Il y a des gens comme ça, qu’n croit immortel.
Des gens qu’on connait depuis toujours.
Des gens qui nous connissent depuis toujours.
Qui font partie de notre enfance, dans ce quelle a de chaleureuse, quand on visite nos souvenirs.
Même si on le les voit plus si souvent, on sait qu’ils sont là, pas si loin,
La distance ne compte, puis qu’ils ont toujours été proche.
Parce qu’ils font partie de nous.
Par la vie, par le sang.
Alors bien sûr, il ne s’appelait pas Papin, mon tonton, ni même Pimpin, ou Peum
Mais on l’appelait comme ça.
Ce n’était pas un homme ordinaire.
C’était un personnage de film.
Un caractère.
Reconnaissable entre mille dans le paysage de son petit village, avec son eternel marcel blanc, presque aussi blanc que sa peau en dessous, qui contrastait avec son teint de mafioso sicilien.
Avec ses cheveux noirs et sa clope.
C’est l’image au dehors.
Avec le sourire. et son accordéon.
C’était mon tonton