Qui nous sommes …

J’ai l’intime conviction que nous sommes tous liés.

Le fait que nous cherchions en plus à nous iner-connecter au moyen de la technologie va dans ce sens.

Jadis, on le faisait au moyen du commerce.

Puis, les moyens de locomation ont évolués facilitant les échanges.

Maintenant, on a même plus besoin de bouger de chez soi puisque le monde vient à nous.

Alors, je sais, il y en a encore qui se sente très seule, malgré tout.

Incompris.

Enfermés comme dans une bulle, ou même les émotions ne passent plus.

Je crois qu’on en arrive là. quand on souffre tellement que la peur fait comme un mur entre nous et les autres.

Un mur qui semble infranchissable.

Il faut bien se mettre dans la tête une fois de plus ,que si on a des attentes vis-à.vis des autres, elles seront forcément vaines.

Les autres sont imparfaits par nature, comme nous le sommes nous -mêmes.

Alors, on peut bien s’imaginer qu’on a pas le droit de leur demander ce dont on est incapables.

Ce n’est pas pour autant que le reste du monde doit être forcément décevant.

On ne trouvera pas tout, du moins pas en même temps chez la même personnes.

Mais nous nous transformons avec les épreuves.

Chacun de nous possède un peu de ce que les autres recherchent.

Et si on ne participe pas à la vie sociale, si on se renferme, si on ne montre rien de ce que l’on est, alors, on s’auto-pourrit  la vie.

On ne donne aucune chance aux autres de pouvoir prendre ce que nous pourrions donner et vive-versa.

Comme une plante qu’on arroserait pas, on peut tenir un moment, mais fatalement on finit par dépérir.

C’est du gaspillage.

Alors que nous sommes capables de faire de si belles choses ensembles.

Comme un orchestre.

Chacun joue d’un instrument différent et ensemble, on peut jouer des symphonies, qu’un autre encore aura composé, il a a peut-être longtemps…

Tout ça pour le plaisir de ceux qui l’écouteront.

La musique, quel excellent exemple d’harmonie entre les êtres.

Mais voilà, tout n’est pas toujours aussi simple.

Notre société a l’air en progrès. mais il reste à faire, beaucoup