Il bondit, se jette à toute vitesse d’une branche haute,
remonte les troncs si rapidement qu’il semble glisser à la vertical.
C’est incroyable, comme il n’a pas peur.
Comme il est sur de lui.
Par contre, il se méfie des humains et ça c’est bien.
Il est brun , presque noir.
tellement joli et fin.
Très difficile à photographier.
Deux bonds sur le sol, et hop, c’est reparti.
Un quart de seconde, il est déjà en haut.
On croit qu’il s’est remis à pleuvoir, mais on comprends que c’est lui, qui dix mètres plus loin secoue les branches mouillées, sur son passage.
C’est l’écureuil de l’elfenau.
comment est-il arrivé là ? en pleine ville ?
Une réponse sur “Écureuil des villes”
qu’il est mignon