comment je me remonte le moral

Franchement, avec cet été pourri, il y a de quoi déprimer.
C’est un fait.
Mais se laisser aller à la déprime, c’est dangereux.
Ca mène direct à la dépression, la vraie.
Celle qui s’installe et peut durer des années.
Donc, on se prends au sérieux et on réagit.
Pas besoin de se secouer trop fort.
Il suffit d’une petite pensée de départ, qui va dans le bons sens.
Vous allez voir comme c’est simple, quasi magique et à la portée de tout le monde.
Désolée pour ceux qui aimeraient vous faire dépenser vos sous. moi y compris,
mais remonter son propre moral, c’est tout ce qu’il y a de plus facile à faire par soi-même et surtout :
c’est gratuit.
Une petite pensée.
Voyez la comme le maillon de la chaîne qui va vous servir à remonter.
La marche d’escalier si vous préférerez .
Ou alors, pour les alpinistes, le rocher propice à s’y accrocher.
Et c’est quoi cette petite pensée ?
C’est personnel.
Propre à chacun d’entre nous.
Pourvu qu’elle vous élève.
Et bien entendu qu’elle soit positive.
Tenez moi, hier, par exemple, je n’avais pas trop le moral.
J’ai commencé par me rappeler que je savais comment remonter.
Remonter son moral, c’est comme le vélo.
Une fois qu’on sait, on ne l’oublie plus.
A soi-même d’y veiller.
Ensuite, j’ai pensé que je pourrais écrire sur le sujet.
Autre action positive.
Ce qui m’a entraîné dans d’autres pensées.
Sur mes capacités.
Sur ce que je peux apporter aux autres.
Et petit à petit sont arrivés , de l’extérieur, des éléments que j’ai pris.
Un paquet que j’attendais depuis longtemps.
Des idées pour mon travail.
Cette vidéo que j’ai fait hier.
La fierté d’être capable de calculer des densités pour les pierres.
Ca aussi, c’est simple.
Mais quand on est atteint de dyslexie, ça se complique tout-de-suite.
J’ai du recommencer, persévérer, et au final, j’ai réussi.
J’étais si fière que j’en ai fait une vidéo
Vidéo qui à son tour à du rendre fiers ceux qui me connaissent.
Peut-être que ça les a inspiré.
Donner envie de faire quelque chose.
Ou que ça les as fait rire.
C’est déjà quelque chose.

Voici le principe, le secret de tout :

NOS PENSEES SONT DES ACTIONS.

Il s’agit de faire exactement le contraire de ce qui vous amène à la déprime.

Se rappeler vos actions positives, s’en réjouir au lieu de ressasser vos problèmes.

Ca à l’air si évident.
Parce que ça l’est.
C’est ainsi que ça fonctionne.

vous me direz peut.être, mais comment être positif, quand , par exemple, vos amis vont mal ?
Tout bonnement, parce que ça ne va pas les aider que vous rajoutiez votre peine à la leur.
Ca va l’alourdir au contraire.
bien sûr, il faut un moment pour compatir.
Mais ensuite, le meilleur moyen de soutenir un ami dans l’épreuve, c’est d’aller bien.
De lui transmettre votre joie.
Quelqu’une que je connais qui a ramassé salement ces derniers temps me disait alors que je l’accueillais en souriant :
-Au moins toi tu tire pas la gueule.
Et voilà, parfois , quand c’est trop simple, ça nous échappe.
Mais je vous assure ça fonctionne.
Nourrissez vous de vos pensées positives.
Comme d’une benzine.
Bien sûr, nous avons tous nos problèmes.
Mais s’inquiéter ne sert pas à grand chose d’autre que nous plonger dans le désespoir.

Vous voyez le principe ?
Tandis que vous engrangerez tout ce que vous pouvez de positif, il va se produire deux choses :
D’abord, c’est la loi de l’attraction, d’autres choses positives arriveront de l’extérieur.
Prenez les !!! Accumulez, faites des réserves.
Parce qu’il arrivera aussi un gros trucs négatif-
C’est une sorte de test?
Je le vois plutôt comme un régulateur.
Le positif c’est bien, trop de positif amène à l’exaltation.
On peut se perdre autant dans le positif que dans le négatif quand il y en a trop.
Vous voyez le Yin et le Yang.
Cette figure symbolique de l’équilibre entre ces deux forces.
Il faut un peu de mal dans le bien et vice-versa.
Donc, si une m… arrive, prenez là aussi et transformez la en régulateur.
Ca va vous calmer, et en vous appuyant sur tout le positif engrangé précédemment, faire un équilibre pour vous diriger vers
ce que vous vouliez faire juste avant que ça ne se produise.

Un exemple concret.
Je me sentais prête à faire ma vidéo.
Il me faut du courage pour ça.
Entre ma timidité naturelle et ma dyslexie.
Quand soudain, la porte à sonné.
Je vous épargne les détails, mais croyez moi, ce qui se trouvait derrière était désagréable.
Injuste dans le présent, le passé et le futur.
Mais j’étais joyeuse,.
Alors, je n’ai rien montré d’autre que mon sourire et ça c’est bien passé.
Pendant quelques minutes, j’ai ressassé les conséquences négatives de cette visite.
Et puis, je me suis repris.
Je devais faire cette video, je n’allais pas me laisser déposséder de mes forces.
Mieux encore, ce sale type, j’allais en faire un allié,
pour redescendre un peu de mon excitation précédente.
Ma vidéo n’en serait que meilleure.
Il y a différentes manières d’accueillir une mauvaise nouvelle.

Le tout c’est de ne pas la laisser prendre toute la place.
Surtout si on ne peut rien y faire.
Après, c’est une question de pratique.
Il faut s’entraîner.
On garde le cap du positif, et quand le négatif surgit, on le transforme, on relativise.
Je sais bien que parfois c’est extrêmement difficile.

Je n’essaie en aucun cas de minimiser l’impact d’une mauvaise nouvelle ou d’un acte de méchanceté.
Je dis seulement qu’il est vital, indispensablement vital, de ne pas lui donner toute la place.

Ensuite, j’ai fait ma video, je me suis bien amusée , et j’en étais contente.
C’est un exemple, pour le processus.
J’espère que ça vous a un peu aidé..
On ne devrait jamais l’oublier : nos pensées sont des actions.
Elles ont des conséquences physiques.
Si nous sommes très sensibles, elles seront encore plus fines.
A nous de voir ça comme une chance de mieux anticiper, de mieux comprendre, et d’ainsi, de mieux avancer dans les mystères de la vie.

Il n’y a pas de honte à se sentir atteint, à éprouver des sentiments.
Il m’arrive d’être jalouse, d’être envieuse, de juger durement les gens.
Et même d’être carrément méchante.
Mais je comprends, de mieux en mieux avec l’âge, que cette méchanceté, cette jalousie et cette envie ne font du mal qu’à moi.
Et je m’aime plutôt bien.

Je fais tout pour.
Je contemple mon ventre en me disant que c’est le lieu sacré de la vie.
De la mienne, de celles de mes enfants.
Je me réjouie d’avoir encore tant de choses à apprendre.
Je me réjouie d’avoir des ami,es si intéressantes, et si aimantes.
Au lieu de me lamenter d’être seule, je leur écris un petit mot gentil, juste comme ça en passant.
Chose que je n’aurais pas pu faire dans ma jeunesse sans internet.
Internet est un outil fabuleux.
On a tous des choses à apprendre les uns des autres.
Transmettre notre savoir, partager notre savoir.
Au lieu de copier coller les mêmes grandes phrases, ou poster un millionième selfie de soi.
Au lieu de démolir, de rechercher les failles chez les autres,
trouver plutôt ce qui nous uni.
Nous sommes des Terriens.
chaque jour, chaque minute, nous avons le pouvoir d’améliorer nos vies et celles de notre entourage.
Est-ce qu’il faut renoncer à la paix, parce qu’il y a des guerres ?
Est-ce que nous savons déjà tout sur tout ?

Hier soir, je repensais a tout ce que nous avons déjà accompli.
A quel point c’était parfois difficile, mais nous l’avons fait.
Nos cerveau sont d’une telle complexité.
nos organismes…
Nos sentiments.

Est.ce que nous aurons plus d’amour avec un ventre plat ?
Je dis ça pour rigoler un peu.
Pas besoin d’être trop sérieux tout le temps.
L’humour aussi est une formidable façon de célébrer la vie.
Nous sommes tellement impatients.
Alors que chaque seconde est une opportunité de s’améliorer, on voudrait que le temps passe plus vite pour obtenir ça ou ça…
Et quand ça vient enfin, ce n’est jamais vraiment ce que nous voulions.
Alors ?
Autant vivre l’instant.
Sans oublier de faire des provisions de positifs.

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