Bergeon production

Dans 6 jours je lance officiellement ma maque de bijoux.

Ce qui va me faire trois activités.

Trois entreprises en quelque sortes.

Entreprises qui vont se nourrir les unes les autres de leurs expériences.

De leurs erreurs aussi.

Tenez par exemple, j’ai envoyé 800 invitations à liker ma page.. avec le message modèle de Facebook.. qui n’est pas très affriolants.

Enfin bref, ce qui compte c’est la finalité de tout ça.

Le Marché.

Celui des Artisans.

Celui de Noêl.

Et les autres.

Parce que Pierre m’a filé son virus…

Le virus de la liberté.

D’être dehors, de rencontrer les gens en vrai.

C’est terriblement enrichissant, humainement.

C’est une façon de voyager, de rester jeune.

De vivre, quoi, qui me ressemble.

Pas de patron et le grand air.

C’est ce qu’il me faut.

Avec Bien à Bienne, mon premier virus, celui de l’écriture sera toujours comblé.

Avec Première Scéance, mon besoin de faire quelque chose pour et avec les gens va perdurer.

Et voilà, comme une mariée qui prendrais des amants pour consolider son union…

-Hein ?

Mais oui, ce n’est peut-être pas le meilleur des exemples, j’avoue, mais c’est celui qui me viensi o.

Si on reste fidèle à ses envies, à ses besoins,

alors on les comble.

Sans pour autant abandonner  qui que ce soit, que que ce soit.

C’est un très mauvais exemple, parce que je devrais encore expliquer que ça ne serait possible qu’à condition d’être très très discret et de ne faire souffrir personne.

Ou alors d’avoir un mari très compréhensif.

Mais de toute façon c’est un exemple purement théorique.

Rien qui ne se rattache à ma réalité de femme  qui n’aime pas être mise dans une case.

Passons.

J’ai remarqué qu’avec Facebook, quand je discute sur le tchat en écrivant, si je ne mets pas des coeurs, des smileys sourire… ça devient beaucoup plus froid.

Et parfois ,je suis juste fatiguée.

Surtout en ce moment.

J’espère que personne ne m’a vu sur ma terrasse ce matin, j’avais l’air d’un zombie….

A propos de Facebook…

L’autre jour j’ai vu un jeune père avec une poussette, et ..

des pantalons géniaux.

Comme marbrés, une vraie merveille.

quand je l’ai dépassé, je lui ai dit :

-Wouaw, ils sont géniaux vos pantalons !!!

Il n’a pas tout de suite compris ce que je lui voulais.

J’ai du répêter deux trois fois, dans toutes les langues que je maîtrise plus ou moins.

Et quand il a compris, j’ai eu droit à un grand sourire.

Ca lui a vraiment fait plaisir.

Alors… j’ai levé mon pouce, comme sur Facebook, mais en vrai.

Je l’ai liké en direct…

Ou va le monde.. je vous le demande ?

Passez un bon dimanche.

Avec Amour.

Cat

 

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