Comme un singe en hiver

l’artiste est congelé.

Il aimerait bien donner.

C’est ce qu’il fait tout le temps.

Avec une énergie débordante.

Mais une fois le paquet livré.

Il est lessivé.

Mortifié par les doutes.

Et qu’importe que les autres crient au génie.

Lui, il sait qu’il n’est qu’un homm.e

La création passe par lui, mais lui-même tout seul, n’est pas plus et pas moins que les autres humains.

Les autres humains font la fête, c’est carnaval..

Elle est joyeuse, pleine d’énergie.

Tandis qu’l marche dans la ville, il entends la musique

Il ne le sait pas encore, mais plus il approche, tout en chantant

cette vieille mélodie il reconnait les Tschaupi.

Ils jouent tellement bien.

Ils sont sur cete place Central qu’ils ooccupent, parce que c’est chez eux.

Leur territoire.

Et parcequ’on ne peut pas concevoir le carnaval sans eux.

Ils jouent tellement bien.

Forcément , ce sont des artistes aussi.

Ensemble et séparément.

Il faut l’être pour jouer de la musique avec tant de coeur.

Et provoquer chez les autres une émotion qui fait du bien.

Cette année, ils ont des grosses fourrures.

Je n’ai pas vu les masques.

Je suis un peu triste, parce que ma petite fille est malade.

Je voulais photographier le cortège de nuit.

C’est le plus beau.

Les masques ont des lumières.

Ca c’est perfectionné au fil des années.

Avec les LED.

Ca donne des effets et des photos fantastiques.

L’ambiance aussi, est particulière.

Chaleureuse.

Même si on est dehors, et qu’il fait froid,

nous sommes lé pour admirer le travai des autres.

les chars décorés , avec des carnavaliers qui lançent

des bonbons aux enfants.

Tandis que les parents se font bombarder de confettis.