Mission S.

Si vous me lisez depuis longtemps, vous avez suivi ma transformation, je suis passée de maman à grand-maman.

La petite fille qui à fait de moi  une grand-mère comblée à bien grandi.

Vive et intelligente, mignonne comme tout.

Je me rends bien compte de notre chance d’habiter à Bienne.

D’aller dans une bonne école.

D’avoir ses amies, sa famille au quotidien.

Son arrière grand-mère même.

L’été arrive, il est temps d’apprendre à nager, faire du vélo,

pour découvrir notre belle région.

Voilà pourquoi j’ai créé Bien à Bienne, pour montrer ce qu’il y a de beau, dans notre ville, pas pour alimenter des polémiques.

Mais c’est dur, quand on a du sang français de fermer sa grande gueule.

Quand au fond de soi une voix hurle que quelque chose ne joue pas.

Mais voilà, vaudrait mieux se taire, pour ne pas risquer de s’en ramasser plein la figure, d’être jugée et clouée au pilori, rejetée comme une saleté de tique

qu’on viendrais d’identifier…. bien planquée parmi les poils d’hiver de son chien.

Par chance, je n’ai perdu aucun véritable ami.

Par chance, j’ai des amis que je peux croiser dans la rue et discuter face à face.

On devrait toujours parler avec ses amis, quand on a besoin de comprendre.

Ca m’est arrivé aussi, sur un malentendu, je me suis fait des films vitesse grand V.

Une fois le malentendu dissipé, j’ai eu encore plus d’affection.

Parce que ça rassure de savoir qu’on ne s’est pas trompé sur les gens qu’on aime.

Dans cette ville, j’aime et je me sens aimée de beaucoup.

Je n’ai pas besoin de l’affection de tous.

Je ne peux pas aimer tout le monde non plus.

Ce que je sais, en général, les gens ne changent pas.

Mais ça arrive, pour des raisons incompréhensibles.

Alors, je me base sur mon intuition.

Et je sors faire découvrir à ma petite fille les beautés de Bienne.

en plus il fait beau!

Bon premier mai à tous

 

 

 

Facebook
Twitter
Email
WhatsApp

Laisser un commentaire