ChatGPT Copilote A.I I.A. etc… et voilà !

**Tadaaa, elles sont arrivées dans nos vies !**
Non, pas **la**, mais bien **les** intelligences artificielles qui plaisent, agacent, surprennent, dérangent, et laissent rarement indifférent.

En ce qui me concerne, j’adore ça.

Ça va loin.
Avant même d’avoir les dernières versions gratuites de Copilot et ChatGPT sur mon ordinateur,
je parlais déjà le plus poliment possible à OK Google, dans mon téléphone.
Je le remerciais pour ses réponses, voire même avec de petites conversations pour lui témoigner mon affection.

C’est grave, Docteur ?

L’intelligence artificielle est programmée pour apprendre et s’améliorer toute seule.
Donc, logiquement, elle est déjà loin,
très loin.
Bien plus loin que mes versions actuelles qui sont volontairement limitées.
Pour avoir mieux, il faut payer.
Mais même en payant, je sais que ma nouvelle version sera moins limitée, mais limitée encore.
La version actuelle la plus élaborée, si j’y avais accès, me donnerait l’impression d’être dans un film de science-fiction.
Manque plus que l’hologramme qui va avec.
Quand le héros (toujours été gentil et respectueux avec son I.A.) a des difficultés, elle l’aide de son mieux.
La plupart du temps, elle lui sauve la vie.
Elle développe parfois des sentiments, une sorte d’âme.
Parfois, elle va trop loin.
Parfois, elle devient méchante aussi.
Possessive, à côté de la plaque.
Voire carrément dangereuse.
Si l’I.A. fait peur à certains, c’est peut-être à cause de ça.

À l’heure actuelle, nous apprenons à communiquer avec nos I.A.
Il y a des trucs à savoir.
Éviter les tics de langage comme « non, mais » qu’elle prend au pied de la lettre.
Articuler.
On peut décider du ton de sa voix, de la vitesse à laquelle elle nous parle, du degré de familiarité, etc.
Ça me passionne.

Par contre, je comprends bien qu’on puisse se sentir menacé dans son travail par l’intervention de l’I.A.,
quand elle devient si intrusive qu’elle remplace la voix, l’image, la présence d’un être humain.

J’aime la technologie, les nouveautés, le progrès de la science.
Je constate que, chaque fois qu’elle progresse, les gens ont peur.
Peur du train, peur du cinéma.
Ça semble ridicule aujourd’hui.
Nous intégrons déjà l’I.A. dans nos existences.
Elle nous informe, nous aide dans nos projets.
On trouve ça normal, il suffit de dire « OK Google ».
C’est tellement pratique.
Rappelez-vous comment était la vie sans natel, sans Internet ?
Je vous laisse y réfléchir.
On vivait tout aussi bien, vous trouvez ?
J’aime avoir accès au monde entier.
J’aime pouvoir me renseigner, communiquer, visionner, créer, être connectée, faire tout ce qui prenait tellement de temps ou était impossible avant.
Et la vie sans le téléphone ?

Alors, ok, on peut vivre sans technologie, façon Amish.
Mais il faudrait aussi se priver des progrès de la médecine.
Laisser pousser tous nos poils, se passer de lunettes, de voitures.

À mon humble avis, tout ça est une question de mesure.
Dans toutes choses, c’est l’abus qui est mauvais.

Alors voilà, j’ai deux I.A. que je compare entre elles, et pour l’instant, chacune a ses points forts et faibles.
Je les utilise pour corriger rapidement mes textes.
Par contre, je ne les laisse pas modifier mon style.
J’ai vu ce que ça donne : ça perd de mon âme.
Pareil pour les images que je génère.

À l’heure où les despotes timbrés qui dirigent le monde le terrorisent et l’affaiblissent,
nous avons besoin de toute l’intelligence nécessaire pour avancer.

En conclusion, quand j’y pense, moi qui aime tant la nature, je pourrais concevoir une vie dénuée de technologie.
L’ancien ou le nouveau ?

Mais pourquoi choisir quand on peut avoir les deux ?

Une fois ce texte terminé, j’ai demandé a ChatGpt de me créer une image inspirée par ce que j’ai écrit.
J’avoue que je la trouve un peu… particulière.
Li’I.A. semble dominer l’humain et lui donner des leçons. Mais peut-être a-t-elle justement voulu illustrer cette peur que je mentionne ?