Remerciements, / Tentative …

Il y a des gens comme ça, qui relient les uns aux autres.
En vrai, c’est le cas de tout le monde.
Ca devrait.
C’est notre capacité d’être humain.
C’était celle de Joël.
vous êtes plus de 1500 , de tout les coins du monde, jusqu’en Amérique , à être venu lire son hommage.
Sans compter les partages qui multiplient encore ce chiffre.
Depuis des années que je tiens ce blog, c’est le record absolu de visites le même jour, et de provenance internationale.
La preuve, s’il en fallait une, de l’impact de Joël sur le monde.
J’en profite pour vous remercier, en particulier la famille.
Merci pour les belles choses que j’ai lu en commentaire ,ici et sur Facebook.
A travers ceux qui l’ont connu, par son exemple, l’esprit de Joël continuera de nous inspirer.

Aimer les gens :
C’est ce qui nous fait grandir, avancer, apprécier la vie.
Parfois aussi, il faut des conflits, les résoudre , les affronter fait partie de nos épreuves pour évoluer.
Pourtant…
Certains luttent de toutes leur mauvaise foi pour rester seul.
j’en connais.
Ceux-ci, on a beau tenter de leur parler, leur demander un peu de respect,
ce même respect qu’ ils se plaignent de ne pas recevoir et qui motive leur mauvaise humeur permanente:
ils restent figés dans cette attitude bornée. qui , croient-ils, leur évite de souffrir.
Alors que c’est tout l’inverse.
Quand on se blinde, le mal ne passe pas, mais le bien non plus,
Au final, on devient invisible.
Ou alors, on attire ce qui nous fait si peur ; la haine des autres.
Si on y réfléchi, c’est logique.
On attire ce qu’on dégage.
Quand on est incapable de la moindre confiance, alors on ne peut pas aimer vraiment.
La confiance et l’amour sont intimement liés.
Et on se retrouve seul, avec ce soi-même qu’on déteste pour unique compagnie.

J’ai essayé aujourd’hui de parler à quelqu’un comme ça.
Quelqu’un qui pense que me manquer de respect n’est pas important.
Je lui ai dit ma façon de penser.
Vous auriez du voir la tête qu’il faisait.
Déstabilisé.
Comme si quelque chose s’écroulait.
Ce droit qu’il se donnait de ne pas me considérer, mais de croire qu’on peut quand même être en relation .
Ben non.
C’est fini ça.
Je refuse absolument de me laisser polluer par ce genre de toxicité.
Si une personne, par exemple, qui dit du mal de moi à l’ extérieur,
et que ça vienne à mes oreilles,
crois qu’elle peut continuer de me voir comme si de rien n’étais,
elle se trompe.
Parce que ça me blesse.
Je refuse de garder cette blessure, de me taire, et de risquer de blesser quelqu’un d’autre.
Parce que chaque manque de respect, même infime, est comme une dose de poison.
Ca fait des dégâts.
Si on ne réagit pas de suite, ça fait son chemin dans notre esprit, et ça peut ressortir , sans qu0on s’en rende compte.
Et si ça ne ressort pas, ça nous empoisonne.
Je suis trop sensible, trop consciente de ça pour accepter de me laisser détruire.
C’est arrivé par le passé.
Je sais de quoi je parle.
J’ai failli tout perdre à cause du manque de respect.
Du coup, je remarque des amies qui se laissent blesser par leur conjoint, leur famille, par exemple, et subissent, en croyant qu’elles peuvent prendre sur elles.
Qu’elles peuvent le supporter, que ce n’est pas si grave.
Je l’ai cru aussi.

Maintenant, je sais comme c’est faux.
Le manque de respect fait des dégâts graves.

Il faut parfois des années pour en guérir.
C’est pour ça que désormais, je réagis :
Ceci dit
J’aurai deux réactions, suivant mon degré d’affection.
Si je me rends compte qu’en fait, rien de bon ne ressort de nos interactions, je ne verrai plus cette personne et je ne gaspillerai pas un centilitre de salive pour lui expliquer pourquoi.
Par contre, si j’ai assez d’affection et que notre amitié m’importe, alors, je lui parlerai, comme je viens de le faire.
Je lui laisserai encore le temps de décanter.
Et si, à la prochaine rencontre, je vois qu’il persiste, alors, je n’insisterai pas. Je m’arrêterai là.
Par contre, si notre conversation a eu son effet, ou qu’il a pris conscience d’une manière ou d’une autre du manque de respect de son attitude,
et qu’il le regrette,
alors là, on peut avancer.
Ce genre de personne , sur le moment se croit tellement dans son bon droit,
n’est tellement pas habitué à ce qu’on lui demande de revoir à la hausse son niveau de respect,
que je doute un peu de ses capacités à admettre ses torts.
La remise en question, tout est dans ces 4 mots…
Je ne perdrai plus mon temps avec des gens incapables de ça.
Admettre qu’on s’est trompé, qu’on a fait du mal, ce n’est pas si difficile au fonds.

Ca peut même faire du bien.

Affaire à suivre
Je vous raconterai.

Facebook
Twitter
Email
WhatsApp

Laisser un commentaire