Notre Bienne

Vous savez à quoi on reconnaît un vrai biennois ?
Il n’est pas forcément suisse.
Il n’est peut-être même pas né ici.
Alors quoi ?
Qu’est-ce qu’il faut pour être un vrai biennois ?
Le vrai biennois trouvais toujours un confetti quelque part…
même des mois plus tard, au fond d’une poche, entre deux lattes de parquet…
Mais le Carnaval… je suis triste pour mes amis des cliques… pour les enfants, et tout ceux qui l’attendaient, le préparaient , s’y défoulaient.
Deux ans sans Carnaval… ça semble fou.
Et pourtant, c’est vrai.
Ce Carnaval traditionnel, qui semblait indéboulonnable, se retrouve ,
paradoxalement, dans une parenthèse masquée.
-Parenthèse ?
Qui sait ce que nous réserve l’avenir.
Variant anglais du virus…
Qui nous dit qu’il n’y en aura pas d’autres encore ?
On pense presque tous pareil, devant l’explosion de la vaccination.
Ca semble si rapide, si bizarrement rapide.
Et personne n’a envie d’avoir une thrombose.
Ni aucun autre effet secondaire.
Ah il se trouvera bien quelqu’un pour me dire que : « non. non, le vaccin c’est bien ».
Moi, il me fait peur.
Peur parce que nous n’avons pas assez de recul.
Pour le moindre des médicaments on attends des années , on teste, on surteste avant de le valider,
mais ça ne réduit pas pour autant la liste des effets secondaires.
Je me souviens de ma pilule.. qui entre autre pouvait donner des idées suicidaires et une perte de libido.
Mais à part ça, ça va….
Juste 2800 embolies et thromboses, dont seulement 35 mortelles…en. France.
C’est rien ?
Allez dire ça aux parents des jeunes filles.
Je me méfie des statistiques aussi, et de l’industrie pharmaceutique.
Je n’aime pas les médicaments.
Surement, si je souffrais terriblement je serais contente d’en avoir,
je dis ça, mais quand j’ai eu la pire douleur de ma vie…
c’est-à-dire quand mon corps c’est ouvert en deux pour laisser passer un énorme bébé,
je n’ai rien pris.
Par contre, si je vais chez le dentiste, c’est absolument indispensable.
Nos ancêtres n’avaient pas ces problèmes…
Ils avaient toutes les plantes nécessaires pour calmer les douleurs, je parle de nos très lointains ancêtres, les lacustres.
Jele sais parce que j’ai visité un chantier archéologique.
On y a retrouvé les traces des cultures qu’ils faisaient.
Parmi elles, beaucoup de plantes médicinales.
Bien sur, je ne nie pas les progrès de la science.
Même si mlaheureusement pour moi je suis allergique à la plupart des antibiotiques,
j’ai vu comme ils ouvaient rapidement guérir les infections.
Pour reparler des lacustres, ils étaient courageux, ceux qui habitaiebt juste en bas de chez moi, il y a 6 milles ans.
Parc qu’on se les gèle !!

Facebook
Twitter
Email
WhatsApp

Laisser un commentaire