Signes et autres instants cruciaux

Dans la vie, on à parfois tendance à tourner en rond.

A répêter les m^mes erreurs.

Le but, c’est d’apprendre, en se plantant.

C’est comme ça qu’on avance.

A condition de tirer des leçons de ses expériences.

Quand on est sur le bon chemin les signes apparaissent.

En fait, les signes sont là tout le temps.

A condition encore d’être un minimum attentif à eux.

Aujourd’hui, j’ai rencontré une belle jeune femme qui promenait son mignon petit chien.

On discute deux mots, et surprise, elle savait que j’avais perdu le mien…

Parce qu’elle lit mon blog.

Et qu’elle l’aime bien.

L’espace d’un instant, je me suis senti presque comme une sorte de star locale.

Il m’arrive parfois la même chose avec mes photos, et même aux gens que je photographie, que l’on reconnait et complimente dans la rue.

J’aime beaucoup reçevoir des commentaires sympas sur internet, mais en direct, ça touche autrement.

Il faut dire que , mis à part ma chère Michelle, j’ai rarement des commentaires sur mon blog.

Plus sur Facebook.

Et parfois, j’ai vraiment l’impression d’écrire dans le vide.

Alors, j’apprécie doublement cette rencontre qui m’a mis du baume au coeur et remotivée à fonds.

Il y a d’autres signes important, et des instants cruciaux ou, même si tout parait difficile, il faut tenir bon.

En ce moment par exemple, ça fait deux jours que nous n’avons plus de chauffage.

Il fait plutôt frais dans mon appartement et mon pouvoir d’action est limité.

Je ne vais pas épiloguer là-dessus.

Heureusement j’ai un très bon poêle à bois.

Mais dans ma chambre, je dois mettre le radiateur électrique pour ne pas finir congelée.

Nous qui voulions économiser l’éléctricité.

Ca veut dire que lundi déjà on aura épuisé notre crédit et que je vais devoir recharger la carte… 100 francs que je dois gagner à tout prix…

C’était hier la St-Valentin.

Mais le marché c’est demain.

Au moins il ne pleut pas , c’est déjà ça.

Et dimanche, j’ai un shooting.

Donc je dois tenir bon.

Toute la semaine j’ai eu ma petite fille qui était en vacances.

Il y a des choses qui m’ont affecté plus que je ne le pensais.

J’aimerais être comme ces  héros solitaires un peu cyniques, sur qui tout semble glisse.

Sur qui les émotions n’ont aucune prise.

Quoi qu’il se passe,

Même le pire,

ne laisse de trace sur eux

que l’ombre

d’un petit sourire.