Parfois

Parfois…

Parfois, vous êtes heureuse, ou heureux, et soudain la vie vous assène un coup.

Comme ça.

Juste pour voir.

Pas quelque chose de simple.

Un truc qui vous fait vaciller.

Et là, vous avez deux possibilités :

-1) vous tombez.

Solution logique, en apparence. Qui vous laisse la possibilité de vous relever.

Mais il y aura plus d’efforts à faire.

-2) tel le jonc qui plie mais ne se romps pas, vous fléchissez temporairement et vous tenez bon.

Hier était une de ces journées à ascenseur émotionnel.

Heureuse pare que miraculeusement, mes petits foulques ont retrouvés leur parent,

J’ai bien reconnu Micro-Machin et sa petite soeur.

Lui un peu plus gros.

Ce qui est relatif, vu qu’ils sont minuscules tout les deux.

Je ne sais pas ce qui c’est passé.

Si ils c’étaient cachés.

Ou si même je me suis fait un film…

Parce que rien ne ressemble plus à une foulque , qu’une autre foulque.

A propos des foulques, ce ne sont pas des poules d’eau.

bec blanc chez les foulques, rouge et jaune chez la poule d’eau.

Leurs habitudes divergent aussi.

Mais bon,  aujourd’hui ce n’est pas le thème.

Vous avez remarqué que les mauvaises nouvelles ne viennent jamais seules ?

juste après, je me penche, et je n’aurais pas du,

Mon téléphone tombe et la vitre se brise….

Ce qui me désole, ca rends difficile la prise de photos.

Et je n’ai pas les moyens de le réparer.

Mais je décide de tenir bon.

Et le soir, comme une récompense pour m’aider à penser à autre chose, je découvre avec bonheur, merci Thierry, que le

Meilleur des mondes, est adapté enfin en série.

Depuis le temps que j’attendais.

Mon vision quand j’ai lu ce livre qui m’a marqué à vie , diverge beaucoup,

 

mais c’est intéressant d’en voir une autre.

Ce qui semble fou, c’est l’incroyable actualité de ce livre pourtant écrit, en 4 mois en 1931 !

Chef-d’oeuvre de la littérature d’anticipation, ce bouquin  ..

je pourrais en dire tellement sur ce bouquin !

Je préfère vous le laisser découvrir, et avant de juger la série je vais la regarder jusqu’au bout.

Pour le reste, je m’accroche.

Fort.

Merci de ne pas me demander ce qu’il y a.

J’en parle pour me soulager, de ce poids si lourd.

Mais je ne veux pas entrer dans les détails.

On se retrouve tous un jour dans cette situation, ouq quelque chose arrive qui vous dépasse –

On devrait se soutenir, par principe,

Sans demander de justification.

Parce que la seule société qui est digne de survivre est une société compréhensive et solidaire.

Sur ce, je vous souhaite une très bonne journée.