Journal de pandémie épisode 36 joyeuse discipline et cerveau lent.

Aventures calmes et réfléchies…

Je suis bête ?

Non, mais franchement je peux me poser la question.

Réjouissez vous amis.ennemis, vous allez vous régaler.

Les autres, ceux qui pensent que j’ai quand même un cerveau en bon état de marche, savent pourquoi mon esprit est si encombré que parfois la simple logique me dépasse, sans me regarder au passage. et file tout droit, loin..

Si loin, qu’il me faut vraiment courir vite, très très vite, super vite même pour la rattraper.

Et longtemps.

Ca peut prendre des semaines voir des mois, dans ce cas là, une année entière jusqu’à ce que ça tilte enfin et que, comme dan les dessins animés, une ampoule s’allume au-dessus de ma tête.

Vive le confinement.

C’est grâce à ça que j’ai pu découvrir un rythme essentiel pour la continuité de mes entreprises.

J’ai deux activités qui me permettent de survivre, plus ou moins.

Activités troublées par mes obligations familiales.

Obligations que j’accepte telle une mission précieuse qui me serait confiée par le destin.

Que j’accepte avec reconnaissance même ,tant j’ai appris grâce à elles, mais surtout parce que j’en obtiens beaucoup d’amour.

Obligations qui iront en diminuant, quand ma petite-fille deviendra grande et quand mon fils se décidera à me donner un coup de main pour le ménage ( on peut rêver).

Mais ce n’est pas de ça dont je veux parler.

Je pense à mes bijoux et mes photos.

Mon travail.

Comment partager ça équitablement.

Passer des heures à perler devant la télé est efficace, mais la position me donne mal au dos, Et je ne vois ps ce que je fais.

Travailler mes  photos la journée est possible, mais c’est la nuit qui m’inspire.

Par contre, j’ai découvert ça cette après-midi, perler au soleil est,,, c’est plutôt, très gratifiant.

Mes perles sont en verre pour la plupart  en verre artisanale même pour certaines.

Des merveilles absolues qui scintillent, la lumière du jour révélant leurs reflets changeants, et leurs possibilités d’accordage.

Donc voilà c’était tout simple en fait.

Perles le jour, photo la nuit.

Voilà.

Prendre cette décision toute simple me délivre d’interminables questionnements.

Le marché reprends bientôt, il va falloir que j’assure.

J’ai des idées à mettre en pratique, mais reparlons d’enfants en général et de ma petite-fille en particulier  : Miss Bordellette-bla-bla-girl …

Si vous en avez une vous savez de quoi je parle.

Vous vous souvenez? au début de cet article je parlais de mon cerveau encombré.

Sachez-le , vous qui n’avez pas d’enfant, les petites –filles ont des pouvoirs .

Elles sont capables d’investir vos pensées , de les déloger à coup de pieds et de les remplacer par les leurs.

En vérité les petites filles sont des Coucous de la pensées.

Vous savez, les coucous, cd^es oiseaux qui déposent leur oeuf dans le nids des autres…

Et la brave maman pinson va se retrouver avec un immense bébé qui va éclore et buter tout les autres.

C’est le même principe.

Les petites filles sont dangereuses pour la santé mentale.

Surtout si vous les écoutez.

« Tu connais l’histoire de Popop le pop-corn qui voulait aller au cinéma ?

Soyez malin là ! Dites que oui, vous la connaissez, !

Et si vous les écoutez pas, c’est pire, elles s’en rendront vite compte et vous feront payer avec la méthode du pauvre petit lapin incompris.

Nommée aussi ;  » comment faire culpabiliser ses vieux en 1 minute chrono ».

A croire que quelqu’un leur a donné des cours, je ne sais ou, ni comment. elles ont appris ça, mais elles savent parfaitement comment s’y prendre pour vous manipuler.

A coup de fake news  (j’ai pas encore soupé)… de sourire craquants, de petites expressions mignonnes, et de regards larmoyants.

Impossible humainement de lutter là contre.

Tenter d’avoir une autre activité? oubliez !

Vous êtes leur propriété, leur chose.

Et le pire c’est que vous en redemandez…