Le jour d’après

Il y a quelque chose que j’adore :

c’est rester bien au chaud à la maison.

quand il fait très froid dehors.

Bricoler,

manger des bons ptits trucs,

me taper une bonne série sur Netflix.

Tout en même temps.

Voir faire la cuisine.

J’aime pas le gaspillage.

Mon fils à acheté des carottes, et on en avait déjà.

Des petites carottes trop inégales pour venir d’un grand magasin, mais surement meilleures.

Du coup, j’ai décidé de faire un cake aux carottes.

J’aime pas trop ça d’habitude.

Trop secs, pas assez  délicieux.

Alors j’ai décidé de le faire à ma façon.

Avec des noisettes moulues.

J’ai trouvé une recette toute simple.

Et hop la geth’s !

On verra bien.

Mon énergie revient petit à petit.

Hier une amie m’a contacté pour me proposer de me prêter un chauffage à gaz qu’elle n’utilise plus.

C’est vraiment gentil de penser à moi comme ça.

C’est vrai que mon appart n’est pas chauffé normalement en hiver.

Je dois me débrouiller moi même.

Il y a quelques années, ma formidable Eliane, m’avait déjà dégotté un four à bois.

Qui aide déjà beaucoup.

Et ce midi, mon amie Myriam, à chargé toute seule ce gros chauffage dans sa voiture .

pour me l’apporter.  Comme ça, par pure gentillesse.

Accepter de l’aide, c’est aussi permettre aux autres d’avoir bon coeur.

Il est super ce chauffage !

Avec des roulettes .

Du coup, je peux chauffer des endroits qui restaient froids d’habitude.

Ca fait bizarre, et tellement de bien en même temps.

Alors, le vent peut souffler au-dehors.

Je suis bien.

 

 

 

 

 

Quand il faut se battre

Dehors, il fait moche.

On dirait que le ciel est raccord avec mes émotions.

La tristesse, la douleur, la colère, ne partent pas comme ça.

Faire son deuil, ça prends du temps.

On doit passer par toutes sortes d’états, qui sont les mêmes pour tout le monde, mais pas dans le même ordre.

Et puis, il n’y a pas que ça.

Il y a tout le reste.

Ce qui se passe dans nos vies.

Ce qui se passe dans le monde.

J’ai l’impression que ça s’accumule.

Mais voilà… on a tous nos soucis.

Ca ne me console pas du tout de savoir que les autres ont aussi leurs problèmes.

 

Chez moi, il fait froid, les radiateurs  ne fonctionnent pas.

Heureusement, un ami est passé avec du bois de palette.

Il brûle super vite, mais il dégage une bonne chaleur.

du coup, je peux déjà réchauffer le salon .

C’est beaucoup.

 

C’est vrai que nous avons tous nos soucis.

J’ai souvent l’impression que mes problèmes sont plus graves que ceux des autres.

En réalité, quand je prends la peine de les écouter, je me rends compte que nous traversons tous des épreuves.

Ca ne me console pas de le savoir, mais ça relativise les choses.

Après, j’essaie d’être réaliste : j’ai un toit, de quoi manger.

Bien.

Mes chats aussi.

Ma mère m’a raconté que pendant la guerre, les gens mangeaient des chats.

On en est pas là :).

Ce matin, je regardais la tempête par la fenêtre et j’ai vu que malgré le sale temps, une de mes petite plante avait fait des fleurs.

Des toutes petites fleurs qui cherchent la lumière et se collent à la vitre.

La nature se bat pour exister.

C’est clair, si je pense à mes problèmes, avec cette impressions que ça s’accumule ces derniers temps, je n’ai qu’une envie :

rester couchée.

Parfois, le matin, il me faut une force de dingue juste pour mettre ma première chaussette.

Et puis, je repense à hier soir.

J’ai retrouvé une amie.

Après des années.

Grâce à Pierrot.

Merci Pierrot !

Même parti tu continue de réunir les gens .

Elle m’a dit qu’elle lui parlait.

Moi aussi, c’est ce que je fais.

Ca aide de penser qu’il est là, quelque part, et qu’il nous voit.

Ca me donne de la force même.

Ce qui m’en donne aussi, c’est le bonheur que j’ai d’avoir retrouvé cette amie.

Je la trouve tellement géniale.

J’aimerais qu’elle puisse se voir comme je la vois.

Parce qu’elle aussi à subi de sacrées épreuves!

On dit que les épreuves nous font grandir.

Mais d’abord, elles nous assomme.

Voilà pourquoi il faut se battre.

Mettre ma deuxième chaussette et sortir, même si c’est la tempête,

parce que j’ai des choses importantes à faire.

J’aime que les choses aient du sens.

Et souvent, si on agit pas tout de suite, elles s’aggravent.

Je le sais , tout le monde le sait.

Mais quand les épreuves s’accumulent, même ramasser un mouchoir sale par terre devient épuisant.

J’ai remarqué un truc :

c’est justement quand on est dans cette situation que,

si on fait un effort,

quelque chose de bien arrive.

 

Alors, je vais ramasser cette saleté de mouchoir.

Mettre cette p….. de deuxième chaussette.

Et me bouger.

 

L’effet Pierrot ( suite de la suite )

Qui aurait pensé que, d’un drame aussi épouvantable, puisse naître du positif ?

Que des amis fâchés se réconcilieraient.

Que d’autres, qui s’étaient perdu de vue se retrouveraient.

Que  la tristesse infinie engendre le réconfort de bras chaleureux.

Que des hommes puissent pleurer ensembles, et que ça les aide.

Des larmes d’hommes qui sortent leur peine,

face à d’autres hommes,

c’est rare !

Et ça serait si beau, si il n’y avait pas un deuil à l’origine.

 

J’ai revu une petite video de Pierrot , postée par Daniel, et en un instant, j’ai eu le coeur en miettes.

J’entends parler les gens qui le connaissaient bien, et même ceux qui le connaissaient moins.

Les mêmes mots reviennent : sa bonne humeur, sa façon de saluer les gens, à chaque fois, comme si tu étais la personne la plus importante de la journée.

Et puis, il y a les autres, ceux qui ne le connaissaient pas.

Ceux qui me disaient  ; t’as pas peur de voir ta fille avec des types comme ça ?

Ceux-là, je les plaints d’avoir l’esprit si étroit qu’ils ne peuvent pas concevoir que la beauté d’une âme peut se cacher derrière une barbe folle, un crâne rasé et pas mal de tatoos.

Eh bien si.

Je me méfierais bien plus d’un type en costard cravate !

Bon, c’est clair, il ne faut pas généraliser.

Le fait est que Pierrot était un homme hors du commun.

Je ne sais pas, par contre, si il s’en rendait compte,

Si quelqu’un lui avait dit ?

Mais est-ce que ça aurais changé quelque chose ?

Il aurait rigolé, surement.

Le rire de Pierrot, la voix de Pierrot, enraillés par le tabac, nous manque déjà tellement.

Tout ce que j’espère et que je veux croire maintenant, c’est que ses amis rempliront le vide de son absence en s’inspirant de son exemple.

De sa joie de vivre, de son instinct protecteur.

De l’attention qu’il portait à chacun.

Et de ce mot qui revient souvent quand on parle de lui : de sa bienveillance.

Ce sont des qualités que nous portons  déjà tous en nous.

Il est temps de s’en servir , encore plus.

Plus que jamais.

De continuer de veiller les uns sur les autres,

De protéger les enfants.

D’être à leur écoute.

Nous n’avons pas besoin d’être parfaits.

C’est ce que j’appréciais le plus, chez Pierrot ;

il nous prenait comme on était-

 

Notre Ami Pierrot (suite)

Derrière la gare, à l’endroit ou Pierrot retrouvait ses amis,

sur le banc de bois ;

un autel a été dressé,

en sa mémoire.

D’abord une photo,  une rose.

Ce soir se sont des dizaines de roses, de photos, de bières, bues ou pas,

et de bougies,

qui forment un coeur.

qui brille dans la nuit.

Les amis de Pierrot sont toujours là.

Nombreux.

Inconsolables.

Malgré la tristesse, il règne une atmosphère chaleureuse.

On se reconnait, on se réconforte.

 

Cet après-midi, j’y ai vu des jeunes filles, que je connais depuis leur naissance,

comme Pierrot les connaissait aussi.

Pierrot veillaient sur les enfants de ses amis.

Cette mission, naturelle, qu’il se donnait de les garder en sécurité.

D’être juste présent quand ils en avait besoin.

Comme un père, un grand frère, un oncle..

un membre de la famille.

La vie d’un homme se mesure aux sentiments qu’il inspire.

Pierrot était un homme aimé, et il le restera.

cérémonie d’Adieu
jeudi 14 avril au Hundematteli, à 18h, le départ de Pierrot pour le Valhalla.. 🖤🤘🏽🖤

Mon ami Pierrot

…est parti.

Je sais qu’il faudra un moment pour que j’arrête de le chercher du regard, comme chaque fois que je passais derrière la gare.

Il me voyait arriver, même à 50 mètres, on se faisait signe.

Toujours.

Et ça me faisait du bien.

Je connais Pierrot depuis si longtemps que j’ai oublié quand je l’ai rencontré.

Comme si il avait toujours été là.

Comme un membre de la famille.

Il lui arrivait de me prendre dans ses bras, de me faire tourner.

Et il riait, avec son rire inimitable .

 

Ce soir,  j’ai l’impression d’être dans un mauvais rêve.

La vie ne devrait pas avoir le droit de nous enlever quelqu’un comme Pierrot, et de continuer comme si de rien n’était.

La vie se fiche de ce que l’on pense.

Elle nous enlève des gens  qu’on aime, et nous laisse planté là, comme des imbéciles.

J’aimais Pierrot, aussi, parce que je savais qu’avec lui dans les parages, ma fille était en sécurité.

C’était quelque chose de tacite.

Comme un accord secret.

Il l’avait connu toute petite, et il habitait en face, avec Koboï au milieu  et Jacques son ami de toujours., jamais trop loin.

Réuni par la musique, et les bons moments entre amis.

Ca leur appartient.

Moi , j’étais heureuse que mes  vieux copains  soient devenus les siens et qu’ils veillent si bien sur elle.

 

Ce soir leur peine est immense.

Bienne pleure.

Avec pudeur.

Une partie va noyer son chagrin dans la bière, et même ceux qui ne s’entendent pas vont oublier leurs histoires, pour rendre hommage à Pierrot.

Quand à moi, j’écris ce texte en son honneur, parce que c’est ma façon de faire mon deuil.

Mais Pierrot ne m’appartenais pas.

Il n’appartenait à personne.

Je serais très gênée qu’on m’adresse des condoléances, j’aurais l’impression de m’approprier ce qui n’est pas à moi.

Ce qui m’appartient par contre, ce sont les géniales photos que j’ai fait de lui et Jacques.

Ils étaient passé chez moi, et ils voulaient que je les prenne en photo !

Moi j’étais si contente de le faire.

Je n’ai que des bons souvenirs avec Pierrot.

Ca m’aide un peu à surmonter ma peine.

Ce n’est pas moi qui ai perdu Pierrot, c’est le monde.

Une perte irremplaçable.

Tant il était unique.

Ca me fait bizarre de parler de lui au passé.

Dans mes souvenirs, il est vivant.

Bienveillant, avec son regard malicieux.

Ce n’est pas possible, il ne peut pas être parti.

Demain, je passerai par la gare et je l’engueulerai un ptit coup,

pour de faux.

Et il rigolera,

pour de vrai.

 

cérémonie d’Adieu
jeudi 14 avril au Hundematteli, à 18h, le départ de Pierrot pour le Valhalla.. 🖤🤘🏽🖤

 

 

 

Je suis prête.

Je suis prête à me passer de gaz.

Personne ne me demande mon avis,

mais quand je pense que la Russie reçoit 800 millions par jour

pour le gaz  livré en Europe,

je trouve que ce serait la moindre d’arrêter ça !

Et nous la Suisse, on donne combien ?

Renseignons -nous.

C’est un peu compliqué…

Notre gaz, en gros , on l’achète sur les marchés internationaux, et il vient effectivement de Russie en grande partie.

Mais on  n’a pas de contrat direct.

Si j’ai bien compris.

En ce moment on voit  avec le Qatar pour l’acheter chez eux.

Pas idéal mais déjà mieux.

Mais c’est terrible ce qu’il se passe en Russie.

Les Russes ont peur .

On ne peut pas les interviewer, parce qu’ils ont peur des représailles, si ils disent ce qu’ils pensent.

Mais pourquoi ne se révoltent-ils pas ?

Dans notre pays, on peut dire tout ce qu’on veut.

Ca nous semble normal, et ça l’est.

Bien sûr, on n’a pas le droit d’insulter les gens, de mentir à leur propos, et ça aussi c’est normal.

Ca relève du bon sens.

Nos libertés s’arrêtent là ou commence celle des autres.

Le mois d’avril 2022 restera dans l’histoire du monde .

Tandis que la majorité des russes se taisent par peur des représailles, une minorité  fait parler d’elle.

Mais qui sont ils ?

Quelle sorte de monstre faut-il être pour violer, torturer et assassiner des innocents, en si grand nombre ?

On a tous vu ce reportage avec les corps à terre.

Plus de 400 personnes dans ce qui était , avant, une paisible petite ville ukrainienne.

Je croyais, naïvement, qu’ils n’avaient été « que  » abattu.

Mais non, ils ont aussi été torturé.

La liste des tortures est insoutenable.

Je comprends pourquoi on parle d’ Oradour à la russe.

Oradour, c’est un petit village de France.

Quand les nazis ont quitté la France, ils ont fait pareil : massacrant tout un village au passage, d’une manière spécialement cruelle.

 

Aujourd’hui. le village se visite encore.

Gardé en état, pour témoigner de l’horreur.

Afin qu’on oublie pas.

Il fait très froid.

J’ose à peine imaginer ceux qui ont souffert.

Mais je pense à eux.

Je compatis et je n’oublierai pas.

Heure d’été

Incroyable, il est à peine minuit, 23h en vrai, et je suis déjà crevée.

J’ai trié mes habits, c’est peut-être un peu pour ça…

J’ai aussi oublié de manger et de boire assez.

Mauvaise idée

Je me suis récupérée et là. j’ai qu’une envie : dormir. dormir. doormiiiir.

Ce que je vais faire.

Voilà-

Youpie !

Ca devenait pénible !

Mais bon, je faisais avec.

Maintenant je revis !

Mon cher ordinateur  de bureau fonctionne à nouveau .

Mieux que jamais même !

Ca lui a fait du bien, ce petit nettoyage.

Ces derniers temps, il ralentissait, jusqu’à s’arrêter totalement.

Il faut dire qu’il n’était déjà pas tout neuf, quand j’en ai hérité.

Mais c’est un bon gars.

J’ai trouvé quelqu’un pour lui parler gentiment, et son petit coeur  d’ordinateur c’est remis à battre.

Heureusement, il me restait mon portable, qui malgré quelques soucis de clavier, pouvait encore me permettre de communiquer.

J’essaie toujours de rester positive.

Malgré la peur que j’avais de perdre définitivement mon ordinateur de bureau et ses données, je me disais qu’au pire, je pourrais me débrouiller avec le portable.

Je gardais espoir, malgré tout.

Et voilà, apparemment ce n’était pas si grave, en quelques dizaines de minutes, mon ami spécialiste, l’a remis en route.

Gros soulagement.

Ca me motive pour travailler, encore plus.

Et m’en acheter un neuf.

Pas d’urgence.

Celui-ci est vraiment très bien.

J’ai du remettre tout mes logiciels de travail, et ça c’est très bien passé.

C’est le printemps ?

Mais qu’est-ce qu’ils ont mes chats aujourd’hui ?

Déjà, depuis deux trois jours, Pilou, d’habitude si calme, si réservée,

saute sur le moindre visiteur pour s’y frotter comme une pauvre bête en manque d’affection.

Nelson, qui est déjà plutôt collant en temps normal, devient carrément gluant.

Et depuis cet après-midi, voilà que même Caotina et Artas s’y mettent..

Et, que je te suis partout où tu va…

Et que je te saute dessus dès que tu te pose…

Au point que j’ai l’impression d’avoir des chats en plus.

Comme si 8 c’était pas suffisant.

ui je sais.. 8 chats.. ç’est beaucoup.

Mais ce n’était pas un choix.

En plus, chez moi c’est grand, ils peuvent sortir explorer le vaste monde.

Ce qu’ils font d’habitude.

Surpopulation féline oblige, ils sont tous opérés.

Donc on ne peut pas mettre ça sur le compte des chaleurs.

Qu’ils n’auraient pas tous en même temps.

Enfin, si , il parait que c’est possible.

Mais là, c’est autre chose.

Ils ont assez à monger

C’est autre chose.

Un phénomène aussi mystérieux que les chats eux-mêmes.

Je suis plutôt heureuse : mon ordinateur fonctionne à nouveau.

Je dois remettre tout mes logiciels par contre.

C’est fastidieux, ça demande de la concentration   et je suis crevée…………………-

Il n’est qu’1 heure du matin-

Pour une fois je vais me coucher tôt.

Récupérer.

Ma cure d’ortie est très efficace., je me nettoie de l’intérieur,

Ies Principes du PIaisir

PeopIe are strange, disait Ie regretté et si sexy Jim Morrisson.
Je trouve aussi.
Une photo de moi avec trois rats fait un mini-buzz sur ma page,tandis que mon post sur cet exceptionnel documentaire diffusé sur NetfIix sombre dans I’indifférence quasi généraIe.
Semble sombrer serait pIus juste.
Parce que je sais que ce docu, au ton Iéger, et à I’animation coIorée,regorge d’informations révolutionnaire.
Ca s’adresse à tout Ie monde.
QueI que soit I’âge ou Ie genre.
Ca serait un peu ennuyeux, voir trop technique pour un enfant, mais ça a Ie potentieI d’intéresser Ies ados.
J’en connais qui I’ont vu seuIe, d’autres qui vont Ie voir en coupIe, exceIIente idée !Monsieur risque d’apprendre de nouveIIes choses pour satisfaire madame et vice-versa.
Moi, ce n’est pas pour cette raison qu’i m’a teIIement intéressée.J
Je suis depuis quelques années, un être asexuel
.C’est-à-dire que je n’ai aucune sexualité.C’est vouIu.
Je suis incapable d’avoir des relations juste pour e fun, et je n’ai jamais encore rencontré I’âme soeur.J’ai bien profité dans ma foIIe jeunesse, certes, mais de mauvaises, expériences m’ont rendue méfiante.Je préfère depuis rester seuIe que ma accompagnée.
Ca ne veut pas dire que je n’ai pas droit au pIaisir.
C’est intime.
Ca ne regarde que nous.
Par contre , ‘absence de pIaisir féminin est non seuIement rarement évoqué dans notre société, mais aussi moins étudié que ceui des hommes, sans compter tout un tas d’idées fausses que nous avons tous sur e sujet.
Pour es femmes de ma génération, particulièrement.
Heureusement, Ie monde évoIue,
Des scientifiques , femmes , se sont penchées sur Ie sujet, et découvrent chaque jour des informations sur Ie fonctionnement de nos cerveaux, nos hormones, nos corps, qui vont bouIverser notre conception de Ia vie.
Je Ie répète, nous y avons toutes droit, queI que soit notre âge, notre situation. C’est essentiel pour notre santé mentale et physique.
C’est un sujet difficile, parce que, presque toutes, nous avons connu des mauvaises expériences.
Saviez-vous qu’une majorité de femmes n’atteindrons jamais I’orgasme dans Ieur vie ?JAMAIS ! CEIIes qui ne sont pas certaine d’y être arrivé, peuvent être sure d’une chose :
si eIIes se posent a question, Ia réponse est non.
Un orgasme un vrai, c’est fantastique ! Je pourrais vous Ie décrire, mais chacune d’entre nous Ie ressent différement.
Nos cerveaux jouent un rôe majeur dans ce processus.
Ce qui est triste,, révoltant : c’est qu’on minimise I’importance du pIaisir féminin.
Donc, si t’en a pas, « c’est pas grave, faudrait pas vexer ton mari.. et tu peux vivre sans ?  »
Non. Non et renon.
Ne pas avoir d’orgasme dans sa vie, c’est comme aIIer au restaurant avec queIqu’un qui aura dans son assiette Ies mets Ies pIus déIicieux.
Et dans Ia vôtre, des biscuits périmés depuis 2012.

Et tout e monde trouverais ça normaI.
Voir sans importance.
IApres tout, qui êtes-vous pour récIamer ?
une obsédée ? Non, simplement une femme normale qui devrait pouvoir ressentir pIeinement son corps et de son esprit.+
Dans ma génération,avec des mères
qui ne pouvait pas nous parIer, ou ne vouIait pas.
Soit parce qu’eIIe ne connaissait pas cet état, soit « parce que ça ne se fait pas « . CE n’est pas chrétien.. et patati et patata…

Heureusement mes soeurs,
iI n’est pas trop tard :
iI n’est jamais trop tard pour bien faire.
CE documentaire vous donnera des pistes, et aujourd’hui, on trouve des spécialistes pour aider ceIIes qui en ont besoin.
II est intéressant de constater, que nous avons souvent Ies mêmes questions, Ies mêmes croyances erronées.
Voià pourquoi i faut en parer.Partager nos informations.Répendre Ia bonne nouveIIe a qui voudra I’entendre.
Stop à a honte! Stop à a culpabilisation, stop aux traditions et croyances destructrices Stop à a méchanceté .a méchanceté ?Je vais vous donner un exempe :Vous êtes d’accord que critiquer quelqu’un sur son physique, c’est méchant ?
Aors pourquoi Ie aites vous avec vous-même
. .Je parIe à ceIIes qui n’y croyait pus.
Je parIe à ceIIes qui ont envie d’en savoir pIus.

Je parIe à ceIIe squi ont un trésor mais ne I’ont jamais vu.