Hey vous ! oui vous !

On m’a reproché, (si , si, si vous saviez ce qu’on me reproche parfois!) de trp remercier les gens.

Pire, de le faire d’une manière trop, comment dire? « trop », c’est le mot.

Comme sî Vous étiez indispensables, Vous qui me lisez et, ou aimez mes photos,

Comme si je n’avais pas assez confiance en moi, pour savoir que ce que je fais à de la valeur.

Et pourtant, je vais continuer,.

parce que c’est vrai, Vous m’êtes indispensables.

Non seulement continuer, mais je vais en rajouter une couche.

Je viens de comprendre quelque chose d’essentiel.

Avec mon dernier livre.

Comme souvent, dans les remerciements, l’auteur,, Douglas Preston, commence par sa femme, qui le soutient dans son travail.

Pour les artistes en général , les auteurs en particuliers, avoir, de nos jours, un compagnon qui lui apporte son soutien, est plus que précieux.

 

Du soutien moral.

Ce que vous faites quand vous me lisez, mais surtout, quand vous commentez , et, ou que je vous rencontre dans la rue et que vous m’en parlez en direct.

 

Sans vous, jamais je n’aurai autant travaillé.

Sans vous, jamais je n’ aurai cru autant.

Je me serais laissé décourager par le nombre , toujours plus croissant de photographes et d’auteurs.

Dans ma vie, jusqu’ici, , je parle de chez moi, à la maison, ce que je fais n’intéresse personne.

Je n’ai pas de compagnon, et mes enfants se fichent royalement de mes œuvres.

Alors,  mes amies très chères, qui ont commencé à apprécier mon travail et à me le dire, mais aussi de parfaits inconnus qui ont likés et commenté,  jouent un rôle crucial dans le sens que j’ai décidé de donner à ma vie.

 

Entendons -nous bien, j’ai toujours voulu être écrivain.

Je le suis, par nature même, parce que j’ai ce don, de pouvoir écrire , pendant des heures, sans même y penser, et d’aimer ça.

Je croyais que tout le monde pouvait.

Peut-être, mais encore faut-il aimer ça.

Sans encouragement, de plus , le faire autant que je le fais, vouloir en faire son travail, c’est quasi impossible.

Tant , nous sommes, nous les créatifs, de petites choses sensibles.

Et les avis des autres comptent.

Énormément.

Pareil pour la photo.

Surtout que, dans mon cas, si je n’avais pas eu Didier, Jean-Daniel, ma soeur qui m’a donné l’idée du blog, je n’en serais pas là aujourd’hui, avec des milliers de photos, des années de pages , de l’exercice , de la pratique de l’expérience.

Je peint aussi, j’ai failli tout arrêter, parce qu’un organisateur d’expo m’a fait un coup de p…..

Heureusement, un ange s’est glissé dans un inconnu qui m’a soutenu  à ce moment là.

Donc, vous tous, vous êtes mes anges.

Vous qui me lisez l à maintenant tout de suite, et bien sûr, quelqu’un qui est rentré dans ma vie récemment, nommée Isabelle.

Louée soit-elle !

Non seulement, elle aime ce que je fais, mais elle a déjà commencé à en faire quelque chose..

Ce qui est fantastique!

ce qui est la réalisation d’un de mes rêves le plus cher.

Tout devrait donc rouler, et je devrais passer mes journées à chanter.

Mais je remarque , qu’après une période d’euphorie, je me retrouve à ramer comme une perdue.

Comme une exploratrice perdue au milieu de la jungle,  naviguant sur un fleuve semé d’embûches.

Des saletés d’imprévus qui s’accumulent, comme la vaisselle sale  quand on ne la fait pas au fur et à mesure.

Je suis en train de faire le tour, j’y suis presque arrivée.

Je vois le bout du tunnel, c’est vrai.

Mais pour ça, j’ai du me rendre comporte que toutes ces petites et grandes épreuves qui me sont envoyées ont du sens.

Qu’il ne fut surtout pas flancher maintenant.

Donc, j’analyse.

Donc je pense à vous, constituent essentiel de mon travail.

constituant, parce que j’écris, je photographie, je crée, pour vous.

Pour ceux qui apprécient.

Qui eux font d’autres choses, que ce soit la cuisine, comme José,

(qui dit de si gentilles choses sur moi.-)

ou la recherche incessante d’activités qui comble ses enfants, comme Céline.

Nos vies sont nos oeuvres.

Dans ce sens là, nous sommes absolument tous des artistes.

Après, chacun à la droit de décider d’en faire quelque chose ou pas.

Mais le artistes se révèlent dans les activités les plus inattendues.

Réfléchissez bien, vous qui pensez , à tort, n pas être un artiste, à ce que vous aimez faire, à la façon dont vous le faites.

Que ce soit des gâteaux en pâté à sucre, ou aux photographies de vos Airedale Terriers, comme Véronique.

que ce soit votre corps , vos tatouages, comme mon voisin, qui  en à le visage constellé , votre travail, votre sport.

Votre maquillage, comme Danaé qui est si douée.

Ce que vous aimez faire et que vous faites bien, c’est votre façon d’être un artiste.

Facebook nous a permis de nous voir, de nous regrouper, de nous encourager.

Facebook a révélé des vocations, qui existaient déjà, mais qui ne se serait peut-être pas développé autant sans l’aide d’internet.

Nous sommes dans une nouvelle ère.

Avec de nouveaux moyens, , qui nous donnent des possibilités inespérées et illimitées.

Il est temps de les utiliser.

D’y croire.

Dans mon cas, d’accepter que ma vie soit ce qu’elle est, sans soutien sentimental à mes côtés, pour relire ce que je fais, et m’encourager.

Puisque vous êtes là.

Puisque ,maintenant, j’ai rencontré Isa, qui m’encourage et fait quelque chose de concret avec mon oeuvre.

Preuve incontestable que j’avance.

Les épreuves et autres attaques de la vie sont là pour me consolider

J’ai une grande peine à regarder autre chose que l’instant présent.

Retourner dans mon passé est  un supplice  auquel je dois faire face.

Puisque je peux y trouver de bonnes choses.

Accepter les critiques, que je sois d’accord ou non est primordial aussi.

Rester autant délicates avec les autres que je voudrais qu’ils le soient avec moi

Sachant que la moindre remarque peut m’abattre , tel un arbre sec soufflé par la tempête.

Alors, je me relève.

Ca aussi je sais faire.

c’est moi l’alpiniste des précipices !

Je me relève et je pense à ce qui me donne des forces.

C’est Vous.

Soyez en remercié, mille et mille fois.

Famille ami,es et inconnus.

Et vous, là, oui vous, toi , qui est en train de me lire, là maintenant tout de suite.

Tu m’est plus qu’important.

Tu m’est indispensable.

Sache que, cette énergie que tu me donne, en prenant sur ton temps pour me lire, va continuer de circuler et te revenir, encore plus fort.

C’est une des règles immuable de la vie.

On ne doit pas donner pour recevoir, mais quand on donne, on reçoit.

Vous saisissez la nuance.

Recevoir c’est accepter de donner plus loin.

Ms lecteurs sont intelligents, je n’ai pas besoin de leur faire un dessin.

Ce matin, je sens mon énergie revenir doucement.

Je pense encore à mon ami Martin, qui s’est occupé d’ouvrir un coin de la barrière pour que mes chats puissent passer.

A ma très chère Maude, qui me défendrait même si j’avais tué quelqu’un.

A toutes mes amies que j’adore, et ui n’ont aucun doute sur la force de mon amitié.

A ma famille, qui m’aime et c’est tout ce que je lui demande.

Tout ce que nous faisons de bien, permet au monde d’aller mieux, et nous reviens.

Alors à l’attaque de ce jour nouveau !!!!

Venez à moi, petites et grandes épreuves, je vous attends, et je saurai m’occuper de vous !!!

Pas de compagnon, pas de vacances à la mer, pas beaucoup d’argent,

des obligations familiales particulières… et alors ? chacun son lot.

Au lieu de regarder ce que je n’ai pas, je dois voir ce que j’ai :

du soutien, du travail, la santé , un joli verni à ongle  bleu pailleté que j’ai réussi à mettre à peu près convenablement, et un bonne grillade dans mon frigo pur ce soir.

Un chien, encore vivant, qui me regarde en attendant d’être promené.

On v y aller . Prisca !!!

Le rôle du photographe et de l’écrivain

Je voulais être avocate, défendre les innocents, appliquer la justice… et puis, j’ai compris que la justice des hommes laissait à désirer et j’ai abandonné l’idée.

après, j’ai voulu être journaliste.

Mais encore une fois, j’ai compris que ma liberté serait restreinte, que je ne pourrais pas écrire ce que je voulais.

Et puis , internet est arrivé .

Ecrire sous mon nom m’a demandé du courage.

Avec tout ces dingues en liberté…

Le meilleur moyen d’être libre est encore d’écrire des c.ontes.

Ce qui me fait rigoler quand j’y pense, c’est que même la, des gens se reconnaissaient.

-T’es sur que c’est pas moi, la grenouille ?

Mieux :

J’ai bien reconnu que tu parlais de moi…

Et parfois c’est vrai, il y  des messages très personnel dans mes contes.

J’ai remarqué que parmi mes amies,  certaines ont des problèmes d’écoute.

Au point , qu’elles en seraient presque inconsciemment irrespectueuses.

Vous couper la parole, ou regarder ailleurs, en se détachant de la conversation, ce n’est pas agréable.

Pourtant, je ne dis rien-

Je devrais le dire, à votre avis ?

Et-ce qu’on est là pour pointer les défauts des autres,  ou pour s’améliorer soi-même ?

Les deux ?

Sûrement.

L’éclipse était magnifique ce soir.

Le lendemain.

Je me relis et je me rends compte que c’est un peu violent, ce que j’écris.

En fait, j’aurais du terminer mon propos.

J’ai remarqué ça, parce que c’est quelque chose que je fais aussi bien sur.

J’en ai souvent parlé d’ailleurs, on remarque toujours miieux ce qu’onn connait bien.

Mon but n’étant pas de blesser les gens, mais d’illustrer mon propos sur ce qu’on peut dire, ou écrire  ou pas.

J’espère vraimentn’avoir blessé personne.

En même temps, je me rapelle très bien le jour ou quelqu’un m’a dit, que je n’écoutais pas.

C’était un touareg, au milieu du désert.

Je ne pouvais pas vraiment m’enfuir, et je me suis ramassé ça en plein dans la figure.

Pendant qu’il continuait tranquillement de boire son thé.

J’ai du passer par toutes les couleurs de l’arc -en -ciel.

Et puis, je me suis promis de faire plus attention.

Je ne sais pas si j’y arrive vraiment, mais j’essaie en tout cas.

Etre délicat dans sa façon de dire les choses, ça s’apprends.

J’ai encore des progrès à faire.