Si bien à Bienne ( vacances à Bienne suite)

Pourquoi partir ?

Quand on peut tout faire dans la même journée ?

Travailler, aller se promener, découvrir des lieux , des gens,  des animaux, des activités exotiques…..

et des émotions-

Je vous raconte.

Je n’attendais rien de spécial de ma ballade.

Mais en rentrant de mes commis à la Coop, j’ai vu qu’il se passait quelque chose, sous le pont, vers chez moi.

Le pont qui passe sur la Thièle.

Près du lac.

Je ne savais pas ce que c’était.

simplement je voyais, des curieux, photographier et regarder vers le bas.

Peut.être une famille de cygne ?

Rien n’est plus beau que des parents cygnes entourant leurs poussins.

Alorss, je me dépêche, mais pas asser.

Qunad j’arrive au pont, il n’y a plus rien.

Plus rien ?

Je me retourne de l’autre côté, et je vois la Thièle, qui est si belle.

Avec des éclats de diamants.

Je vous montre :

Je n’ai pas besoin qu’il se passe quelque chose de spécial, pour me sentir bien, quand je fais ma promenade au bord de la Thièle.

Arrivée au lac, j’entends des notes de salsa.

Je sais ce que ça veut dire.

Sur la place , devant le port de plaisance, ils sont là.

Les amoureux de la danse.

Ils s’éclatent , et ça m’a permis de faire des photos pleines d’énergie et d’émotions.

Quand on y pense, ce n’est pas forcément logique, dans une petite ville de Suisse, de voir tant de gens danser sur une musique qui vient de si loin.

Mais pas à Bienne.

Bienne est une ville remplie de gens venant de plus d’une centaine de pays différents.

On à la rythme dans le sang.

Et rien ne me semble plus naturel que ça ;  entendre de la salsa au bord du lac de Bienne et que les gens dansent sur cette musique.

Juste à côté, l’armoire à livre est de retour.

Pas encore très remplie, mais j’ai quand même trouvé 2-3 ouvrages intéressants à emporter.

En rentrant, j’ai vu un goéland, perché sur un bateau.

J’étais fixée dessus, et déçue , un instant quand il s’est envolé,

jusqu’à ce qu’il se pose, un peu plus loin sur un poteau.

Parce que juste ne dessous, dans un buisson de mûrier sauvage, se cachait un jeune et magnifique héron.

Quand ils deviennent grands, ils prennent de l’assurance.

Mais celui-ci était encore timide.

J’ai pu l’avoir de loin, et il s’est envolé dès qu’il s’est aperçu de ma présence.

Du coup, je n’ai qu’une photo de loin.

Il me reste l’émotion de cette brève rencontre.

 

 

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