La persévérance apporte la réussite

La persévérance… il en faut.

C’est un fait, quiconque à tenté une nouvelle entreprise vous le dira :

Les emmerdes s’accumulent à l’approche du but…

Ma trottinette volée, mon imprimante qui tombe en panne le jour avant …

et la tempête qui m’oblige à plier bagage prématurément.

Sans compter mon dos en compote.

Mon fils qui ignore ou se trouve la poubelle…

Mes chats qui pissent dans les escaliers…

Bref… on peut voir ça comme ça.

Ou autrement :

D’abord, la trottinette.

Je ne l’adorais pas.. elle était un peu trop rigide, donc elle ne me manque pas terriblement.

Et puis, j’aurais pu réparer la vieille au lieu d’en racheter une.

Au final c’est ce que j’ai fait et elle va très bien.

Cette nuit de vol, ma voisine à aussi constaté la disparition de son vieux vélo.

Donc, le ciel n’a rien contre moi en particulier.

Et avant de racheter, je devrais toujours voir si je peux réparer.

Ensuite l’imprimante.

C’est ma faute.. je l’ai brutalisée, cette pauvre porte de machine délicate.

Donc je ne peux m’en prendre qu’à moi-même et heureusement, là, j’ai pu réparer.

Quand à la tempête ? elle m’a épargnée.

J’aurais pu, comme Doris , être salement blessée.

Je n’ai rien, mes bijoux n’ont rien, merci !

Tout va bien.

Mon dos, ca va aussi.

Mon fils… fait des efforts.

Quand aux chats.. c’est des chats, quoi.. leur amour pour les escaliers, leur impression qu’ils doivent parfois marquer leur territoire, c’est très chats.

Les chats ont des chatventures.. c’est comme chat.

Ce que j’ai réussi à faire par contre, c’est de me concentrer sur mon travail.

Me faire passer en premier,  en première, plutôt.

Le jour d’après, c’està dire aujourd’hui dimanche.. j’étais absolument raide.

Au final ,je suis restée de 8h à 16h debout, sous la pluie la plupart du temps.

En ne mangeant quasi rien.

Pas étonnant que je sois fatiguée.

Mais j’ai du soutiens.

Celles et ceux que j’appelle « mes fans » , avec affection,

parce que c’est plus joli que likeur, ses , et plus court

que « amis dans la vie et sur Facebook ».

Qui sont des personnes bien différentes, mais qui ont toutes ce besu point en commun : le sourire qu’elles me donnent.

Ce sourire qui m’énergise.

Quand à l’argent, c’est important l’argent, il faut être consciente, et bien, je dois dire que ça rentre gentiment mais sûrement.

J’ai décidé de faire des prix qui tiennent compte de la valeur du matériel, mais aussi de ce que j’ai du investir pour l’obtenir.

J’avais eu beaucoup de chance sur ce coup là.

Sans celà , il me serait impossible de faire des colliers avec du matériel qui se vends actuellement si cher.

Parce que le temps de travail qui s’ajoute est immense.

J’ai un joli stock, actuellement, je peux encore produire des centaines de pièces facile.

Tout ça est très très motivant.

D’autant que j’ai encore plein d’idées!

Sans oublier mes cartes, qui se vendent toujours aussi bien.

Ce qui est assez fou, à l’époque d’internet…

Preuve que les gens aiment les images de leurs villes et de ses animaux.

Je pense à nos fabuleux cygnes en particuliers, qui me fascinent toujours autant.

Bref, la vie est belle, quand on peut faire ce qu’on aime.

c’est ce qui me motive le plus, être à ma place.

Et je crois ferment que , quand c’est le cas, l’argent suit, tout naturellement.

J’ai déjà hâte de faire le marché de Noêl !

J’aimerais que chacun puisse faire ce qu’il aime dans la vie.

Pourtant j’ai constaté deux choses plutôt contradictoire :

pour y arriver, j’ai du mettre ma vie privée un peu de côté.

Parce que me préoccuper d’autre chose, m’était impossible, voir préjudiciable.

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le stress, les émotions ou la fatigue

font ressortir ma dyslexie.

Vous pouvez voir ça dans les mots ou j’intervertis deux lettres.

J’essaie de me relire, mais souvent je n’ai pas le temps.

Si je me contentais des lettres, ça irait , mais ça atteint aussi mes actes.

Voilà pourquoi je dois me protéger.

Me reposer.

M’occuper de moi en priorité, normalement me permet de mieux m’occuper des autres.

Mais ce nouveau travail , ce challenge de produire et vendre ma propre production, sans qu’on crache sur mon travail ou qu’on me jette des pierres…

mobilisait toute mon énergie.

En parlant de pierre… Pierre, lui, y arrive très bien.. à concilier les deux.

J’espère qu’à force, je pourrai aussi.

Je ne sais pas.

Même si ce n’est pas lui qui écrit ses bédés, il mets une grande énergie dans son boulot et fait plus de marchés.

Pourtant, il est toujours là pour réconforter et conseiller ses ami.es.

Et il sait tout sur tout.

C’est presque énervant. 🙂 j’ai mis un smileys pour qu’on sache que c’est dit gentiment.  Je ne me fiche pas que les gens interprètent ce que j’écris, alors, quand c’est important, je précise.

Ce que j’aimerais dire de tout ça, ce que j’ai appris entre autre, ces derniers temps : c’est qu’on ne fait rien de bien dans la précipitation.

Quand on a beaucoup de travail, on a tendance à vouloir faire vite.

Et c’est là qu’on se plante.

Enfin que je me plante…

Que je laisse ma trottinette dans le corridor, alors que je pourrais la monter,

que je pête la porte de mon imprimante, en voulant me dépêcher…

etc…

Tandis que le soleil se lève sur un nouveau lundi, je me dis…

qu’il avait raison Jeannot…

Rien ne sert de courrir, il faut partir à point.

Quand à l’avenir qui appartiendrais à ceux qui se lèvent tôt, permettez  moi de ne pas être d’accord.

Sur ce, je vais me coucher.

Il est 6h.

 

 

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