver de beau cadeau pour ma petite fille.

Alors cette année, j’ai décidé d’économiser..

Elle voulait une tête à coiffer.

J’ai fait un tas de magasin, hier.

On aurait dit que toutes les petites filles voulaient la même chose.

J’ai fait trois magasins sans succès.

Et puis, je me suis dit que c’était un signe, que je devais trouver mieux.

J’ai hâte de voir ce qu’elle en pensera !

Bilan de fin d’année 2017 et voeux pour 2018

L’année de mes 50 ans…

Voilà ce que j’ai à dire, pour ceux que ça intéresse :

les miracles existent.

Ce que vous pensez immuable, bloqué pour toujours peut changer sans que vous ne fassiez rien pour 4a.

D’une certaine façon.. je ne pourrais pas dire exactement ce qui c’est passé.

Bien sûr, tout est lié.

Et tandis que je faisais des efforts pour me reconstruire,

pour grossir..

J’en ai mangé des pots de beurre de cacahuète,

des biscuits au chocolat noir et orange amère,

avec des sticks salés..pour l’équilibre gustatif.

Tandis que je m’inquietais, mais prête à assurer

quand même pour ce procès insensé qui me pendait au nez, et ou la vérité à triomphé sans que j’aie besoin d’en rajouter.

J’ai appris ,

que les ennemis se vainquent avec la sincérité.

Que la justice est possible.

Pas tout le temps, mais plus souvent que je le pensais.

Que la bêtise n’est importante que si on lui donne de l’intérêt.

Que plus que jamais mieux vaut être seule que mal accompagnée.

Que ma famille est ma force.

Que la confiance est mon chemin.

Que la vie a encore bien des choses à m’apprendre.

Que l’envie qui me quitte doucement ne me manquera pas.

Qu’on ne peut pas tout aimer chez une personne et l’aimer quand même.

Mais qu’il faut fuir loin de ceux qui vous font du mal.

Jusqu’à ce que la souffrance fasse place à l’indifférence.

Que   si le bien des uns est le mal des autres, alors, personne ne peut avoir complètement raison.

Que j’ai de la route encore à faire.

Et beaucoup de travail .

Qu’il est possible de rattraper ses fautes.

Je dirais même plus : ce qui importe, plus que ce qui se passe, c’est ce qu’on en fait, après.

Tant pis pour ceux qui ne veulent pas vous donner votre chance.

Libre à eux.

Libre à moi de faire pareil.

Et puis, plus que jamais, je garde espoir.

je sais qu’on ne sait pas grand chose,

mais je veux croire à l’intelligence des femmes et hommes , quand elle est synchronisée avec leur coeur.

Le mien est rempli à ras bord.

Pourtant, il y a encore de la place.

Parce que le coeur à ceci de particulier, qu’il grandit quand on le partage.

Comme l’amitié.

J’ai changé.

Je ne m’enthousiasme plus comme avant. en concentré rapide.

Je m’enthousiasme lentement, mais sûrement, maintenant.

Je sais que la confiance est un élément de la liberté.

Peut-être le plus important.

Et bien sûr, que tout est lié.

Que tout est simple ou horriblement compliqué,

il ne tient qu’à nous d’en décider.

Se masquer les yeux,

ou sortir sans fard.

Chacune de nos pensées,

chaque décision,

chaque pas

compte, influe et a ses conséquences.

Tout ça ne tient pas qu’a moi.

Alors inutile de m’en faire,

parce qu’on

ne se refait pas.

si on pouvait recommencer, on ferait exactement pareil.

Et les miracles existent.

Je l’ai déjà dit ?

Alors j’arrête là.

En 2017, certains de mes rêves se sont réalisés.

Je vois 208 arriver.

Je sais ce que je veux en faire.

M’améliorer encore.

Trouver de nouveaux rêves.

Et sortir la peur de mon lit.

Pour finir, je veux remercier spécialement celles et ceux qui me soutiennent dans mon travail de photo.

Je remercie le ciel d’avoir gardé ma famille en bonne santé.

Mes chats sont bien gras, enfin juste ce qu’il faut, mais c’est bon de les voir. si beaux et en bonne santé.

Mon chien aussi.

eux aussi font partie de ma famille.

tout les soirs, je les appelle, et ils rentrent.

J’aimerais dormir tranquille.

C’est ce que je me souhaite en particuliers pour 2018.

Que j retrouve mes forces, pour travailler mieux que jamais.

M’améliorer, apporter ce que j’ai à apporter.

Pour vous, je souhaite le meilleur !

Au cas ou je ne reviendrais pas avant l’année prochaine.

Parce que là, je vais m’occuper de ma famille et de moi,

en concentré pendant les jours qui viennent.

Ce texte sert de carte de voeux.

<3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3

 

Hommages, signes et cygnes

Autour de notre lac de Bienne, dans mes promenades, je trouve parfois ces hommages sauvages.

Petites plantes.

Inscriptions et photos.

Pour un disparu.

Par ses amis, qui préfèrent se souvenir dans ces endroits

magnifiques

qui bordent l’eau.

D’après ce que je sais, ce sont des corneilles,

sur ma photo.

Tout un groupe planté là, au moment ou je passais.

Un jour, j’ai vu des vrais corbeaux, près de la colonie des cygnes.

Ils étaient immenses.

Marché de Noêl Blues

Je l’aime bien, le marché de Noêl.

C’est l’occasion de se retrouver, autour du feu.

De chercher un petit cadeau à faire.

Mais il est cher, le marché de Noêl, très cher.

La faute à ces jolis chalets qu’il faut louer , cher, très cher.

D’années en années, je vois les prix des dates grimper dans le stand de la place centrale.

Quasi 15 francs la boîte, la même que je retrouve chez le marchands du coin, toute l’année…

Par contre, les délicieux macarons de la Biennoiserie, à

la hauteur de Jelmoli, sont toujours aussi bons et toujours à deux francs.

Sourire en prime.

Les français se débrouillent bien aussi.

Les énormes pains d’épices, le pain à l’ail qu’on adore,

les tartines de foie gr….

-AAAAAAAAAAAAAA (hauts cris de nos amis Vegan et autres défenseurs des animaux)

C’est parti pour un petit débat.

-Pourquoi, tu manges du foie gras, toi ?

J’avoue, j’adore ça.

-Mais pense à ces pauvres oies surgavées de force!

Ce foie là, ce n’est pas seulement une souffrance infligée à ces oiseaux innocents, c’est pas naturel, c’est une maladie !!

C’est vrai.

Tout ça, c’est vrai.

J’ai vu un reportage à Mise au point, et c’est insoutenable.

D’ailleurs, je n’ai pas regardé.

J’ai fermé les yeux.

Mais je m’étais déjà acheté un morceau à 13 francs.

Pour me faire plaisir.

Avec un ptit bout de pain d’épice.

C’était très bon.

Mais , là, maintenant que j’y repense, je me demande.

Est-ce que ce très bon vaut la peine ?

Est-ce que c’était divin au point d’oublier si facilement

qu’on a maltraité des animaux  pour ce prix ?

Non, honnêtement, ma réponse est non.

Je sais, j’ai déjà essayé de devenir végétarienne, sans succès.

Mais me passer de foie gras, je vais pouvoir.

Le meilleur moyen de résister à la tentation, c’est d’y céder.

C’est vrai.

Pardon petite oie dont j’ai mangé le foie.

On ne m’y prendra plus.

Promis.

Et le grenouilles ?

Oui, mais non! mais bon..

Gros soupir…

J’essaie de trouver des arguments…

Les animaux se mangent entrent eux, aussi.

Il leur arrive d’être très cruel, aussi.

Ce n’est pas une raison pour faire pareil.

Aussi.

L’homme est tellement tellement imparfait.

Tellement contradictoire…

 

Mes plus beaux cadeaux de Noêl

Cette année, je suis gâtée :

j’ai déjà reçu les plus beaux cadeaux.

Le premier c’est les progrès de mon fils.

Spectaculaires.

Miraculeux.

Je ne remercierai jamais assez les  personnes qui nous ont aidés dans ce but.

Les pros et les proches.

Mais le plus gros du travail, dans cette évolution remarquable, est venu de lui et lui seul.

Si je devais choisir un seul cadeau, ce serait celui-là.

Mais ce n’est pas tout.

J’ai une famille géniale, que j’adore.

Ma fille, ma petite-fille, ma mère, soeur, beau-frère, neveux, oncle, tante, cousines…. je suis en contact avec tout le monde et en bon contact.

Sans oublier mes amie,s.

Qu’est-ce que je pouvais espérer de mieux ?

Etre débarrassée d’un parasite ?

Ca aussi.