Brouillard au cerveau

Je doute parfois…

Souvent.

Tout le temps même.

Je ne vais pas vous bassiner avec ça.

D’autant que c’est contradictoire, pas logique du tout.

Alors parlons d’autre chose.

Je regarde un reportage intéressant sur un photographe américain

Robert Mappelthorpe.

Sacré spécimen,  ce Robert.

Très beau.

Très sexuel aussi.

Trop, parfois pour moi.

Il y a des photos que je ne peux pas regarder sans me sentir mal

Mai ce qui m’intéresse le plus dans son histoire,

c’est que malgré les critiques,

il a persévéré.

Et maintenant, ses photos sont précieusement conservées et exposées.

C’était le compagnon de Patty Smith, la chanteuse.

On a un point commun : tout les deux, nous n’avons jamais fait d’école,

ni suivi de cours de photographie.

Il est mort du SIDA, le pauvre… du temps où on en mourrait encore.

Mais comme il gagnait  beaucoup d’argent, il a financé la recherche.

On a d’autres point commun, les fleurs, les statues.

Est-ce qu’ il aurait fait la même carrière sans ses photos pornographiques ?

Sa succession est estimée à 228 millions de dollars.

Ca fait rêver.

Même si j’ai beaucoup de peine à regarder certaines de ses photos, il est clair que c’était un très grand photographe.

Il est mort à 42 ans.

Changeons de sujet.

J’avais adoré le livre « La vérité sur l’affaire Harry Quebert  » et mardi

commence la série tirée du livre.

Franchement il a fait très fort le jeune écrivain suisse qui a pondu ce best-seller… Joêl Dicker. D’abord le Goncourt des lycéens et maintenant une série.

Au cas ou vous ne l’auriez pas remarqué, la réussite m’intéresse.

En parlant de série, j’aime beaucoup Pose, sur la vie des trans a New-York dans les années 80.