Il y a des soirs, comme ça où j’ai l’impression que l’univers me parle en suisse-allemand.
Je comprends qu’il veut me dire quelque chose.
Mais quoi ?
Bon, ça fait pas mal aux oreilles, puisque c’est une métaphore.
L’univers ne me parle pas vraiment en suisse-allemand,
heureusement.
Mais quand même , dans le sens ou c’est pas clair du tout,
juste des bribes de sens que je saisi au vol, et ça pourrait me causer des maux de têtes , voir des tumeurs,si j’essayais de comprendre.
Deuis le temps que j’habite à Bienne, ville bilingue, je devrais le maîtriser.
Mais non, mes amis suisse-allemands, bien conscient de ce qu’ils feraient subir à mes oreilles civilisées, s’abstiennent, par politesse,
D’ailleurs, je remarque au passage ce phénomène curieux.
autant un suisse-allemand parait barbare quand il s’exprime dans …
j’allais dire sa langue, …
on va juste dire qu’il s’exprime.
Eh bien, quand il parle le français soudain, il à l’air poli et bien élevé.
Alors que la minute d’avant, vous pouviez croire qu’il vous insultait gravement.
En réalité, il vous déclarait son amour.
Mais je vous jure ; même en connaissant deux trois mots, il est difficile de faire la différence.
Tenez, je me souviens de ma belle .soeur, qui téléphonait depuis chez nous, (on du jeter l’appareil après ) .
Avec ma mère, on était dans la cuisine, à l’autre bout de l’appartement.
Vu la violence de ce qu’on entendait, on pensait qu’elle était en train d’engueuler quelqu’un, qui lui avait fait du tort.
En réalité elle prenait des nouvelles de sa mère..
Tenez, au lieu d’acheter des nouveaux avions pour nous défendre ; on pourrait faire des économies en postant des soldats suisses -allemands à nos frontières.
Personne n’aurait plus envie de nous envahir.
Le suisse-allemand, c’est de l’allemand torturé :
on lui arrache des lettres , en ne gardan t que les plus dures.
Celles qui se prononcent avec le fonds de la gorge,
Rien que d’en parler , la température se mets à baisser.
STOOOOP!
Avec tout ça, on ne sait toujours ps pourquoi tu accuse l’univers ,,,,,,,,,
Ben j’étais en train de peigner Prisa, dans la rivière.
Le soir.
J’ enlève le harnais et je continue,
quand soudain, plus de harnais.
Emporté par le courant.
J’ai du sauter dans la rivière pour le récupérer..
A cet endroit , il y a pas mal de passage, entre les canettes flottants, et autres objets indeterminé, on ne peut pas dire que c’était appêtissant.
Mais un harnais comme ça.. ça vaut ….
Je m’auto-épate
Un peu plus tard, je demande à mon fils de descendre les trois énormes poubelles.
Il râle.
Pendant ce temps je cours à la Coop chercher des vignettes..
Elle est ouverte jusqu’à minuit.
Mais ils étaient à court…
Je prie pour que mon fils n’ait rien fait,
Mais je les vois, les trois, bien grosses devant la maison.
Impossible de les laisser comme ça toute seule, sans vignette.
J’ai du les remonter..
Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire ?
Je cherche encore.
Mais quand même j’ai passé une superbe après-midi à la piscine de Nidau.
En famille et entre amis..
Et aujourd’hui , j’ai un programme de folie !!!
Merci i la Vie.
J’essaie en collaboration , un nouveau concept de shooting et d’histoire perso..
En suivant une biennoise qui a réussi à franchir des obstacles très durs, e croire en elle malgré tout.
Je cumule les pépites.
Pépites qui se traitent avec soin.
La rentrée sera merveilleuse !