Il était une fois un petit garçon.
Il était gentil, mignon et …
je pourrais vous raconter la suite.
Je pourrais vous faire pleurer… facile.
Mais bon, j’en ai un peu marre des émotions trop faciles.
Ce qui l’était moins, c’était de l’amener vers ses 23 ans, sans médicament, sans aide réelle.. et en devant se battre contre l’absurdité, la stupidité, l’ignorance…
Je ne sais pas ce qui était pire.
Ceux qui croyaient qu’il n’avait rien de spécial, ou ceux qui pensaient que c’était de ma faute, si il est comme ça.
Enfin bref, j’ai dit , pas d’apitoiement.
Stop that.
Fini terminé.
Place à la fierté.