Aujourd’hui, en passant, j’ai fait un petit coucou à ma copine Doris.
Doris, l’année passée ,elle s’est retrouvé coincée entre deux stands, et la tempête.
Bilan, une main et un bout de bras salement amoché,
Les lunettes , solides, heureusement, ont giclé à plusieurs mètres, tant le choc était violent,
C’est dire, si ily en à une qui sait à quoi on a échappé samedi, cêst bien elle.
On à parlé e ça, mais aussi du confinement.
Bien sûr, c’est The sujet.
J’ai pris conscience, que mine de rien, ça nous à tous secoué moralement, et le moral c’est bien connu , influe sur le physique.
En bref, les émotions s’installe, qu’on le veuille ou non et prennent de la place.
Donc, je me suis rendue compte d’un truc, grâce à notre conversation que je n’étais pas la seule à sentir ça.
Parler ensemble ,se dire ce qu’on pense en vrai.
Maintenant qu’on peut se revoir, se reparler, on ne va pas se sortir des banalités.
On se dit des choses simples, mais vraies, et ça fait du bien.
Mon voisin tout tatoué et tatoueur, d’ailleurs, m’a parlé de sa passion pour les oiseaux.
Du coup on a parlé canards,
Je vous souhaite une toute belle journée