Il à bien raison, Karadoc, le gras, il en faut.
On ne peut pas vivre sans .
Ces derniers temps, j’étais si crevée, que du coup, j’en oubliais de manger.. la journée.
Parce que forcément, la nuit, j’avais si faim, que je me réveillais pour me préparer des super-müselis à base de grenages et de ces nouveaux corn-flakes au chocolat de Kellogs que j’adore.
Ca me redonnais de l’énergie.. et m’empêchais de bien dormir.
Me voilà encore plus crevée et mal nourrie.
C’est un cercle vicieux.
D’habitude, je fonctionne un peu mieux que ça, et si il le faut, je peux me faire un bon steack avec des frites, le soir , histoire de bien bosser toute la nuit.
Ca ou quelque chose de bien plus raffiné.
Parce que j’adore faire la cuisine.
Avec des bons produits,.
Prendre mon temps, faire une belle assiette.
Même rien que pour moi.
Amis végans fermez le yeux.
La période de la chasse arrive et j’ai une recette pour le cerf, avec une sauce aux raisins , qui est à tomber par terre.
Manque plus qu’un bon livre, une bonne série ou un bon film.
C’est le bonheur.
Travailler sur mes photos , écrire un texte pour mon blog
Dormir comme un bébé le matin ensuite.
C’est mon rythme.
Ca me va très bien.
Si j’essaie d’avoir le même que tout le monde , dormir manger bosser.. ça ne va pas du tout.
En fait le secret d’une bonne vie, tout le monde le connaìt :
c’est bien manger, bien dormir, et bouger.
Pour ça, j’ai Priska.
Quand on a un chien, une chienne en l’occurrence, on est obligé de bouger.
Surtout quand elle est grande, c’est logique.
Plus c’est grand, plus ça à besoin d’espace, un chien.
Un micro-chihuahua qui trottine dans l’appartement avec ses mins pattes fait déjà sa dose d’exercice. ca n’empêche qui lui faut aussi de l’air frais.
Un croisé berger-allemand-labrador comme Prisca, qui fait bien 50 kilos, il faut la sortir au moins 4 fois pas jour.
La première promenade, je la fais le matin hyper-tôt, juste avant d’aller me coucher.
La deuxième vers midi.
La troisième c’est la grande ballade, à 16h.
C’est Martin qui s’en charge.
et la quatrième le soir.
C’est ma préférée.
Je vais le long de la Thièlle.
L’eau noire ressemble à du vinyle.
Tout est calme et avec un peu de chance je croise un gros hérisson, voir plus rarement des castors, ou un renard.. ou une fouine.
Plus rarement des rats.
Heureusement.. parce que, autant j’adore les rats domestiques,
autant les sauvages me foutent les jetons.
Revenons à nos moutons.
Il faut se nourrir normalement.
Maintenant, heureusement pour moi, je peux.
Et se reposer.
Ecouter son corps.
Observer les signes.
Alors quand je vois des petits éclairs blancs,
en montant les escaliers, je sais que ce ne sont pas les extraterrestres
qui ont débarqués dans ma maison.
En fait c’est dans es yeux : le vitré qui se sépare de la rétine , par intermittence.
Ca vient avec l’âge.
Et ce n’est pas grave.
Je regarde la télé, il y a un film très intéressant sur le journal qui a révélé
que l’Eglise était au courant des abus commis sur les enfants et a protégé les abuseurs.
Des prêtres , moines soeurs, abuseurs ou au courant des abus.
Et des milliers d’enfants par le monde dont la vie a été brisée.
C’est bien expliqué, dans ce film, le processus qui conduit un enfant à se faire contrôler par un adulte… avec Dieu de son côté.
J’étais catholique, par éducation, j’avais déjà remarqué que deux ou trois choses me gênaient.
Ce qu’on appelle pudiquement : les erreurs de l’Eglise..
Mais bon, je ne vais pas déprimer mes chers lecteurs.
Jen esuis plus catholique maintenant.
Je ne peux pas cautionner une religion quel quelle soit.
Par contre j’ai une foi indéboulonnable, ce qui n’est absolument pas contradictoire.
Bref, dans les autres facteurs importants pour bien vivre, il y a le sourire.
La joie de vivre.
La mienne était ternie parce que je ne pouvais plûs sourire sans risquer de montrer ces affreuses taches dues à la parodontose.
Mon dentiste, loué soit le Dr.Januth, s’en est chargé et je peux sourire à nouveau.
J’avais tellement l’habitude de ne plus sourire normalement, que j’ai
chopé un nouveau muscle facial, au coin de l’oeil.
Un muscle qui ne travaillait plus.
Je me regarde dans la glace et je souris à m’en faire pêter les coins de la bouche.
Ca fait bizarre.
Même des semaines plus tard.
J’en reviens toujours pas.
Le moral c’est le sommet et la base en même temps.
Le truc qui fait teni r le reste en place.
Voilà pourquoi j’ai le plus profonds mépris pour ceux qui s’attaquent au moral des autres.
Et que j’aime tellement ceux qui contribuent au bien-être général.
En commençant pas soi.
Comment faire du bien si soi-même on ne va pas ?
En réalité c’est possible, c’est même indispensable : le seul moyen pour aller meiux : trouver quelqu’un qui va encore moins bien, et l’aider un peu.
C’est la chaîne qui tient le monde.
Vraiment.
Quand on fait ça, on ne renforce pas que l’autre, on se renforce soi-même.
Voilà.
Une toute bonne semaine à vous.